Fusillade après une attaque de ‘réfugiés’ en Bulgarie

Un envahisseur afghan a été tué par balle par les forces sécuritaires bulgares dans la nuit de mercredi à jeudi dans le secteur de Srédéts (Bourgas, sud-est). Il a été tué lors d’une fusillade qui s’est déroulée près de la frontière turco-bulgare. Selon les autorités, le criminel étranger a été blessé par une balle qui a « ricoché » ; il est décédé après son entrée à l’hôpital.

Au moins 54 criminels afghans, « armés et agressifs », ont refusé d’obéir aux ordres des forces de l’ordre et ont agressé ces dernières, entraînant la riposte des trois gardes-frontières. Les autorités ont annoncé l’arrestation de 48 de ces envahisseurs. Il est à noter qu’une fois encore bien loin de « réfugiés », il s’agit d’individus mâles, âgés de 20 ans à 30 ans, tous en bonne santé, très loin des familles en détresse inventées par les médiats du système. Ils se trouvaient à une trentaine de kilomètres à l’intérieur des terres.

Alors que de nombreux Européens sont morts et ont souffert dramatiquement dans leur chair à cause de la dernière vague d’invasion, il s’agit du premier étranger violant les frontières de l’Europe et ayant commis une agression à succomber dans une riposte des forces de l’ordre.

L’Organisation des Nations unies (ONU), qui n’a pas réagi quand deux Suédois ont été assassinés dans un magasin Ikéa par un envahisseur ni quand deux Italiens ont été massacrés par un gang de criminels africains il y quelques semaines, pas plus qu’elle n’avait réagi après le viol d’une enfant en Allemagne par un prétendu ‘réfugié’, a immédiatement multiplié les communiqués pour « condamner » (sic) les forces sécuritaires bulgares s’étant fait agresser et ayant osé répliquer, et se prétendre « choquée ».

« Le HCR est profondément choqué par l’incident dans lequel est mort un migrant. Nous condamnons les faits qui ont conduit à la mort d’un demandeur d’asile afghan et ce qui est arrivé alors qu’il tentait de chercher la sécurité [sic] en Bulgarie et exercer le droit universel à la demande d’asile »,

a osé Boris Cheshirkov, le représentant local de l’organisme principal organisation l’invasion de l’Europe, le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCNUR, dit HCR), sans expliquer pourquoi des individus réclamant asile étaient armés, agressifs, violaient les frontières et attaquaient les forces de l’ordre.