I – Le contexte historique : un pays peuplé d’immigrés celtes, germains et scandinaves
La grande bretagne est dans les premiers siècles en fin d’occupation romaine la destination d’une forte émigration d’origine frisonne et de la péninsule du Jutland : Jutes, Angles et plus au sud Saxons.
En deux siècles, les Saxons vont coloniser tout le sud, tandis que les Angles vont coloniser une zone plus centrale appelée Mercie et l’East Anglia. Les Jutes vont se fondre dans le monde saxon du sud-est.
La Northumbrie primitivement angle va être rapidement l’objet de rivalités âpres entre « merciens » et « saxons » qui veulent en faire un duché puis une province saxonne.
Dès 793, des scandinaves attaquent et pillent la Grande-Bretagne.
Entre 865 et 870, l’invasion « normande » (des Scandinaves danois et norvégiens en fait) détruit les royaumes saxons de Northumbrie, de Mercie et même attaque l’East-Anglie (colonie résiduelle des Angles). Seul résiste le royaume saxon occidental du Wessex grâce à la victoire d’Alfred le Grand à Edington en 878. Cette victoire est considérée par les historiens comme un événement déterminant dans l’histoire de l’Angleterre anglo-saxonne. La maison de Wessex, seule dynastie anglo-saxonne à avoir ensuite résisté victorieusement aux Vikings de la Grande Armée, est ainsi à l’origine du premier royaume d’Angleterre uni.
La tradition associe à cette victoire d’Edington le célèbre cheval pétroglyphe d’Huffington, considéré comme de réalisation contemporaine …
Les « Normands » doivent alors se contenter d’occuper le nord et l’est de l’Angleterre.
Incapable d’arrêter ces envahisseurs et leurs pillages répétés, de l’autre côté de la Manche, le roi des Francs Charles le Simple propose un traité au principal chef viking déjà installé dans la Basse Seine : Rollon. Il lui abandonne le comté de Rouen et quelques territoires voisins (l’ensemble correspondant à peu près à la Haute-Normandie d’aujourd’hui). En contrepartie, Rollon et ses compagnons jurent de ne plus envahir le royaume et de se convertir au christianisme. C’est le traité de Saint-Clair-sur-Epte, conclu en 911. Ainsi naît la Normandie, étymologiquement le « Territoire des Hommes du Nord ».
À partir de 980, des flottes d’hommes du nord attaquent de nouveau et envahissent alors durablement le pays britannique : le Danelaw (Dena lagu en vieil anglais), est le nom qui sera donné aux territoires de la Grande-Bretagne où s’applique la loi des « Scandinaves » – celle des envahisseurs vikings venant aussi maintenant de Norvège et du sud de l’actuelle Suède
Cette loi va supplanter celle des Saxons sur pratiquement 40% du territoire « britannique ».
C’est un ensemble où la religion catholique romaine est promue par le roi saxon, même si le paganisme nordique – fondé sur la mythologie d’Odin, de Thor et des ases – restera là largement majoritaire.
En 886, le traité entre Alfred et Guthrum, définit la frontière entre leurs royaumes, et arrête les clauses conduisant à des relations harmonieuses et pacifiques entre Saxons et Vikings.
La loi dite « danoise » domine alors dans les anciens royaumes de Northumbrie et d’East-Anglie, ainsi que dans la région des Cinq Bourgs (Leicester, Nottingham, Derby, Stamford et Lincoln).
Nombreux sont les paysans de souche, immigrants « vikings », qui viennent s’y installer et constitueront une population autonome régie par les lois, us et coutumes scandinaves du temps, sur près de 40 % du territoire britannique (hors Galles et Ecosse, dite alors pays des Pictes et Strathclyde à l’est).
La prospérité du Danelaw, en fit une cible pour de nouveaux envahisseurs vikings.
