À Albi, le procès de l’agression de deux militants identitaires par une dizaine d’antifas révèle un système judiciaire profondément partial, où les milices d’extrême gauche jouissent d’une impunité de fait. Malgré des preuves accablantes et des violences graves, les trois agresseurs jugés ont été relaxés, illustrant un deux poids, deux mesures manifeste et le manque de neutralité criant des magistrats. Le traitement médiatique soulève également de sérieuses questions : les violences commises par ces groupes sont systématiquement minimisées, tandis que certains journalistes n’hésitent pas à évoquer des “scènes de guerre” pour décrire de simples échauffourées lors d’une manifestation patriote. Pendant ce temps, les militants identitaires et nationalistes sont régulièrement incarcérés pour de simples présomptions ou placés en garde à vue pour avoir déployé une banderole …
Il ne s’agit pas de condamner de manière simpliste l’usage de la violence dans le combat politique, qui relève de rapports de force et peut être un moyen d’action légitime. Mais il faut dénoncer l’impunité totale dont jouissent ces militants antifas, alors même qu’ils prétendent à corps et à cri que police, justice et médias sont aux mains d’un « État fasciste ». Rien n’est plus faux.
Les trois antifas arrêtés et jugés venaient de Toulouse et font partie de l’AFA Tolosa. Il n’y a aucun doute concernant leur implication dans l’agression étant donné qu’ils ont utilisé leur carte bancaire dans le bar où a eu lieu l’agression, que le gérant dudit bar avait identifié le groupe antifa, que leur téléphone a confirmé leur présence, que de la propagande antifa a été retrouvée à leur domicile, que deux des trois accusés ont été formellement reconnus par les deux identitaires… Mais ils ont tout de même été relaxés, alors que le parquet n’avait requis que six mois de prison avec sursis, c’est-à-dire rien qui puisse réellement bouleverser la vie des antifas.
Il n’y avait pas de vidéo des violences, ce qui permet difficilement d’établir qui a exactement porté quels coups et qui a exactement provoqué telle blessure. Pour autant, l’absence d’images ne devrait pas mener à la relaxe générale, sinon de très nombreux délinquants seraient relaxés. Par ailleurs, un arrêt de la Cour de cassation du 16 février 2022 (n°21-90.043) dispose que « lorsque des blessures ont été faites volontairement par plusieurs auteurs au cours d’une scène unique de violences, l’infraction peut être appréciée dans son ensemble sans qu’il soit nécessaire, pour les juges du fond, de préciser la nature des coups portés par chacun des auteurs à chacune des victimes. » C’est-à-dire que peu importe qui a réellement porté les coups, les antifas, en tant que groupe, sont solidaires les uns des autres et tous responsables pour les violences provoquées, sachant qu’aucun d’entre eux n’est intervenu pour s’opposer au déferlement de violence et que si certains n’ont peut-être pas porté de coups directement, c’est uniquement parce qu’ils étaient trop nombreux pour seulement deux personnes à lyncher.
Ainsi, en cumulant toutes les preuves de leur présence, qui devient dès lors indéniable, les antifas auraient évidemment dû être condamnés. Enfin, les antifas étaient également jugés pour avoir refusé de donner le code de leur téléphone durant la garde à vue, mais ils n’ont pas été condamnés pour cela non plus.
Le parquet a fait appel de la décision et un nouveau procès aura lieu. L’Observatoire ne manquera pas de le couvrir.
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Jeune Nation TV













Ou est le problème ?
Sur ce site j ai dis maintes fois que:
Comme en Irlande du Nord ou en Amérique du Sud nous devrions faire comme la gauche révolutionnaire mettre les noms,les numéros de téléphone et adresses des collaborateurs sur les murs des centres urbains.
Mais je le répète encore…
Tant qu on aura des catholiques trad verrouillants de leur vertus une position légaliste face à un système trotskiste et bien on l aura profond encore longtemps.
Toutes les créatures diaboliques sont comme draculas….Elles ont peur de la lumière de jour!
Pour ceux qui n ont pas compris ce que je veux dire par là:
1/ la peur doit changer de camp.
2/ Avec des bigots pour nous diriger depuis des décennies c est l échec assuré.
3/ On impose notre combat culturel jusqu aux murs de nos villes de province.
4/ chaque rouge doit être désigné/démasqué en temps que tel face à la masse où qu il aille:
TRAVAIL
DANS LA RUE,
DEVANT TOUS SES VOISINS
A L ECOLE OU IL VA PRENDRE SES ENFANTS,
DANS SON CLUB DE SPORT…
Face à ces gens là on a droit à tout.
On peut sans hésiter mettre en garde leur voisinage immédiat par des tracts nocturnes. Inutile de diffamer il faut dire froidement la vérité sans pudibonderie.