364 députés britanniques (contre 111) viennent de voter CONTRE « une enquête nationale sur les gangs de violeurs pakistanais » dont ont été victimes des milliers de fillettes britanniques pendant des années ! L’actuel Premier Ministre, Keir Starmer, avait déjà protégé des gangs de la Justice au nom du « politiquement correct » dans ses précédentes haute fonctions auprès du ministère public britannique (équivalent du parquet en France qui décide de l’ouverture des enquêtes et des poursuites).
Qu’ont-ils à cacher ?!
Et en France, combien d’affaires de « Grooming gangs » jamais révélées ou étouffées pour « protéger » leur « vivre-ensemble » et la « diversité » ?
J.N.
Le scandale des grooming gangs britanniques revient sur le devant de la scène avec une force explosive, comme un rappel brutal de l’effondrement moral et institutionnel de nos sociétés occidentales. Ces réseaux criminels, composés principalement d’hommes issus de certaines communautés immigrées, ont exploité sexuellement des milliers, voire des dizaines de milliers, de jeunes filles blanches au Royaume-Uni. Pourtant, pendant des années, ces crimes ont été ignorés, minimisés, voire dissimulés par les autorités, les médias et les élites politiques. Aujourd’hui, certains osent s’indigner qu’Elon Musk en parle ouvertement, relançant un débat que tous préféreraient enterrer.
Alors que la presse française a fait de l’affaire Pelicot l’un des dossiers médiatiques les plus marquants de 2024, faisant de cette ignoble affaire un drame national, l’effroyable réalité des grooming gangs reste reléguée à l’arrière-plan, comme un simple « dysfonctionnement » institutionnel. Mais soyons clairs : les chiffres parlent d’eux-mêmes. Nous ne sommes pas face à un fait divers. Nous sommes face à un viol de masse racial et institutionnalisé, à un abandon volontaire de milliers de jeunes filles par un système gangrené par la lâcheté et l’idéologie.
Rotherham, Telford, Rochdale : des laboratoires de la barbarie moderne
L’affaire des grooming gangs ne date pas d’hier. Dès 2014, le rapport Jay dévoilait que plus de 1 400 enfants avaient été victimes d’abus sexuels organisés à Rotherham, une ville ouvrière du nord de l’Angleterre. Depuis, des enquêtes similaires ont révélé des horreurs comparables à Rochdale, Telford, et dans tant d’autres villes britanniques. Les victimes, pour la plupart des jeunes filles blanches issues de milieux modestes, étaient ciblées, manipulées, et prostituées par des réseaux criminels opérant avec une impunité quasi totale.
Aujourd’hui, de nouvelles estimations font état de potentiellement 250 000 viols, faisant de ce scandale l’un des pires crimes de masse de l’histoire moderne. Ces chiffres glacials devraient provoquer une indignation planétaire. Pourtant, ils n’ont suscité que des murmures gênés. Pourquoi ? Parce que les auteurs de ces crimes appartiennent à des communautés que l’idéologie dominante refuse de critiquer. (…)
Le silence coupable des élites
Les autorités britanniques ont préféré détourner les yeux. Pourquoi ? Par peur d’être accusées de racisme, d’islamophobie ou de stigmatisation. La lâcheté a dominé, et les institutions censées protéger ces jeunes filles les ont abandonnées. Policiers, travailleurs sociaux, politiciens : tous savaient, mais tous ont choisi de ne rien faire. Pire encore, certaines victimes qui ont osé parler ont été culpabilisées ou ignorées, comme si leur souffrance n’était qu’un inconvénient dans la grande mécanique du multiculturalisme heureux. (…)
Un jour, les responsables devront payer
Ce scandale ne s’arrête pas aux criminels eux-mêmes. Ceux qui ont permis cette barbarie par leur silence ou leur complicité devront rendre des comptes. Les responsables politiques, les médias, les bureaucrates des forces de l’ordre : tous devront être jugés pour leur rôle dans cet effondrement moral.