Les conflits incessants avec les saxons du Wessex et de la Mercie sapèrent rapidement l’autorité du Danelaw et l’affaiblissement de sa puissance militaire conduisit finalement à sa soumission à Édouard l’Ancien en échange de sa protection.
En 937, Olaf Gothfrithson allié aux rois des Orcades, à celui de Man, à celui des Shetland et aux écossais est vaincu à Brunanburh par Æthelstan, roi saxon du Wesssex.
Cette bataille (dont le site reste encore inconnu aujourd’hui) est considérée comme le premier signe d’une unité britannique qui fit qualifier par certains historiens Æthelstan de « premier roi d’Angleterre »…
Mais Olaf revient deux ans après et profitera de la mort d’Æthelstan pour reprendre York et les « Cinq Bourgs ».
Cette reconquête est tout aussi éphémère : dès 943, Edmond, successeur d’Æthelstan, reprend les Cinq Bourgs, puis York l’année suivante. En 954, la mort d’Éric à la Hache sanglante, qui avait reconstitué le royaume viking d’York, marque la fin effective du Danelaw.
L’Angleterre, sous la prédominance du roi du Wessex, est à nouveau la cible de raids vikings dans les années 980. Southampton, l’île de Thanet et le Cheshire sont attaqués, l’abbaye de Padstow est pillée en 981, et Portland est ravagée en 982.
Ces raids ponctuels, menés par de petits groupes, laissent place à un phénomène de plus grande ampleur en 991, avec l’arrivée d’une grande flotte scandinave au large de l’Angleterre.
L’armée anglaise, sous le commandement de l’ealdorman d’Essex Byrhtnoth, est écrasée le 10 août à la bataille de Maldon. Le roi Æthelred II verse alors aux Vikings un tribut de 10 000 livres pour obtenir leur départ, mais la flotte continue à ravager le littoral oriental tout au long des années 992 et 993.
Un second paiement de 16 000 livres est versé en 994, lorsque la flotte menace directement Londres.
Cette même année, l’un des principaux chefs vikings, Olaf Tryggvason se convertit : il reçoit le baptême avec Æthelred pour parrain à Andover, avant de rentrer en Norvège.
II – Le massacre du 13 Novembre 1002
Une partie des hommes de Tryggvason s’engage alors au service du roi d’Angleterre et certains d’entre eux s’établissent sur l’île de Wight qui sera leur base.
De nouvelles attaques vikings débutent en 997, apparemment menées par ces vétérans restés en Angleterre en 994. Ils ravagent le sud-ouest du pays, puis le Dorset en 998 et le Kent en 999, avant de se réfugier en Normandie en 1000. L’année suivante, 1001, les Vikings sont de retour et attaquent le Devon et le Hampshire. Un troisième tribut, de 24 000 livres, leur est versé en 1002. En pure perte…
Les Vikings localement nouvellement implantés, forts de la reconnaissance juridique du Danelaw n’en font qu’à leur tête et les heurts avec les saxons locaux se multiplient.
A l’aube de l’an 1000, la doctrine du refus d’assimilation (fusion dans le milieu de l’immigré qui accepte les valeurs de la société qui l’accueille) au profit d’une intégration (acceptation forcée par la société accueillante de l’immigré qui y conserve ses propres valeurs voire ses propres lois) voit là la première concrétisation historique médiévale de la propagande anti-assimilationniste et de ses conséquences désastreuses sur les fondements de l’état politique alors encore en gestation.
[ Toute analogie avec la situation politique ouest européenne actuelle, et notamment britannique, zone soumise depuis des décennies à une submersion migratoire sub-saharienne et sub-asiatique orientale, promue et soutenue par le lobbying antiraciste européen, serait évidemment jugée totalement incongrue et aussitôt qualifiée par les médiateux aux ordres comme indice de la manifestation d’un « insupportable racisme compulsif ».
