La police de la pensée se décline à toutes les sauces. Ces derniers temps, c’est la version police du souvenir historique qui se déchaîne en tentant d’empêcher ou en stigmatisant la vente « d’objets nazis » et autres drapeaux, insignes, livres ou babioles se rapportant au IIIe Reich et ayant survécu aux affres du temps jusqu’à nos jours.
« Streng verboten » disent les associations de la pleurniche pour ce qui n’est pourtant pas illégal en France ! Seuls sont prohibés le port des uniformes des unités allemandes durant la Seconde Guerre mondiale ou l’exhibition publique des signes ou insignes litigieux. Mais le commerce en reste parfaitement autorisé sous les réserves précédentes.
C’est maintenant le droit de collectionner que les lobbies du judaïsme politique voudraient donc restreindre – ô certes pas contre les bustes de Lénine et autres affiches ou colifichets à étoile rouge qui pullulent dans les vide-greniers et autres « puces » (100 millions de morts quand même !)… Et on admirera par quels moyens ces pseudo pères-la-vertu, qui se qualifient de « gardiens [de camps ?] de la mémoire », agissent auprès des vendeurs : appels téléphoniques anonymes particulièrement lourds de menaces. Et pour ceux qui n’obtempèrent pas ? La visite de « commandos de la mémoire » ?
Pourtant, comme le dit un des commissaires-priseurs tombé sous leur vindicte : « Si je vends une commode du XVIIIe siècle, ça ne veut pas dire que je suis royaliste ! ». L’évidence ! Et ce n’est pas en les faisant disparaître de la vue que les choses et les hommes s’évanouissent, comme l’aurait voulu Staline faisant effacer des photos ses anciens alliés et amis trotskystes qu’il avait fait liquider…
Les souvenirs restent et comme nous le disons régulièrement : « Quand l’esprit se souvient, la flamme se maintient ». Ils ont déjà perdu.
Amazon supprime 92 publications négationnistes après des discussions avec des dirigeants juifs
Le géant de la vente en ligne a pris cette décision après avoir rencontré des représentants du Congrès juif mondial et du Conseil des députés des Juifs britanniques, avant le Jour de la Mémoire de l’Holocauste.
Parmi les 92 publications retirées figurent le « Rapport Leuchter », un document pseudoscientifique qui prétend à tort prouver que les chambres à gaz n’existaient pas, « L’escroquerie des Six Millions », un livre du sympathisant nazi et négationniste de l’Holocauste Austin Joseph App et « Le Mythe d’Auschwitz – Légende ou réalité » par l’ancien officier nazi et négationniste de l’Holocauste Wilhelm Stäglich.
Amazon a également supprimé de nombreux volumes du « Journal for Historical Review », une publication d’extrême droite qui existait de 1980 à 2002 et se concentrait principalement sur la publication de la négation de l’Holocauste.
Ces publications ont été supprimées d’Amazon Grande-Bretagne, ainsi que dans dix-sept centres différents où Amazon opère ; plus de 850 liens vers ces publications sur les sites Web d’Amazon ont été supprimés.
Le matériel de négation de l’Holocauste a été retiré après que les représentants du Conseil et du WJC ont rencontré l’équipe des politiques publiques d’Amazon Grande-Bretagne le mois dernier.
