Valentina Xhaferi est l’une des ces immigrés qui, une fois acceptés dans un pays, deviennent des facteurs de destruction et de corruption. Depuis des années, la banlieue de Tensta à Stckholm est devenue une zone de non-droit où les policiers sont très régulièrement attaqués, caillassés, insultés. Les Blancs y ont été victimes d’une épuration ethnique. Mais la journaliste de gauche, persuadée que les faits relatés par les policiers étaient faux, au moins partiellement, sûre que tout cela n’était qu’une affaire de préjugés et de racisme, s’est rendue dans la cité occupée, pour recueillir le témoignage et la version des « victimes ».
Sur place, la journaliste et son preneur d’images ont, dès leurs premiers pas dans la zone occupée, été arrêtés par un individu, auquel elle a exposé le but de leur visite. L’individu les a laissés sur place, en leur « demandant » de ne pas bouger ; peu après un deuxième individu est arrivé, leur demandant brutalement ce qu’ils faisaient là, pourquoi ils avaient une caméra, avant d’appeler plusieurs autres racailles.
« Ils pensaient que nous avions passé une frontière et que nous nous trouvions sur leur territoire »,
a interprété la journaliste.
« Ensuite, il s’est montré, très, très énervé et a dit qu’il allait chercher des pierres, pour nous montrer ce qu’était la lapidation. Quand je l’ai vu avec une pierre, j’ai voulu partir »,
a-t-elle ajouté.
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Les racailles ont alors commencé à frapper le preneur d’images, tentant de casser son matériel.
« J’ai essayé de calmer tout le monde […]. Je suis devenue inquiète avec le sentiment que la situation allait dégénérer. C’est alors qu’un jeune a jeté une pierre sur nous »,
a-t-elle poursuivi, ajoutant que, si la pierre ne les a pas touchés, un autre individu leur a jeté son café dessus, après quoi les deux journalistes se sont enfuis pour échapper à la démonstration de lapidation.
La leçon n’a pourtant pas suffi à la journaliste qui a évoqué le cas de « quelques-uns » qui ternissent l’image d’un quartier. Elle est d’ailleurs revenue quelques jours plus tard sur les lieux… accompagnée par la police.
L’archétype de la femme blanche « émancipée », haineuse du blanc, adoratrice de l’infra-humain, névrosée et, in fine, instrument du juif dans sa dissolution de notre continent.