Ces manifestations ont été patentes il y a cinq mois lors des journées de violence consécutives à l’assassinat de 3 fillettes (Bebe, Elsie et Alice) poignardées à mort alors qu’elles participaient à un cours de danse sur le thème de Taylor Swift. Un certain Axel Rudakubana, « ressortissant britannique », né à Cardiff de parents rwandais, selon la BBC, âgé de 17 ans au moment des faits, a été inculpé pour leur meurtre et 10 autres tentatives d’assassinat. Muré dans son mutisme, on ignore ses motivations. Les rares photos publiées (étant mineur les interdictions pleuvent !) lui sont étrangement plutôt très favorables… Les malheureuses victimes sont tout de même évoquées dans certains médias britanniques.
Il est sidérant de voir alors que le premier ministre britannique, comme le maire de Londres de souche pakistanaise Sadiq Khan, allaient voler au secours des immigrés et fustiger « l’extrême droite » : des rumeurs sur l’identité et la religion du suspect avant leur confirmation officielle par la justice britannique ont attisé une colère populaire qui s’est traduite par endroits par des violences, rétorsions clairement anti-musulmanes et anti immigrées. Une réaction à la mesure des agressions multiples, liées à l’occupation immigrée, ressenties par les « souchiens ».
Un avertissement populaire ? Surtout une réprobation certaine face au laxisme gouvernemental et à l’insupportable tolérance de la bienpensance vis à vis des terroristes immigrés. ]
Excédé et désireux de se débarrasser définitivement des scandinaves, Æthelred II aurait alors commandité le massacre de la Saint-Brice du 13 novembre (1002). Il publia un décret ordonnant le meurtre de tous les Danois – pillards ou résidants, colons, femmes et enfants. Ce fut la décision d’un roi acculé, incapable de juguler la résurgence des raids vikings en cette la fin du Xème siècle, malgré les coûteuses sommes d’argent payées en rançon par la couronne aux Danois (le fameux Danegeld, littéralement « tribut aux Danois »).
Mille ans plus tard, certains bons esprits ne manqueront pas de voir là certaines analogies. Il s’agissait alors pour Æthelred de mettre fin – une fois pour toutes – à l’occupation viking du pays et aux désordres et rivalités qui y étaient liées. C’était évidemment alors totalement illusoire.
Les récits sont peu nombreux, parfois contradictoires et ne permettent pas d’apprécier l’ampleur des exactions. Une chose est sûre : excitée par les émissaires du roi, la foule saxonne s’en prend alors aux Danois, un peu partout dans le Danelaw, et cela commença à Oxford.
Une charte émise par Æthelred en 1004, décrit ainsi comment les Danois d’Oxford tentèrent de se réfugier dans l’église de Frithuswith afin échapper à la vindicte de la foule qui mit le feu au bâtiment pour les tuer.
(Une datation par le radiocarbone d’ossements de corps jetés dans une fosse commune récemment découverte, donne une fourchette de 960 à 1020. Pour Sean Wallis, l’archéologue qui a dirigé les fouilles, c’est une preuve irréfutable que le charnier est lié à la Saint-Brice.
« Nous avons trouvé des traces de carbonisation sur certains os, mais pas dans le sol qui les entoure. Cela correspond bien aux sources documentaires selon lesquelles les corps pourraient avoir été partiellement brûlés avant d’être enfouis ».
On n’a aucune information fiable sur l’ampleur globale des massacres, ni leur durée, mais les estimations dépassent les dix mille morts pour tout le Danlaw. Ce qui n’est pas négligeable à l’aune de l’estimation de la taille de la population du temps, soit moins de 2 millions de personnes.
Le massacre de la Saint Brice, au-delà de son ampleur réelle ou supposée, va profondément fracturer la population britannique entre saxons d’une part et vikings historiques, danois puis normands, de l’autre… Peu importe l’ampleur réelle de ces massacres : ils ont été reconnus orchestrés par la volonté royale saxonne et perpétrés en son nom.
