Alors que le gouvernement français s’embourbe dans une laborieuse campagne de vaccination et humilie la France devant le monde entier, il convient de prendre un peu de hauteur et de revenir sur l’année qui vient de s’achever.
Breizh-Info vient justement de publier le premier volet du bilan de l’année « pandémique » 2020 qui traite des questions sanitaires et démographiques.
Passons rapidement en revue les points qui me semblent les plus importants.
Le virus ne tue pas tout le monde, la mortalité est quasi inexistante pour les personnes de moins de 60 ans et en bonne santé. Le bilan humain de l’épidémie n’a rien à voir avec les modèles et prévisions alarmistes qui annonçaient une hécatombe au niveau mondial.
La malnutrition et la malbouffe, les cancers, le tabac, l’alcool, la drogue, le Sida, les suicides, sont des causes de mortalité qui, année après année, réduisent l’espérance de vie de manière beaucoup plus importante que n’a pu le faire la Covid 19 en 2020 […]
[…] Pour relativiser encore et toujours les bilans humains de cette pandémie 2020, il convient de rappeler qu’il y a déjà eu, durant l’année 2020, 140 millions de naissances, 42,7 millions d’avortements et 59 millions de décès dans le monde dont :17 millions de décès liés aux pathologies cardio-vasculaires
– 11,2 millions de décès liés à la malnutrition
– 8,25 millions de décès liés au cancer
– 5 millions de décès liés au tabagisme
– 3,8 millions de maladies respiratoires non transmissibles (MNT)
– 2,5 million de décès liés à l’alcool,
– 2 million de décès du diabète
– 1,83 million décès « avec » le Covid-19
– 1,7 million de décès de la tuberculose
– 1,36 million de décès d’accident de la circulation
– 1,1 million de suicides
Les décès attribués au covid sont concentrés dans un nombre restreint de pays.
Les deux tiers des décès enregistrés l’ont été dans 10 pays : Les États-Unis, le Brésil, l’Inde et le Mexique ont déclaré, à eux quatre, 825 000 décès (plus de 41% de toute la pandémie). Avec l’Italie, le Royaume Uni, la France, la Russie, l’Iran et l’Espagne, on arrive à 1,2 millions de décès soit près de 66% des pertes.
Les décès attribués au seul covid ont été surévalués, tandis les contaminations semblent avoir été sous-évaluées. Dans la même veine, le taux de guérison est plus élevée que celui annoncé.
D’autres pays ont peut-être aussi connu un défaut de suivi des guérisons des cas confirmés « bénins ». La conclusion est claire : le taux de guérison réel est certainement déjà supérieur à 80% au niveau mondial. Le nombre de cas actifs ne serait donc plus de 23 millions mais plus proche de 15 millions, dont une petite fraction seulement a dû être hospitalisée.
L’efficacité du confinement à la française n’a pas été démontrée.
La plus grande pandémie de 2020 ne fut pas celle du coronavirus, mais bien celle de la désinformation et de l’hystérie.
Pour plus d’informations, je vous renvoie au bilan complet publié sur le site Breizh-Info.
Oscar Walter
Pourquoi reprocher au gouvernement français de trainer sur le vaccin?
Il faut quand même avoir un peu de cohérence, on ne peut pas reprocher au gouvernement de ne pas vacciner pour ensuite lui reprocher de le faire.
Idem pour le masque, je m’honore de n’avoir jamais critiqué le gouvernement parce qu’il n’y en avait pas.
Il ne faut pas donner dans l’ochlocratie en permanence.
à propos, pour l’instant, le nombre de cas en Israël continue de grimper, malgré la vaccination d’un sixième de la population.