Selon Euronews, « le Japon a exécuté mardi trois condamnés à mort, appliquant la peine capitale pour la première fois depuis décembre 2019 ».
« Trois condamnés à mort ont été exécutés aujourd’hui, a déclaré une responsable du ministère de la Justice. Il s’agit d’un homme de 65 ans condamné pour le meurtre au marteau et au couteau de sept membres de sa famille et de voisins en 2004, et de deux hommes de 54 et 44 ans condamnés pour un double meurtre commis en 2003, a-t-elle précisé. »
Le Japon, ne cédant pas à la délétère propagande droits-de-l’hommiste, n’a jamais aboli la peine capitale pour les criminels commettants les crimes les plus abominables.
« La dernière exécution au Japon remontait à décembre 2019, celle d’un Chinois reconnu coupable des meurtres de quatre membres d’une même famille dans le sud-ouest du pays en 2003. Le Japon avait exécuté trois condamnés en 2019 et 15 en 2018, dont 13 membres de la secte Aum, impliquée dans un attentat au gaz sarin dans le métro de Tokyo en 1995. »
Le code pénal japonais autorise la peine de mort pour les crimes « les plus odieux » ; la Cour suprême a déclaré la peine de mort constitutionnelle en 1948, et la méthode d’exécution par pendaison en 1955.
« Quand la peine capitale est appliquée au Japon, les condamnés, dont les mains sont menottées et les yeux bandés, sont conduits au-dessus d’une trappe qui s’ouvre sous leurs pieds, au moyen d’un mécanisme déclenché par un des trois boutons fixés au mur d’une pièce contiguë, pressés simultanément par trois gardes qui ignorent lequel est actif. »
Comme en France où quasiment tous les sondages annuels depuis 1981 témoignent qu’une large fraction des Français – voire souvent une majorité (1) – sont favorables au châtiment suprême des crimes les plus graves, « le soutien de la population nippone à la peine capitale reste fort malgré les critiques venues de l’étranger, en particulier des organisations de défense des droits humains » (2).
Les autorités nippones ne s’y trompent pas et réaffirment clairement et lucidement la nécessité d’éliminer de la société les monstres les plus froids, cruels et irrécupérables :
« Le maintien ou non de la peine de mort est une question cruciale qui concerne les fondements du système de justice pénale japonais. Alors que des crimes atroces ne cessent d’être commis, la peine de mort doit être imposée à ceux qui ont perpétré des actes d’une gravité et d’une atrocité telles qu’elle est inévitable, a commenté le secrétaire général adjoint du gouvernement Seiji Kihara lors d’un point presse. »
Les résultats de cette politique pénale sont d’ailleurs logiquement à la hauteur de la détermination des autorités et des tribunaux japonais puisque le pays est un de ceux ayant le taux de criminalité le plus bas au monde (3), même si la spécificité de la culture et de la sociabilité nippone n’y sont pas pour rien non plus.
Quant à nous en France, depuis la scélérate abolition de la peine capitale par la Loi Mitterrand-Badinter, seuls les honnêtes gens tremblent et risquent encore le pire et y compris leur peau. Les voyous, eux, n’ont plus à craindre que quelques années de détention dans des prisons qui ne sont plus depuis longtemps des culs-de-basse-fosse, pour des durées de toute façon limitées, ce qui leur assure régulièrement l’opportunité de récidiver.
Pitié pour les victimes !
Avec Yvan Benedetti, candidat à l’élection présidentielle 2022, exigeons le rétablissement de la peine capitale (point 10 des 20 mesures d’urgence pour rétablir la France) et plus généralement le renforcement et l’extension de la légitime défense pour les Français.
Notes :
(1) Évolution de l’opinion en faveur de la peine de mort en France, 10 octobre 2021 | France-Inter
(2) Selon un sondage, 85,6 % des Japonais déclaraient en février 2010 que « la peine de mort est indispensable et ne peut être évitée dans certains cas ». Peine de mort au Japon | Wikipedia
(3) Le taux d’homicides volontaires du Japon pour 100 000 habitants est le plus bas du monde, soit 0,3 pour 100 000 habitants ! Les taux de vol et les crimes avec arme sont pratiquement inexistant. La délinquance au japon, 11 septembre 2021 | Dondon.media
On note l’expression « droits humains », pour ne pas dire « droit de l’homme »
à Oakland en Californie, cette année, c’est 28 homicides pour 100 000 habitants,
sachant qu’ils ont environ 150 policiers par 100 000 habitants.