La tradition veut que la princesse danoise Gunhilde ait fait partie des victimes, ce qui aurait incité son frère, Sven à la Barbe fourchue à envahir l’Angleterre : prétexte pour venger son assassinat dans les années suivantes.
L’histoire et la littérature liée ces temps, du mythe d’Ivanhoé à celui de Robin des bois, se font largement l’écho des « représailles politiques » normandes contre les saxons.
Né vers 960 et mort le 3 février 1014, Sven est roi de Danemark de 986 à 1014.
Son autorité s’étend également sur la Norvège, à l’exception de la période 995-1000, et il règne brièvement sur le royaume d’Angleterre de la fin de l’année 1013 à sa mort.
III – Conséquence directe du massacre de la Saint-Brice
La résistible ascension sur le trône « britannique » des Scandinaves et des « Normands »…
Entre 1004 et 1014, le roi Sven Ier conquiert toute l’Angleterre. Æthelred II, marié à Emma de Normandie, se réfugie alors en Normandie auprès de son beau-frère le duc Richard II. Mais après la mort prématurée de Sven, en janvier 1014, les grands du royaume d’Angleterre rappellent Æthelred II au pouvoir. Il meurt deux ans plus tard, le 23 avril 1016, à Londres, où il est enterré.
Son fils Edmond Côte-de-Fer lui succède, alors que le pays est plongé en pleine guerre civile entre ses partisans et ceux de Knut le Grand, le fils de Sven. Les nobles saxons se résignent alors à céder la couronne au vainqueur : Knut le Grand.
En habile homme d’État, Knut traitera à égalité les vaincus et les vainqueurs. Il portera le premier le titre de « roi de toute l’Angleterre ». Il épousera Emma de Normandie, la veuve d’Æthelred II, et meurt en 1035.
Après des vicissitudes multiples, c’est finalement Édouard le Confesseur, fils d’Æthelred dit le Malavisé et d’Emma de Normandie, qui montera sur le trône d’Angleterre en 1042 et il le conservera jusqu’à sa mort en janvier 1066…
Faute de descendants directs et de testament royal officiel, plusieurs candidats au trône s’affronteront, parmi lesquels le comte Harold Godwinson, affirmant avoir été « choisi comme successeur par le Confesseur sur son lit de mort », le duc de Normandie Guillaume dit le bâtard et le roi de Norvège Harald.
Ces deux derniers envahissent aussitôt l’Angleterre et s’y affronteront avec Harold. Le 25 septembre 1066, Harald est vaincu et tué à la bataille de Stamford Bridge par Harold. Cette date est donc considérée comme marquant la fin de la gouvernance proprement viking en Angleterre.
Harold est sacré roi dès le lendemain, mais le duc de Normandie Guillaume, s’emparera du pouvoir après sa victoire sur Harold à la bataille d’Hastings (14 Octobre 1066) où Harold est tué.
C’est l’épopée normande de la conquête de l’Angleterre, relatée par la fameuse « tapisserie de la reine Mathilde » dite tapisserie de Bayeux en fait une broderie réalisée par des artisans flamands, commandée par l’évêque Odon de Bayeux, le demi-frère de Guillaume et réalisée au cours des années qui ont suivi la conquête pour relater les hauts faits d’arme normands : la tell du conquest.
Bien que présentant les événements sous un jour toujours très favorable à Guillaume le Conquérant, au point d’être considérée parfois comme une œuvre de propagande pour asseoir la légitimité de ce dernier à régner sur l’Angleterre et à rallier les nobles saxons, elle a une valeur documentaire inestimable pour la connaissance du XIeme siècle tant normand qu’anglais. Elle nous renseigne sur les armes, les techniques de combat, les châteaux, les navires et les conditions de vie de cette époque.
Elle est aussi considérée comme la première bande dessinée occidentale (haute d’environ 50 cm sur près de 70 m de long).
