Le 24 juin 2015, la cour d’appel de Paris a condamné la France pour « faute lourde », après des contrôles réalisés par la police dit « au faciès ». Treize étrangers maghrébins et africains avaient porté plainte contre le pays qui les accueille – et où ils continuent à vivre, prouvant que l’oppression n’a pas grand-chose d’invivable, aucun n’ayant réclamé à l’Algérie ou à l’Érythrée l’asile politique – à cause de contrôles de la police répétés au vu du danger et de la menace qu’ils représentent.
Les juges rouges de Christiane Taubira avaient donné raison à cinq d’entre eux, se fondant sur de prétendues « présomptions graves, précises et concordantes » pour des contrôles qui auraient été réalisés « en tenant compte de l’apparence physique et de l’appartenance vraie ou supposée, à une ethnie ou une race ».
Un jugement d’autant plus étonnant que leur République nie pourtant – sauf quand il s’agit d’insulter, de culpabiliser et de criminaliser les Blancs – la réalité des ethnies et des races : comment des policiers pourraient-ils réaliser des contrôles concernant des appartenances qui n’existent pas, et qui donc, par définition, ne peuvent être perçues ? Il ne peut, au mieux, s’agir que de hasard.
C’est la première fois qu’un tel jugement est rendu en France, coïncidant avec une offensive jamais vue des forces totalitaires visant à imposer la diversité – c’est-à-dire le génocide des Blancs, la disparition de leur culture dans une sous-culture de mélanges bâtards – et de la présence à la tête du ministère d’une raciste antifrançaise. Christiane Taubira s’était d’ailleurs réjouie de cette condamnation de l’État français – qu’elle est censée servir –, visant particulièrement les policiers effectuant les missions les plus difficiles dans les pires quartiers envahis.
Il s’agit d’une longue guerre menée dans notre pays à l’image des campagnes racistes antiblanches et antipolicières menées aux États-Unis ces derniers mois après la mort de criminels africains, visant à donner aux étrangers toute latitude pour commettre crimes et délits.
Ce n’est que plusieurs mois plus tard que Manuel Valls a enfin autorisé la formulation d’un pourvoi contre ce jugement scandaleux, insultant pour la France et déshonorant pour les rares forces de police faisant leur métier. Il s’agit d’une bien faible réaction quand les prétendus « contrôles au faciès » devraient être généralisés et institutionnalisés.
« Chaque fois qu’on parle de fouilles aléatoires, il y a quelqu’un qui dit “ça risque d’être discriminatoire”. Moi je préfère qu’on discrimine effectivement pour être efficaces plutôt que de rester spectateurs »,
avait d’ailleurs déclaré en ce sens le secrétaire d’État aux Transports Alain Vidalies après un énième drame de l’invasion.
Il ne s’agirait que d’une mesure de bon sens que la réalisation d’une seule statistique ethnique réalisée dans une prison justifierait.