«En ce moment historique, marqué par la crise écologique et par de graves déséquilibres économiques et sociaux aggravés par la pandémie du coronavirus, nous avons plus que jamais besoin de fraternité», a-t-il déclaré.
Il a appelé à une fraternité concrète, dépassant la famille, l’ethnie, la religion, la langue ou la culture, dans son huitième message de Noël lu à l’intérieur du palais apostolique pour éviter qu’une foule ne se rassemble sur la place Saint-Pierre, alors que l’Italie est confinée pour les fêtes.
Son appel à la solidarité s’applique «spécialement envers les personnes les plus fragiles, les malades et toutes celles qui, en cette période, se sont retrouvées sans travail ou sont en grave difficulté en raison des conséquences économiques de la pandémie, comme aussi envers les femmes qui, durant ces mois de confinement, ont subi des violences domestiques».
Evoquant les découvertes de vaccins arrivées comme des «lueurs d’espoir» dans «une période d’obscurité et d’incertitude», il a martelé que ces lumières «doivent être accessibles à tous».
Et puis, cerise sur le Oznei hamans :
«Nous ne pouvons pas permettre que des nationalismes fermés nous empêchent de vivre comme la véritable famille humaine que nous sommes», a déclaré François.
Multiculturalisme, effacement des frontières, dénigrement de la famille, divinisation du vaccin, alarmisme écologique, dénonciation de l’oppression masculine, anathème sur les nationalismes… Un pure concentré de mondialisme. Bravo votre sainteté, c’est bien un sans faute.
Source : cnews.fr
La photo et le commentaire qui est avec ne vont pas ensemble car le patriarche que l’on voit est ou orthodoxe ou catholique oriental.
Cela trahit l’analphabetisme religieux de quelques uns
C’est la photo N° deux qui compte !
Pourquoi » Votre Sainteté », confondez -vous monisme et dualisme, le papisme et l’ultra-montanisme est dangereux pour la santé, comme l’abus de rhum…
L’attachement à ce juridisme imprégné par le Monisme très présent chez les dirigeants du monde catholique traditionaliste aujourd’hui empêche celui-ci de constater que l’Église universelle a de par sa nature sa propre essence, laquelle au demeurant n’était à l’origine qu’un outil au service de l’Église-troupeau, que « l’Église conciliaire » comme l’Église catholique ont chacune outre leur propre essence leur propre substance, totalement différentes les unes des autres, qu’elles forment chacune une âme qui a pour vocation d’animer tout corps, qu’il ne peut y avoir qu’une seule âme qui peut animer le corps, qui est par essence passif. Hier quand l’Église, société d’ordre surnaturel, animait l’Église universelle en tant qu’âme, les fondements de celle-ci procédaient du Christ et de Dieu. Nous étions en présence d’une authentique Église catholique. Depuis le 8 décembre 1965, « l’Église néo-moderniste dite conciliaire » a remplacé en tant qu’âme l’Église catholique et depuis anime l’Église universelle sur les fondements de la doctrine néo-moderniste qui voue un culte à l’Homme, doctrine en soi satanique. L’église universelle n’est donc plus catholique, elle relève d’une autre religion. On ne peut donc pas affirmer que le terme « Église conciliaire » est une métaphore pour désigner un esprit nouveau. On ne peut pas affirmer d’autre part que le corps peut être animé par deux âmes que tout oppose par leur essence et leur substance. En conséquence de quoi, on ne peut que conclure que l’Église universelle est depuis Vatican II uniquement animée par une âme satanique, « l’Église néo-moderniste dite conciliaire », dont l’essence et la substance lui commandent d’anéantir le Christianisme et donc le Catholicisme, en étant le collecteur de toutes les hérésies, et qu’en aucun cas, on ne peut lui trouver une quelconque catholicité quand bien même les Révolutionnaires lui accolent pour tromper leur monde l’étiquette de catholique.
Cependant ce qui est assez surprenant chez les « théologiens » traditionalistes c’est leur oubli que le Concile de Trente reconnaissait qu’il pouvait y avoir de la part de dissidents une usurpation du nom « Église », que ces « Églises » étaient fausses au sens où elles n’étaient plus dans la ligne des enseignements et commandements du Christ, mais plutôt sous la conduite du démon. Cet oubli semble par trop volontaire, s’y reporter aurait conduit à une analyse dualiste qu’on ne voulait apparemment pas engagée. Elle était trop dérangeante !…
En choisissant le Monisme contre le Dualisme voulu par le Christ, les clercs traditionalistes s’opposent à Jésus-Christ et à Dieu le Père avec tout ce que cette opposition induit comme conséquences : la séparation d’avec Dieu et de ne plus « être de Dieu », dont ils semblent totalement se moquer, à croire qu’ils ne sont pas animés par la Foi.