Marie van der Zyl, présidente du Conseil des députés et vice-présidente du Congrès Juif Mondial, a déclaré :
« Alors que nous nous réunissons pour commémorer le Jour de la Mémoire de l’Holocauste, nous saluons la décision d’Amazon de retirer de son offre plusieurs titres de publications négationnistes. La négation de l’Holocauste est sans équivoque antisémite ; il prétend que l’Holocauste a été fabriqué et que, par conséquent, les Juifs mentent pour faire avancer un programme néfaste. »
« Nous sommes reconnaissants d’avoir pu travailler avec nos collègues du Congrès Juif Mondial pour aider à assurer la suppression de ces publications. Cependant, il reste encore beaucoup à faire ; Amazon a clairement indiqué qu’il était heureux de travailler avec nous pour discuter de la suppression d’autres publications similaires, ainsi que de la manière d’identifier et de supprimer efficacement ces publications elles-mêmes. Nous sommes impatients de continuer à travailler ensemble à l’avenir pour lutter contre la négation de l’Holocauste et veiller à ce que les antisémites ne puissent pas répandre leurs mensonges en toute impunité sur les sites Web du plus grand libraire du monde. Nous invitons d’autres éditeurs, libraires et distributeurs à suivre cet exemple. »
Un porte-parole d’Amazon a déclaré :
« Nous prenons au sérieux les préoccupations du Conseil des députés des Juifs britanniques et du Congrès juif mondial et avons travaillé avec eux directement sur cette question. »
« En tant que diffuseur, nous pensons qu’il est important de donner accès à l’écrit. Nous sommes conscients que l’histoire du monde a multiplié les exemples de censure des livres et nous ne prenons pas cela à la légère. Nous examinons attentivement les contenus que nous mettons à disposition dans nos centres de diffusion et examinons régulièrement nos critères, en écoutant les commentaires, en évaluant notre politique et en enquêtant sur les préoccupations de nos clients. »
« Nous investissons beaucoup de temps et de ressources pour nous assurer que nos consignes relatives au contenu sont respectées et supprimons les offres qui ne respectent pas nos consignes, que vous trouverez ici pour les livres et ici pour les produits non multimédias. »
Source : jewishnews.timesofisrael.com 26/01/2021
Objets nazis retirés des enchères : «On nous considérait comme des ordures»
La vente aux enchères d’armes et d’objets militaires qui se déroulera lundi au Puy-en-Velay sera amputée d’une partie de ses lots : une soixantaine d’objets allemands de la Seconde Guerre mondiale, que le commissaire-priseur a renoncé à présenter après ce qu’il qualifie de « tollé organisé ».
À une semaine de la vente, Me Philippe Casal a été contacté en appel masqué par un mystérieux juriste, prénommé Axel :
« Il se définit comme un lanceur d’alerte et chasseur de vente d’objets nazis et collaborateur de Serge Klarsfeld (figure nationale de la lutte contre l’antisémitisme au côté de son épouse, Beate). Il a été menaçant, en martelant que nous n’avions pas le droit de mettre de tels objets à la vente, alors que nous l’avons fait dans le respect de la législation et des contraintes imposées pour la vente de ce genre d’objets historiques »,
déplore le commissaire-priseur.
Ne voulant pas « susciter de polémique supérieure » et « étant admiratif du travail de Serge Klarsfeld dans sa lutte contre l’antisémitisme », Philippe Casal a préféré retirer les objets de la vente. Ils seront restitués aux propriétaires. Certains appartiendraient aux descendants d’un résistant d’Allègre.
Le commissaire-priseur ne sait toujours pas si ce mystérieux juriste est un proche de Serge Klarsfeld, qui soutient la démarche de l’anonyme traqueur de ventes d’objets nazis : « Je suis tout à fait opposé à ces ventes aux enchères d’emblèmes nazis, de croix gammées ou d’insignes SS, qui sont porteurs d’une idéologie criminelle, qui sont vendus à des gens fascinés par le nazisme », a-t-il confié à France Info mercredi.
Me Philippe Casal reste cependant secoué par ces accusations :
« J’ai eu le sentiment qu’on nous considérait comme des ordures. Ce sont des objets historiques ! Nous avions même précisé sur chaque lot qu’ils ne sont pas vendus dans le but de faire l’apologie de ce genre d’idées. Si je vends une commode du XVIIIe siècle, ça ne veut pas dire que je suis royaliste ! Je ne suis pas non plus Bonapartiste si je vends des objets de l’époque Napoléonienne. »
Le Ponot estime qu’il est trop tôt pour connaître l’impact de ce « mauvais buzz » sur son étude de commissaire-priseur mais assure que la vente de lundi ne sera pas impactée. « Il est question d’une soixantaine de pièces sur les 700 qui seront mises à la vente ».
Source : leprogres.fr 15/01/2021
A-t-on le droit de vendre des objets nazis ?
Qui se cache derrière les retraits in extremis d’objets nazis dans des ventes aux enchères ?
Des objets nazis proposés aux enchères retirés au dernier moment : le même déroulé s’est répété dernièrement, dans plusieurs villes de France. À la suite, à chaque fois, de l’appel d’un mystérieux interlocuteur.