Et ne nous y trompons pas : ce qui se passe au Royaume-Uni est un avertissement pour toute l’Europe. Les mêmes mécanismes sont à l’œuvre partout où l’immigration massive, combinée à la lâcheté des élites, transforme nos sociétés en poudrières multiculturelles. Si nous ne réagissons pas, nous connaîtrons demain nos propres grooming gangs, nos propres Rotherham.
Ce drame doit nous ouvrir les yeux sur les dangers d’une société qui sacrifie ses enfants sur l’autel du multiculturalisme et de l’idéologie. Il est temps de dire non à cette logique mortifère. Il est temps d’exiger des politiques fermes, des institutions transparentes, et une justice implacable envers ceux qui trahissent leur mission première : protéger les plus vulnérables. (…)
Julien Dir
Source : Breizh -Info
Et s’il ne s’agissait encore seulement que de viols… Quelqu’un se souvient-il parmi nous de l’affaire Charlene Downes survenue en 2003 ?
Pour rafraîchir les mémoires, j’en redonne ici le récit publié par Actualités Europe en date du 03/11/2013 :
Charlene Downes : quand la barbarie musulmane le dispute au sordide…
Sinistre anniversaire : il y a 10 ans, le samedi 1.11.2003, une gamine anglaise de 14 ans – Charlene Downes – disparaissait mystérieusement à Blackpool, en Angleterre.
Une enquête de très grande ampleur eut lieu pendant des années. Elle coûta 6.000.000 Livres Sterling aux contribuables anglais. Des dizaines de policiers enquêtèrent, interrogèrent des centaines de personnes – presque exclusivement musulmans – et plusieurs suspects furent arrêtés. On ne retrouva jamais le corps de l’adolescente.
L’enquête fut problématique pour plusieurs raisons : le maudit « politiquement correct » empêchait d’arriver à certaines conclusions, pourtant naturelles et logiques, quant aux auteurs et aux circonstances du meurtre… De plus, cette affaire fut très médiatisée ce qui exerçait une forte pression sur les inspecteurs et nuisait à la qualité de leur travail. A cela il faut enfin ajouter des erreurs dans l’enquête : pendant une année entière, cette affaire fut traitée comme une simple disparition d’enfant et pas comme un meurtre alors que tout pointait dans cette direction. Cela fit perdre un temps précieux et occasionna certainement la disparition définitive de plusieurs indices qui auraient permis la résolution rapide et totale de ce cas.
Finalement, en 2007, deux arabo-musulmans furent arrêtés et condamnés. Il s’agissait d’un immigré jordanien – Iyad Albattikhi, 29 ans – et d’un autre arabo-musulman – l’Iranien Mohammed Reveshi, 50 ans. Tous deux étaient associés pour gérer une gargote de kebabs à emporter : le « Funny Boyz ». De plus, Mohammed Reveshi était le propriétaire de l’endroit où habitait le Jordanien Iyad Albattikhi (par ailleurs, I. Albattikhi était aussi un « travailleur social »). Ces deux Moyen-orientaux (musulmans) étaient condamnés à travailler ensemble dans toutes les circonstances, y compris les plus ignobles…
Ce qui fut révélé concernant la malheureuse adolescente blanche de 14 ans donne la nausée : elle a été enlevée, violée, prostituée et finalement assassinée par les deux extra-européens musulmans (plus précisément, celui qui tua la gamine fut Iyad Albattikhi et le second, Mohammed Reveshi, l’aida à faire disparaître le corps). Et comme si tout cela ne suffisait pas, ils firent ensuite disparaître le corps d’une manière répugnante : ils ont dépecé le corps et ont séparé la chair humaine des os. La « viande » était ensuite écoulée sous forme de kebabs ! Quant aux os, ils furent broyés et réduits en poudre avant que cette dernière ne fut utilisée dans la fabrication de carrelage (un ami des deux monstres musulmans possédait une petite fabrique de carrelage…).
Certains doutent de la véracité d’une telle histoire tant elle est abjecte. Pourtant, il faut mentionner deux choses :
– des analyses ont prouvé que de la chair humaine avait été mélangée aux autres viandes dans la boutique.
