En janvier 2016, ledit Journal d’Anne Frank tombera dans le domaine public. Cela représente pour les ayants droit une immense perte d’argent, tant ce livre a été imposé aux jeunes Européens – mais pas seulement – depuis quatre générations, devenant le texte de référence de l’histoire européenne.
Les curieux savent depuis longtemps que loin d’être l’œuvre d’une juive morte de maladie durant la Seconde Guerre mondiale, le Journal est surtout l’œuvre de son père. L’information, longtemps niée, a été de plus en plus admise. Jusqu’à devenir aujourd’hui le seul argument pour les « ayants droit » pour préserver leur poule aux œufs d’or. Car si l’auteur principal reconnu du Journal devient le père d’Anne Franck, alors ils continueront à empocher le pactole jusqu’en 2051…
Ainsi, la Libre (sic) Belgique écrit :
« Ce précieux [!] document historique [sic] a en effet deux auteurs. Anne Frank, bien sûr, mais aussi son père, Otto, qui s’est chargé de la publication… et de l’édition. Car M. Frank, décédé en 1980, a arrangé le texte à sa façon. C’est pourquoi la Fondation Anne Frank (AFF), qui gère les droits du livre, estime qu’Otto Frank est coauteur. […] Derrière cette bataille juridique, synonyme de rentrées financières, se cache aussi une question plus sensible. Si le « Journal » rapporte encore de l’argent à l’AFF, l’association affirme que son but premier est surtout de protéger un ouvrage qu’elle considère “sacré” [sic] et qui est souvent la cible de critiques de la part de [révisionnistes] ».
Mû par l’appât du gain, il n’y a désormais plus besoin des révisionnistes pour que soit reconnu les « arrangements » du père d’Anne Franck dans le texte censé avoir été écrit par sa fille.