Si leur République interdit en France les statistiques ethniques et par nationalité pour masquer l’étendue des crimes commis par l’occupant, ce n’est pas – ou plus – le cas en Grande-Bretagne. Un rapport de police révèle que dans les Midlands de l’Ouest, 75 % des crimes sexuels qui surviennent dans la rue sont commis par des envahisseurs « asiatiques », c’est-à-dire Pakistanais.
Le caractère raciste de ces crimes ne fait aucun doute puisque 82 % des victimes sont des Blancs âgés 14 et 16 ans.
Le rapport fait suite aux révélations sur les viols à échelle industrielle commis par des envahisseurs contre des blanches à Rotherham – où les crimes étaient couverts par les autorités largement infiltrées, voir ci-dessous et où 1 400 victimes ont été recensées – Rochdale, Derbyshire, avec la complicité active des services de police, de justice et des autorités politiques qui ont couvert durant des années ces crimes racistes antiblancs.
Ce rapport met d’ailleurs en exergue la responsabilité de la police, des autorités locales et des services sociaux.
L’an dernier, un autre rapport avait révélé la réduction en esclavage sexuel de 111 enfants à Birmingham, le plus jeune étant âgé de 11 ans ; près de la moitié des victimes étaient âgées de moins de 15 ans.
Sur les 111 victimes identifiées en 2013, 2 % étaient âgées de 11 ans, 1 % de 12 ans, 5 % de 13 ans, 11 % de 14 ans, et 29 % de 15 ans. Parmi les autres victimes, 21 % étaient âgés de 16 ans, 24 % de 17 ans, 6 % de 18 ans et 1 % de 19 ans. Le BSCB a précisé qu’il n’était pas en mesure d’identifier toutes les victimes. Les criminels étrangers visent essentiellement les enfants fugueurs et ceux placés en foyer. En novembre 2012, en quatre ans, il avait été fait état de 6 000 enfants ayant quitté les foyers ; à leur retour, les services sociaux n’avaient pas appliqué une loi qui oblige à les examiner et les interroger. Il y a pourtant un « lien évident entre les enfants portés disparus et le risque d’exploitation sexuelle », note le BSCB.
Les enfants étaient attirés dans des hôtels et drogués ou alcoolisés avant d’être violés et vendus.
« Les récentes affaires très médiatisées d’exploitation sexuelle d’enfants – comme à Oxford et Rochdale – ont impliqué des enfants attaqués ou exploités dans des hôtels, des restaurants et d’autres locaux commerciaux.
La commission d’enquête sur l’exploitation sexuelle infantile par des groupes et des gangs l’année dernière a identifié des hôtels, des chambres d’hôtes, des boutiques d’alimentation comme les principaux lieux où les agressions se sont produites ».
Les faits avaient été révélés par le Bureau de sauvegarde de l’enfance de Birmingham (BSCB, Birmingham Safeguarding Children Board) en 2013.
« Les accords de partenariat à Birmingham échouent aujourd’hui à protéger nos enfants contre l’exploitation sexuelle des enfants. Peut-être que le meilleur indicateur de cela est qu’au moment de la rédaction de cette “stratégie”, trois jeunes personnes, victimes d’exploitation sexuelle infantile, font l’objet d’un Ordre d’hébergement sécurisé tandis que les auteurs de ces crimes horribles sont toujours en liberté et continuent à chercher d’autres enfants. L’absence de poursuites contre ces criminels est incroyable.
L’inaction des partenaires [police, services sociaux, autorités politiques] paraît indiquer qu’il y a parfois une certaine réticence [sic] à utiliser les moyens légaux à leur disposition, ce qui est inacceptable. »
Le rapport s’arrête longuement sur le profil des victimes et des criminels, à l’origine de l’inaction des autorités : la grande majorité des victimes sont des Blanches âgées de moins de 16 ans (82 % des victimes sont blanches et âgées de 14 à 16 ans) ; 80 % ont été déclarées portées disparues plus d’une fois.
Et comme ailleurs dans le pays, les criminels sont quasi exclusivement issus des gangs pakistanais (75 %), laissant peu de place pour les autres groupes de ‘migrants’. Ces faits avaient été systématiquement censurés dans les rapports précédents ; quand les policiers ou les associations de protection de l’enfance ont arrêté de mentir, la situation n’a pas changé puisque les rapports n’ont pas été rendus publics et que toutes les autorités complices ont continué à ne rien faire.
Un rapport d’une association de sauvegarde de l’enfance à Sandwell a précisé:
« Les renseignements suggèrent que parmi les suspects identifiés, 75 % pour cent de ceux qui sont connus sont d’origine asiatique.
Cela correspond aux expériences connues d’autres forces, et, comme nous l’avons vu dans les cas du Derbyshire, du Lancashire et de Rochdale, cela pourrait avoir un impact sur la confiance envers les autorités locales à travers les Midlands de l’Ouest »