Suite au viol d’une fillette irlandaise de 10 ans par un envahisseur africain, un véritable soulèvement populaire a eu lieu ces derniers jours à proximité du centre pour réfugiés où l’agresseur logeait.

Cette agression était particulièrement répugnante : selon les médias locaux, le clandestin de 26 ans est accusé d’avoir agressé sexuellement une fillette de 10 ans dans l’enceinte d’un hôtel entre 23 h dimanche et 1 h 30 lundi. La fillette aurait été placée sous la tutelle de l’État après que sa famille ait eu des difficultés à gérer ses problèmes de comportement, mais elle aurait échappé à la surveillance de ses accompagnateurs lors d’une sortie récréative dans le centre-ville de Dublin, pour finalement devenir la proie du prétendu réfugié de 26 ans.
Conformément à la réglementation irlandaise relative aux affaires d’agression sexuelle, les autorités n’ont pas révélé l’identité du suspect qui bénéficie d’une aide juridictionnelle puisqu’il est sans emploi. Mais, bien que les autorités n’aient pas précisé ses origines, son avocat a rapidement demandé un interprète en langue arabe. Le clandestin est arrivé en Irlande depuis l’Afrique (vraisemblablement le Cameroun) il y a six ans et sa demande d’asile a été rejetée l’année dernière.
Au début de cette année, il avait reçu un ordre d’expulsion auquel il n’a pas obtempéré et que les autorités non pas fait appliquer. La « tolérance » et la protection des « droits de l’homme » pour les clandestins ont été prioritaires sur la sûreté et les droits des citoyens irlandais. L’OQTF non exécuté n’est évidemment pas une spécificité française puisque c’est une législation dictée par l’eurocratie bruxelloise qui fixe les règles de l’entrée, du séjour et de l’asile des étrangers sur le territoire de tous les pays membres de l’Union européenne…
Avec ses 764 lits, l’hôtel Citywest de Saggart (sud-ouest de la capitale irlandaise) qui abrite les réfugiés est le plus grand hôtel de toute l’Irlande. Le mois dernier, le gouvernement l’a racheté pour 148 millions d’euros afin de le transformer en un centre d’hébergement permanent pour les migrants, le qualifiant par euphémisme de « centre d’hébergement international de protection ». Cette acquisition a été réalisée malgré l’opposition des habitants, qui ont organisé plusieurs manifestations au cours de l’été et recueilli plus de 8 000 signatures sur une pétition contre cette conversion permanente.
« Virez-les ! »
Après que la nouvelle de l’agression se soit répandue, la colère populaire a explosé. Indignés par ce crime sordide, des milliers de citoyens irlandais brandissant des drapeaux irlandais et tenant des pancartes anti-immigration, ont encerclé l’hôtel pour migrants, et ont incendié un véhicule de police. Les citoyens excédés brandissaient des fourches et autres outils de jardinage, ainsi que des feux d’artifice et des lasers portatifs, et scandaient « Virez-les ! ». Des jeunes nationalistes à cheval ont brisé des barricades policières qui protégeaient le centre.
Le tramway de Dublin a dû être arrêté et la police a dressé des barrages sur plusieurs routes pour empêcher que des manifestants arrivent de tout le pays.
Néanmoins, une ligne de Gardai en tenue anti-émeute (la police irlandaise) a réussi à empêcher la foule d’atteindre l’hôtel. Six personnes ont été arrêtées parmi les milliers de manifestants. Le ministre irlandais de la Justice, Jim O’Callaghan, a condamné cette révolte accusant les manifestants d’utiliser de manière opportuniste « un crime… pour semer la discorde dans notre société » et tentant de les présenter comme non représentatifs du sentiment des citoyens locaux à l’égard de l’afflux massif de prétendus « demandeurs d’asile » : « Malheureusement, il n’est pas surprenant que des individus qui souhaitent semer la dissidence dans notre société instrumentalisent un crime. C’est inacceptable et la police réagira avec fermeté. Les personnes impliquées seront traduites en justice. Les attaques contre les policiers ne seront pas tolérées. »
« L’Irlande est pleine ! »
Pourtant, il ne manque pas de précédents récents démontrant le ras-le-bol des Irlandais. Dans tout le pays, des drapeaux tricolores irlandais ont été récemment trouvés accrochés à des lampadaires, une campagne qui fait écho à des déploiements similaires du drapeau anglais en Grande-Bretagne, manifestation de patriotisme, mais aussi témoignages d’un sentiment anti-immigration croissant.

Plus explicitement encore, ces dernières années, les manifestations contre les immigrés et les réfugiés se sont multipliées en Irlande – donnant notamment lieu à des incendies criminels dans des centres d’hébergement pour demandeurs d’asile -, les manifestants se plaignant des taux de criminalité violente et du manque de logements. Des émeutes avaient éclaté dans le centre de Dublin en novembre 2023 après qu’un homme a poignardé trois enfants devant une école primaire. En juin dernier, des foules ont protesté contre des étrangers à Ballymena, en Irlande du Nord, après une agression sexuelle (tentative de viol d’une jeune fille par deux adolescents d’origine roumaine). Et des manifestations devant des hôtels et des centres d’accueil pour demandeurs d’asile se sont également propagées dans toute l’Angleterre cet été.
Lorsque l’État refuse de protéger ses enfants, le peuple finit inévitablement par prendre les choses en main.
En Irlande, comme partout ailleurs en Europe dans les pays dont les responsables politiques (soutenus par l’eurocratie bruxelloise, les pouvoirs médiatiques, les lobbies capitalistes, les milieux de cultureux et mêmes les églises) ont grands ouverts leurs bras à une immigration extra-européenne porteuse de grands bouleversements ethniques et identitaires, sécuritaires et économiques, culturels et spirituels, la colère populaire gronde et ne demande qu’à être coalisée et organisée pour trouver une traduction politique qui devient urgente. C’est la tache des nationalistes.
Sources :
































Jeune Nation TV













Je crains qu’on devra encore passer par ce genre de fait divers pour que la population se met enfin à bouger un peu, et encore j’en doute. En Belgique, ce genre d’insurrections peuvent encore avoir lieu dans des villages où il n’y a quasi pas d’étrangers ou bien dans des villages flamands où les gens sont déjà racistes envers tout ce qui n’est pas de chez eux. Dans le bled flamand où j’ai grandi on a plus de respect pour un étranger qui parle flamand que pour un francophone qui ne parle pas un mot flamand ou ne fait pas le moindre effort pour. D’ailleurs, je crois que c’est aussi la raison pour laquelle on ose pas trop accueillir ces sauvages afin d’éviter tout type de débordements qui risquerait sûrement d »arriver si ce genre de fait divers venait à se produire. Le flamand est quelqu’un de rude, un paysan mais pas dans le sens péjoratif.
Yobs = les voyous , Alleged (sexual assault ) = présumé ,
Le Sun -serpilliére toujours aussi soumis et objectif .
Pendant ce temps Starmer fait le tour des mosquées et distribue des Millions de livres (pour leur « entretien » )Une cinquantaine de milllions pour le moment ..
Ces manifestations ne servent à rien ; au contraire, elles renforcent le pouvoir des mondialistes. Puis viennent les élections, et les gens, intoxiqués par la propagande, votent pour les partis mondialistes. Et tout continue comme avant.