À Pamiers, Albi, Soisson, Blois, le Puy-en-Velay… C’est à chaque fois le même scénario : des objets nazis, mis à la vente aux enchères, sont retirés au tout dernier moment. Au Puy-en-Velay par exemple, la vente de ces articles nazis à des collectionneurs devait avoir lieu lundi 18 janvier. Il s’agit d’une cinquantaine d’objets, sur un total de 700 lots : des insignes nazis, quelques armes blanches, des casques SS. Ces objets appartiennent à la fille d’un chasseur-parachutiste, qui les avait collectés en souvenir.
Sauf que, lundi dernier, le commissaire-priseur, Philippe Cazal, reçoit un appel masqué, d’un homme qui se fait appeler « Axel » et se présente comme un avocat parisien. Le ton est accusatoire et menaçant, assure le professionnel : « J’ai eu un appel d’une personne faisant état qu’il serait bien que je retire ces lots, ce que j’ai fait suite à sa demande. » Philippe Cazal précise les propos de l’appel : « Il m’a dit représenter notamment Serge Klarsfled. Et moi, j’ai toujours été admiratif de ce type et puis de sa chasse aux Nazis, donc ça a fait écho chez moi. »
« Étant donné qu’on est dans un sujet sensible, j’ai préféré retirer les lots pour éviter tout problème et éviter de choquer les gens. Mais ce sont des objets historiques, d’ailleurs c’était noté, ils ne faisaient pas l’apologie du nazisme. » (Philippe Cazal, commissaire-priseur à franceinfo)
Les objets en question sont donc finalement restitués à leur propriétaire, avant la vente. Le commissaire-priseur dit respecter la loi française, qui autorise la vente et la détention d’insignes ou d’emblèmes nazis, mais interdit de les porter ou les exhiber. Philippe Cazal précise que les croix gammées et autres signes nazis visibles sur les objets étaient masqués par une pastille sur le catalogue en ligne.
De nombreux appels mystérieux
D’autres commissaires-priseurs reçoivent ce type de coups de fil. À Blois, un expert est appelé, cette fois, par un certain « Jean-Michel ». Ce dernier lui fait comprendre que c’est dans son intérêt d’annuler la vente des objets litigieux. Le commissaire-priseur retire donc 30 objets emblématiques du IIIe Reich, sur 500 lots, qui devaient être proposés aux enchères samedi prochain.
Selon les informations de franceinfo, à Pamiers, la semaine dernière, un dénommé Ghislain appelle la mairie pour indiquer qu’une vente similaire doit se tenir. Informé de cela, le commissaire-priseur retire les objets litigieux par peur de représailles. C’est également pour ça qu’à Albi, le commissaire-priseur, qui n’est pas contacté, retire également, par anticipation, tous les lots concernés.
Un dossier qui intéresse la police
Qui se cache derrière ces appels anonymes ? Une ou plusieurs personnes, une ou des associations, c’est encore un mystère. Un mystère qui intéresse en tout cas les autorités, puisque le commissaire-priseur du Puy-en-Velay dit avoir été interrogé par la police sur l’identité de cet homme.
« Il faut lutter contre cette prolifération. » (Serge Klarsfeld à franceinfo)
En tous cas, le célèbre historien et avocat Serge Klarsfeld soutient la démarche de cet anonyme. Pour lui, il faut interdire ce type de vente purement et simplement : « Je suis tout à fait opposé à ces ventes aux enchères d’emblèmes nazis, de croix gammées, ou d’insignes SS, qui sont porteurs d’une idéologie criminelle, qui sont vendus à des gens fascinés par le nazisme. » Plutôt que de les vendre, il invite les propriétaires de ces objets à les confier à un musée.
Source : francetvinfo.fr 13/01/2021
Si c’était vrai tout ce qu’on raconte sur tonton 88 mais on serait enfin tranquille aujourd’hui car plus de Schindler’list à tous les étages.
Mafia de l’armement
Mafia du trafic d’organe
Mafia de la taxe carbone
Mafia de la traite des blanches
Mafia Pharmaceutique…
En occident chaque fois que ça sent vraiment la souillure, l’argent et le pouvoir de manière disproportionné et que l’on regarde l’ historique (comme l’affaire Epstein):
On s’apperçoit que la communauté de lumière est à tous les étages…cohen-cidence.
Je le dis tout net on sera enfin tranquille quand on pourra enfin parler au passé de cette communauté(un peu comme le loup garou d’autrefois).