Badinter a protégé tous ceux qui tueront des français depuis cette date fatidique de 1981, quant à sa correlegionaire Veil, elle est responsable de l’assassinat de 220.000 bébés blancs dans le ventre de leurs mères depuus 1975.
Trouvez le point commun entre ces deux XXXXXXX.
220 000 par an je pense.
Les Japonais sont sévères envers les criminels qui font des victimes dans leur groupe racial et ils ont raison mais assez tolérants envers leurs assassins quand ils tuent des étrangers . Le « cannibale » Japonais qui avait assassiné l’étudiante hollandaise à Paris , par exemple .
Thiphaine Véron a disparu au Japon et les autorités du pays restent assez fermées sur le sujet. L’enquête traîne les pieds , soit les nippons s’en moquent ou ils ne veulent pas ternir l’image de leur pays par l’éventuel meurtre d’une étrangère.
Le Japon n’est pas la France que Badinter avait avec ses sbires avaient tout fait pour que la peine de mort soit abolit ..On ne peut que donner raison au Japon , comme les E.U ..!
Réintroduire la peine de mort dans le Code pénal français, serait un retour en arrière et la porte ouverte à tous les abus : jugements politiques et jugements vengeance. Ce serait donner le pouvoir à des juges de tuer. Et pour ce qui est des droits humains, nous avons tous des droits humains inhérents à notre existence. On à tort de les associer aux pâles droits, contenus dans la Déclaration universelle des Droits de l’homme laquelle, n’est rien d’autre qu’une confiscation étatiste, utilisée par les États, pour cautionner leurs propres violations. Excusez du peu, mais nous savons tous quels sont nos droits et qui nous les viole, mais nous devons solliciter une Cour pour en décider.
Sauf que les assassins sont partisans de la peine de mort pour leurs victimes, EUX.
Bonjour Amandine,
Oui, pas faux, mais on ne doit pas se rabaisser au niveau de ces criminels. Des lois pour se faire plaisir ou assouvir notre vengeance, ne sont pas la solution. Bref, je pourrais souhaiter le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus monstrueux et sordides, mais, même avec un encadrement de la loi, je n’ai aucune certitude, au fait qu’elle ne soit pas modifiée, par je ne sais quelle amendement, pour l’etendre aux auteurs présumés, de « délits d’opinion » ou de » délits politiques »,
Cordialement
Daniel Milan
Il faut se méfier de toutes les lois répressives et liberticides, qui, parfois, peuvent être motivées et justifiées, par de justes raisons, étendues à volonté par la suite, en fonction des convenances des gouvernements et des juges.
Bonsoir , ce qui est à craindre de la part des gouvernements actuels, en effet serait » le détournement » de la peine capitale pour exécuter les opposants politiques ou tout simplement les Européens de race blanche . Il y a déjà une ségrégation raciale dans le monde médiatique français . Par exemple , dans les émissions relatant des crimes , les affaires judiciaires concernent presque toujours le monde des Occidentaux . Si on ne devait s’en tenir qu’à ces émissions pour grand public, on croirait que seuls les Blancs peuvent commettre des crimes de sang. Hervé Ryssen nous a prouvé le contraire par son livre » Le racisme anti-Blancs » . L’ouvrage n’est qu’une énumération de centaines d’homicides commis sur les Français par des personnes d’origine étrangère. Nous sommes loin de Hondelatte raconte ou de Jaques Pradel.
J’ajoute que les youtubeurs racontant des crimes de sang ne parlent jamais que d’homicides entre occidentaux , comme les médias de masse.
Par exemple, l’assassinat du jeune Pierre Nasica par son « meilleur ami » Yacine Sid en 2010 n’est raconté dans aucune émission grand public, comme par hasard.