– les deux non-Blancs furent condamnés à 10-15 ans de prison – ce qui est, d’une manière générale, une peine très longue – mais aucun des deux extra-européens musulmans ne fit appel de cette peine ! Comme si ils estimaient qu’ils s’en tiraient plutôt bien, vu l’horreur de ce qu’ils avaient accompli…
Les détails de l’enquête montrent que Charlene Downes menait, dans les derniers mois de son existence, une vie chaotique depuis qu’elle avait été renvoyée de son école. Il semble qu’elle se rendait fréquemment dans un quartier de Blackpool où se trouvaient les gargotes de kebabs – dont celle des deux assassins. Là, elle tomba sous la coupe des deux immigrés – ils lui offrirent de la nourriture gratuitement et peut-être d’autres choses (alcool, cigarette, drogue). Petit à petit, ils gagnèrent sa confiance et acquirent une emprise sur elle. Puis ils abaissèrent ses inhibitions avant de l’abuser sexuellement. Elle passa alors sous leur coupe et fut prostituée par eux. Cette ignominie n’est pas rare en Grande-Bretagne : des centaines d’adolescentes blanches deviennent des esclaves sexuelles d’immigrés musulmans en Angleterre (surtout dans la région des Midlands (Manchester, Birmingham, etc.) et dans le Nord de l’Angleterre). Rien que pour Blackpool et son quartier de vendeurs de kebabs, il y aurait 60 adolescentes concernées, presque toutes blanches… Elles ont entre 11 et 15 ans ! Les gargotes de kebab incriminées à Blackpool sont au nombre de onze. Au niveau de l’Angleterre tout entière, les esclavagistes sexuels musulmans sont souvent pakistanais ou afghans. En anglais, on appelle cela du « child grooming », de la préparation ou du dressage d’enfant pour une fonction future… Le « child grooming » comprend l’exploitation d’enfants pour la prostitution ou la production de pornographie enfantine. Ces deux aspects appartiennent de toute façon à un domaine plus large : la pédophilie.
Les raisons du meurtre de l’adolescente blanche prostituée par les deux immigrés musulmans ne sont pas certaines. Mais ce qui est sûr est que ces deux hommes avaient abusé sexuellement de Charlene Downes ce qui relève de la pédophilie et est donc punissable par la loi. Là est peut-être le mobile du meurtre.
A noter que quelque chose d’incroyable et de scandaleux s’est produit après la condamnation des deux étrangers. Il y eut un nouveau procès où l’on pointa des erreurs dans l’enquête et des vices de procédure et cela aboutit à la libération des deux individus ! Pire, ils furent « dédommagés » en recevant chacun une somme de 250.000 Livres Sterling !! Pourtant, les abus sexuels de ces deux allochtones sur une adolescente blanche avaient été démontrés ! De plus, des micros cachés chez les deux immigrés et dans la voiture de Mohammed Reveshi ont produit des enregistrements où le doute n’est pas permis quant à leur culpabilité dans cette affaire. Par ailleurs, Tariq Albattikhi, le frère du plus jeune des deux immigrés, a témoigné contre son frère et révélé les détails de cette horrible histoire. Enfin, des témoins ont rapporté des conversations entre Iyad Albattikhi et d’autres musulmans qui mentionnaient très clairement les relations sexuelles qu’ils avaient avec des adolescentes blanches de Blackpool dont Charlene Downes ainsi que la manière dont ils ont fait disparaître le corps de la malheureuse…
Mais malgré tous ces éléments révoltants, nous voilà ramenés à la situation précédente : on n’a toujours pas retrouvé le corps de Charlene Downes et, officiellement, on n’a aucun coupable…
Le pire, peut-être ? Iyad Albattikhi et Mohammed Reveshi veulent poursuivre leur activité de vente de nourriture ! Ils ont rebaptisé leur boutique « Mr Beanz » – sans doute le nom « Funny Boyz » risquait-il de rappeler aux gens le passé ignoble de ces deux extra-Européens… En 2010, les autorités leur ont refusé une licence pour ouvrir une gargote de nourriture chaude par peur de nouvelles exploitations sexuelles de mineures mais les deux Moyen-orientaux crient à une « vengeance de la police » et ont fait appel en justice !!! Ils ont abusé sexuellement et prostitué des adolescentes blanches très jeunes et en ont très probablement assassiné deux (voir ci-dessous) mais ils sont libres, ont reçu chacun 250.000 livres sterling (environ 300.000 euros) et vont en justice pour rouvrir leur boutique qui leur sert à leur esclavage sexuel ! Mais que fait la justice anglaise ?! Que fait la justice occidentale ?!