Pape de merde
Aussi vrai que Dieu est UN, la Vérité est Une (deux vérités sont deux mensonges). Et le Christ est LA VÉRITÉ, le seul Chemin et la vie. Il est Dieu et homme, parfait il est le seul homme immaculé de péchés, il est la seule et vraie voie; Il est né, comme annoncé par les prophètes, il a changé le monde, le temps et l’espérance (l’humanité entière compte le temps depuis sa naissance officielle, même ceux qui le haïssent comme les révolutionnaires, et les totalitarismes qui en ont découlés, même les païens, même les Mahomettants, même tous les cons de cette planète qui constituent la grande majorité des terriens: n’est-ce déjà pas un miracle ?).
Que ceux qui veulent voir, voient !
De même il n’y a qu’une seule Église, source de la vraie civilisation, et c’est celle que le Christ bâti sur PIERRE, malgré certains papes, malgré les hommes, malgré la dimension humaine de notre Église qui regroupe 1,5 milliards d’êtres humains, qui est la source de 2.5 milliards de Chrétiens soit un quart de l’humanité, et qui s’adresse à toute l’humanité.
Les Galiléens furent les premiers apôtres, Saint Paul s’adressa surtout aux Galattes et la Gaule devint la nouvelle Israël. La France est bien la fille aînée de l’Eglise.
Et contrairement aux commentaires super malins plus haut, le royaume du Christ n’est pas de ce monde, ce qui est à César est à César, ce qui est à Dieu est à Dieu, Nous disposons du libre arbitre de croire ou de ne pas croire, la vie est un pèlerinage et la mort une porte dont le passage est conditionné ici-bas.
Le livre VIII de la Physique d’Aristote s’arrête au seuil de la Métaphysique (préfixe du Grec après) ce qui expliquerait peut-être l’inscription « Au Dieu Inconnu » au fronton d’un temple grec. La Révélation apportée par le Christ a illuminé cette raison, la science du Thomisme rend raisonnable la foi. Si la raison humaine par l’induction et la déduction peut arriver à prouver l’existence d’un premier moteur immobile, acte pur, pourquoi ne pourrait-elle pas par analogie atteindre le troisième degré d’abstraction de l’esprit humain, celui de l’invisible, celui des purs esprits, celui de Dieu ?
En reprenant le cinquième point d’Aristote, le premier moteur, qui n’est pas mû par un autre, soit il est immobile soit il se meut par un autre. Dans la seconde hypothèse, le R.P. Gardeil écrit : « Qu’il soit composé d’une partie motrice immobile et d’une partie mobile, mais dans l’un et l’autre cas il y aura donc un premier moteur immobile ». Cette preuve montre qu’il est clair qu’il existe un premier moteur immobile. Mais ce premier moteur est-il Dieu pour autant ? Est-il unique ? Dans le livre La Physique, le raisonnement d’Aristote s’arrête là : il ne précise pas si ce premier moteur est absolument unique ou s’il correspond à un ensemble de mouvements, auquel cas il y aurait autant de premiers moteurs que d’ensembles unis de mouvement.
Aristote dans La Métaphysique et Saint Thomas d’Aquin dans La Somme Théologique montrent que le premier moteur immobile ne peut être tel que s’il est parfaitement en acte. Pourquoi ? En fait, le premier moteur est immobile, il n’est pas causé, et il n’est pas corporel, il est parfaitement simple. C’est l’acte pur. C’est quelque chose, un être qui ne comporte aucune puissance, aucun mélange de puissance et d’acte, parfaitement en acte. Et s’il est parfaitement en acte, il ne peut être qu’unique, puisque deux êtres parfaitement en acte, parfaitement parfaits ne se distingueraient en rien. L’acte pur ne peut être qu’unique. Il ne peut y avoir deux actes purs sinon il n’y aurait rien qui les différencieraient et Dieu ne serait pas Dieu.
En d’autres termes, la preuve de La Physique conduit naturellement à la preuve métaphysique et donc à la démonstration de l’existence d’un premier moteur parfaitement en acte, l’acte pur, qu’on appelle Dieu. Si on suit le cours naturel de la Cosmologie ou Physique de la nature, celle-ci nous conduit directement aux questions métaphysiques, aux questions de l’être, aux questions de la cause et des principes de l’être.
Cependant, certains auteurs modernes confondent étrangement puissance purement passive de la matière avec puissance active des causes efficientes, affirmant que la matière première des Thomistes n’est qu’un vaste devenir panthéistique qui se développe tout seul, et revêt successivement toutes les formes de l’univers. L’évolution panthéistique suppose un germe unique qui par sa seule activité se développe et devient Tout, de Rien absolu, ou de presque rien qu’il était à l’origine, négation invraisemblable du principe de causalité, conception anti-scientifique et anti-philosophique.
