Un troisième lieu de culte islamiste a été touché par un incendie en une semaine en Suède. Le dernier incident s’est produit dans la ville d’Uppsala (sud-est), la troisième agglomération de Suède la plus peuplée avec 200 000 habitants, dont un nombre croissant de non européens. Selon des témoins, un individu y aurait jeté un engin incendiaire dans la nuit de la Saint-Sylvestre. Une association islamiste a prétendu avoir découvert sur la porte du lieu de propagande islamiste une inscription précisant :« Cassez-vous sales musulmans. »
Cette « attaque » rappelle la fausse première attaque survenue à Eskilstuna, pour lequel la police suédoise avait imprudemment parlé d’attaque avant de privilégier la piste de l’accident ou de l’escroquerie. Une autre « attaque » a été la survenue d’un incendie dans un autre lieu de propagande à Eslöv, une affaire dans laquelle la police n’a privilégié aucune piste.
Après la première fausse « attaque », le premier ministre antisuédois Stefan Löfven a réussi à sauver son gouvernement en ralliant à sa politique plusieurs partis centristes et libéraux-conservateurs contre l’extrême droite. Bien qu’aucun fait ne soit avéré, il a déjà dénoncé le « racisme » et « l’islamophobie » et annoncé, en pleine crise économique, le déblocage d’importants fonds pour la sécurité des lieux de propagande islamiste au détriment de la sécurité des Suédois, qui subissent, eux réellement, quotidiennement le racisme antiblanc des nombreux occupants.
Cependant, et même si le parti d’extrême droite des Démocrates suédois (SD, Sverigedemokraterna) a condamné ces prétendues « attaques », la population montre clairement son refus de l’invasion. Les manifestations contre « l’islamophobie » mobilisent ainsi extrêmement peu de personnes. Après un premier échec à Eskilstuna, une manifestation à Uppsala n’a réuni quelques centaines de personnes vendredi, dont des islamistes.
« Nous voulons lancer un message pour dire que ces attaques contre des mosquées et d’autres atteintes motivées par la haine contre les musulmans sont un problème pour toute la société, pas que pour les musulmans. Chacun doit se demander si c’est le type de société qu’il veut »
en a profité pour déclarer Mohammed Kharraki, un responsable islamiste.
Il n’y a eu aucune arrestation pour ces « attaques », dans un pays où la répression est habituellement très dure contre les nationalistes, confrontés à l’État, à l’extrême gauche et à l’invasion.