Aucune poursuite n’est engagée ni contre le chef, ni contre aucun membre de la police de la police de Ferguson. Pourtant, huit mois après la mort d’une jeune racaille africaine tuée en agressant un policier, le gouvernement fédéral vient d’obtenir la démission du chef de police.
Après les associations racistes antiblanches sur le terrain, largement relayées par les médiats, le président américain Barack Obama avait lui-même repris à son compte les insultes et les diffamations contre les policiers de Ferguson. Mais en neuf mois, toutes les procédures judiciaires ont reconnu l’innocence du policier Darren Wilson. Barack Obama a pourtant mis en branle tous les moyens de l’État fédéral pour tenter de prouver l’existence d’un quelconque « racisme », en vain.
Il y a quelques jours, un « rapport » fédéral a reconnu l’innocence de Darren Wilson, mais s’est cru obligé de dénoncer le « racisme » de la police de Ferguson. Un racisme suffisamment faible – inexistant – pour ne pouvoir faire l’objet d’aucune poursuite judiciaire, à aucun niveau. Malgré cela, le pouvoir fait pression depuis des semaines sur l’ensemble du personnel. Après avoir obtenu le départ de Darren Wilson – reconnu innocent –, le gouvernement vient de pousser à la démission le chef de la police de Ferguson, Thomas Jackson, contre lequel aucune enquête n’est menée, et qui n’est soupçonnée d’aucun crime ou délit, simplement visé par des diffamations médiatico-politiques de « racisme », véritable expression du racisme antiblanc endémique aux États-Unis.
Le but de Barack Obama est sans doute de faire de l’Amérique une nouvelle Afrique du Sud. Dans ce dernier pays, la grande affaire d’hier a été l’agression d’une équipe de télévision en pleine rue, dans un quartier considéré comme sûr de la capitale, devant un hôpital réputé où est hospitalisé un chef d’État africain. Deux Africains, à quelques secondes du direct, ont volé les portables et du matériel avant de partir s’en être arrêtés. L’affaire est bien moins grave que les centaines de meurtres commis chaque année par des Noirs sur des Blancs dans ce pays fondé par les Blancs, mais les médiats africains ont largement évoqué l’affaire puisque ne mettant en scène aucune victime blanche, mais des journalistes noirs : la vidéo du vol a été vue plus de 1,5 million de fois en quelques heures hier.
Les États-Unis suivent le même chemin. Sûrs de leur impunité, protégés par les médiats, encouragés par les plus hautes autorités du pays, des criminels africains, durant une manifestation, ont ouvert le feu sur deux policiers cette nuit. Au moins l’un d’eux a été touché et grièvement blessé. Après avoir réussi à faire passer un criminel noir pour un héros, les racistes antiblancs tiennent leur deuxième victoire : aux États-Unis, tirer sur des policiers blancs est considéré comme la « justice ».
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