Saint-Thomas d’Aquin , dans la question : « Dieu est-il ? » , répond aux détracteurs passés, présents et à venir : « Il semble que Dieu ne soit pas »,
1/ « Parce que si l’un des deux contraires était infini, l’autre serait complètement détruit. Mais tel est bien ce que l’on pense dans le nom de Dieu, à savoir qu’il est un certain bien infini. Si Dieu était, il n’y aurait aucun mal. Or, il y a du mal dans le monde. Donc Dieu n’existe pas ».
/ « Ce qui peut être réalisé par un petit nombre de principes ne l’est pas par un plus grand nombre. Mais il semble que tout ce qui apparaît dans le monde peut être accompli par d’autres principes, si l’on suppose que Dieu n’est pas, car les réalités matérielles se ramènent au principe qu’est la nature, tandis que ce qui est en vue de quelque chose se ramène au principe qu’est la raison humaine ou la volonté. Il n’y a donc aucune nécessité de poser que Dieu est ».
Contre cela il est dit dans L’exode 3, 14, par la personne de Dieu : « Je suis celui qui est ». Le Docteur Angélique nous en donne l’explication par le biais des concepts de l’hylémorphisme et de la causalité : « Quanto igetur aliquus actus est posterior et magis perfectus, tanto principalius in idipsum appetitus materiae fertur…Nam materia prima est in potentia primum ad formam elementi ; sub forma vero elementi existens, est in potentia ad formam mixti ; sub forma mixti considerata est in potentia ad animam vegetabilem ; itemque anima vegetabilis est in potentia ad sensitivam, sensitiva vero ad intellectvam…Ultimus igitus gradus totius generationis est anima humana, et in hunc tendit materia sicut in ultimam formam . »
« Quadlibet res mota in quantum movetur, tendit ad divinam similituden ut sit in se perfecta .» Mgr Albert Farges écrit : « L’âme humaine tend à s’élever à une divine similitude, c’est-à-dire à la perfection souveraine. En sorte, que c’est l’Être divin lui-même qui provoque cette sublime ascension de tout être créé vers le meilleur ; c’est ce Divin Soleil, centre de la gravitation universelle, qui tient toute créature suspendue à ses rayons, et attirée puissamment au foyer de son amour ». Le mouvement métaphysique est cet élan vers la cause finale : la causa causarum, Dieu.
Les répercussions dans le domaine de la métaphysique nous permettent de mieux appréhender les Mystères. Dès lors, ceux-ci ne posent plus de problèmes . Ainsi la Création est-elle le passage du néant à quelque chose. Le néant n’existe pas, remarque justifiée de Parménide et de Mellissus car le néant ne peut rien produire. Donc l’être ne vient pas du non-être, l’être et néant sont contradictoires : « Quidquid incipit, ab alio incipit ».
Si tout ce qui commence a une cause, concluons que ce qui commence est un être « ab alio », un être dérivé second, un être contingent, tandis que ce qui n’est pas par un autre est par lui-même, « a se » (propre) et trouve en lui-même, dans la perfection de sa propre nature, sa raison d’être et son explication.
Notons que le Comte Napoléon-Henri Begouën , préhistorien, qui a collaboré pendant plus de quarante ans avec le « pape » de la préhistoire, l’abbé Henri Breuil, a émis l’hypothèse que cette Création serait issue de la vibration vitale qui a produit le protoplasma, cet édifice moléculaire semblable à une gelée plus ou moins liquide. C’est la matière à l’état naissant qui suppose un principe vital que rappelle Saint Thomas d’Aquin . Cette gelée serait-elle à l’origine de la matière première ? Tout porterait à croire qu’un même atome matériel a pu être doué par le Créateur, soit de plusieurs formes en puissance, soit au moins d’une seule équivalence à plusieurs, qui se manifestent tour à tour, et produisent les singulières métamorphoses que la science constate, dans la structure moléculaire et dans les propriétés des êtres matériels .
La Transsubstantiation est aussi un mouvement surnaturel, c’est une conversion, c’est-à-dire le passage d’un sujet à un autre sujet (ce qui était du pain devient le corps du Christ).
La Contemplation, pour sa part, est un mouvement stable, en dehors du temps. Mais qu’est-ce que le temps se demande Saint Augustin ? « Si personne ne m’interroge, je le sais. Si je veux répondre à cette question, je l’ignore ». L’opération immanente et durable, c’est la contemplation, c’est une opération qui dure, c’est l’Eternité : « Envisagez que vous êtes dans une considération depuis un certain temps, que vous regardez toujours la même vérité quel que soit le mouvement continu autour de cela. Vous êtes dans la considération de cette Vérité, est-ce que vous êtes moins opérant, moins agissant qu’au moment où vous êtes entrés dans cette considération ou non, l’opération qui est considérée continue ? » .
Le face-à face avec Dieu est un acte parfait, plus exactement c’est un acte de ce qui est parfait .