Le massacre de la Saint-Brice n’aura donc eu pour conséquence durable que l’effet inverse de ce qu’ en attendait son instigateur : l’éviction des Saxons du trône britannique au profit des hommes du nord. (Scandinaves, danois ou suédois… puis Normands). (Il s’en suivra pratiquement deux siècles d’occupation du trône britannique par des dynasties normandes puis angevines, conduisant à l’arrivée des Plantagênet…)
Si on y réfléchit bien, l’accession au trône du Royaume Unie de Charles III – à la mort de la reine Elisabeth II, née Saxe Cobourg Gotha dite « Windsor » – marque, mille ans plus tard, le retour des Danois sur le trône d’Angleterre : son père, duc d’Edinbourg, Philippe Battenberg anglicisé en Mountbatten, n’est-il pas authentiquement en ligne directe, un membre de la dynastie des Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg ?… Des « Danois » s’il en est !
Une famille du Jutland qui règne sur le Danemark depuis 1448, régna sur la Norvège en1905, régna un temps sur la Grèce, et donc maintenant… sur le Royaume-Uni de Grande Bretagne depuis la fin 2022 !
Conséquence récurrente de la victoire des envahisseurs : la caution politique britannique actuelle face à la submersion migratoire !
« 364 députés britanniques (contre 111) viennent de voter CONTRE « une enquête nationale sur les gangs de violeurs pakistanais » dont ont été victimes des milliers de fillettes britanniques pendant des années ! L’actuel Premier Ministre, Keir Starmer, avait déjà protégé des gangs de la Justice au nom du «politiquement correct » dans ses précédentes hautes fonctions auprès du ministère public britannique. (équivalent du parquet en France qui décide de l’ouverture des enquêtes et des poursuites). » (https://jeune-nation.com/actualite/geopolitique/grooming-gangs-le-parlement-britannique-refuse-une-commission-denquete)
On devra se rappeler de la position « négationniste » de l’élite politique britannique, dès la fin 1943 et au début 1944, face à la vague de viols subis des britanniques liés aux GI parqués, désœuvrés, en camps en zones souvent rurales, plusieurs semaines, voire plusieurs mois, dans l’attente du débarquement (D Day). Un sujet totalement étouffé, toujours tabou 80 ans après, sur lequel il est encore pratiquement impossible de disposer d’éléments historiques !
Aujourd’hui les violeurs qu’il faut occulter, sinon carrément politiquement protéger, sont pour les politiciens londoniens des immigrés non plus américains mais issus du Commenwealth, surtout apparemment des africains subsahariens et/ou des asiatiques issus des états consécutifs à l’indépendance des Indes. Ici se sont des pakistanais qui sont en cause ?
La loi imposée par les immigrés en Grande Bretagne n’est plus celle du Danelaw et du polythéisme scandinave qui s’était s’imposée durant pratiquement un siècle de 850 à 960 sur une moitié du pays…
Aujourd’hui, la « loi des immigrés », qui s’impose dans un pays déjà fortement marqué par le judaïsme depuis Cromwell, et l’implantation du protestantisme luthérien (qui n’a rien à voir avec le schisme purement politique anglican qualifié à tort de « protestantisme »), est celle de l’islam, matérialisée par la charia…
A l’unisson toute la classe politique a dénoncé « les exactions de l’extrême droite » en plein accord avec les déclarations du roi…
Maintenant je vais en remettre une couche sur nos anciens d algerie et d indochine:
Lorsqu il y a insurrection generale ou invasion massive d une population non nationale avec incapacite de mener une guerre normale que ce fut Bizance ou Rome ou peut importe l empire seule une guerre d annihilation totale de la population regle definitivement le probleme a l image de Marius a cannes.
Aucune solution n est possible dans un cadre republicain ou pire Maurassien comprenez par la catholique et bourgeois. Tout le reste n est que verbiage ou bouquin de memoire de guerre…