Signalons encore d’autres éléments. Les deux arabo-musulmans, une fois sortis de prison en 2007, ont repris exactement la même activité commerciale à Blackpool. Or, le 23.8.2007, Paige Chivers, une adolescente blanche de 15 ans, a elle aussi disparu dans ce quartier. Plus précisément, elle aurait aussi été cliente de leur gargote ! Et elle aurait aussi été exploitée sexuellement… En 2010, la police a découvert que les adolescentes qui fréquentaient cette boutique étaient approvisionnées en alcool et en cocaïne… En 2012, la police a avoué ne plus avoir de pistes d’enquête pour retrouver la malheureuse Paige Chivers.
Le cas de ces deux malheureuses trouve un écho dramatique au niveau national : autour de gargotes des centre-villes dans les Midlands (Manchester, Birmingham, etc.) et dans le Nord de l’Angleterre, on trouve essentiellement des bandes de Moyen-orientaux qui exploitent sexuellement des adolescentes blanches… Cela est très fréquent et l’on retrouve toujours le même procédé : de la nourriture, de l’alcool, des cigarettes voire de la cocaïne sont offerts à des adolescentes blanches – âgées parfois de seulement 11 ans et provenant très souvent de foyers à problèmes – en échanges de services sexuels.
Pire, un rapport de la police rédigé en 2003 – peu de temps après la disparition de Charlene Downes – détaillant ces pratiques d’exploitation sexuelle liées aux vendeurs de kebabs et autres gargotes a été volontairement dissimulé pendant de nombreuses années pour éviter d’aller à l’encontre du scandaleux et mensonger politiquement correct ! Les policiers auraient craint d’être accusés de « racisme »… Ce scandale a finalement éclaté en avril 2011. Dans l’étude de 2003, les jeunes filles y sont pourtant décrites comme des « proies faciles » pour les prédateurs arabo-musulmans… Mick Gradwell, un ancien superintendant de la police du Lancashire a révélé que l’enquête sur l’exploitation sexuelle d’adolescentes à Blackpool n’avait pas pu aboutir à cause du politiquement correct. Il ne fallait surtout pas « briser la cohésion sociale » !
Face aux déclarations très directes de Mick Gradwell, la police du Lancashire a le culot de démentir… Ainsi, le haut responsable Andy Rhodes minimise le poids des arabo-musulmans dans ces affaires et prétend parfaitement traiter le problème en « travaillant avec les communautés locales » [sic] et en « s’adressant aux mosquées pour éveiller les esprits » [re-sic]. Pourtant, les faits sont indéniables : si les coupables de délits sexuels sont assez souvent, en général, des hommes blancs solitaires, 89 % des exploitants sexuels d’adolescentes sont musulmans, essentiellement « d’origine » pakistanaise…
Sources :
http://www.dailymail.co.uk/
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/
http://en.wikipedia.org/wiki/Disappearance_of_Charlene_Downes
http://www.mirror.co.uk/
http://www.telegraph.co.uk/
Ce commentaire est encor plus glaçant que l’article lui-même. Mais ce qui me laisse incrédule est l’absence de réaction des familles de souche européenne !
Quant aux monstres d’égoïsme et de cynisme, politiques, policiers, journalistes, qui, pour faire carrière en toute quiétude, ont tu ce qu’ils savaient et s’en sont ainsi rendus complices, il faut qu’il y ait des gens comme nous pour leur dire : « La roue tourne et tourne même désormais très vite ! Nos idées progressent chez tous les peuples d’occident ! Nous nous approchons du pouvoir et mettrons fin à celui de ceux qui ont garni vos mangeoires et qui vous ont protégés pour mieux vous manipuler ! Ne comptez pas sur notre mansuétude : UN JOUR PROCHAIN, NOUS VOUS FERONS PAYER AU PRIX FORT »