L’hypocrisie et la corruption morale des tueurs de l’État islamique (ÉI) n’ont probablement d’égal que leur sauvagerie et leur nihilisme. Nombre de tueurs du groupe terroriste ont contracté des maladies vénériennes en multipliant les partenaires, consentantes ou non, s’arrangeant avec ce qui leur sert de religion pour satisfaire leurs pulsions animales.
Notamment, plusieurs d’entre eux auraient été contaminés par le virus du SIDA en couchant avec deux Marocaines. Ces dernières se seraient enfuies en Turquie après avoir découvert qu’elles étaient porteuses du virus et surtout qu’elles avaient contaminé des tueurs.
Selon le témoignage d’un médecin, seize de ces terroristes sidaïques seraient actuellement regroupés dans un hôpital à Mayadeen, dans l’est de la Syrie. Ils seraient préparés pour être envoyés en mission suicide en Occident. Le groupe criminel mènerait actuellement une campagne pour retrouver l’ensemble de ses disciples contaminés. Il serait nombreux : une autre épidémie se serait produite à Shaddadi (Hassaké). Un islamiste venu d’Indonésie aurait contaminé une femme réduite en esclavage et ensuite « revendue » à d’autres tueurs qui ont été sidaïsés. Il aurait également participé à des dons du sang avant de finir exécuté.
Cette affaire n’est pas sans rappeler des crimes déjà commis ces dernières années en Europe. Il y a quelques jours, l’un de ces ‘migrants’, censé assurer l’avenir et la prospérité de l’Europe, a été arrêté en Islande, après avoir contaminé volontairement par le virus du SIDA plusieurs Islandaises (« Un “migrant” criminel transmettait volontairement le virus du SIDA à des Islandaises reniées »).