Le chef de police intérimaire d’Ottawa, Steve Bell, a averti les citoyens canadiens que toute personne ayant soutenu le convoi pacifique de la liberté sera « traquée » et « ruinée » pour le « crime » d’avoir protesté contre le gouvernement.
« Si vous êtes impliqué dans cette manifestation, nous chercherons activement à vous identifier et à vous faire suivre de sanctions financières et d’accusations criminelles », a prévenu Bell samedi.
« Cette enquête va se poursuivre pendant des mois », a-t-il ajouté.
« Elle comporte de très nombreux volets différents, tant au niveau financier fédéral, qu’au niveau des licences provinciales, qu’au niveau du Code criminel, qu’au niveau municipal de la violation d’une ordonnance du tribunal, de la violation d’une injonction du tribunal. »
Parce que les manifestants seront punis qu’ils partent ou non, maintenant les manifestants n’ont aucune raison de partir.
« Alors mettons les choses au clair. On dit aux manifestants de rentrer chez eux. Maintenant, on leur dit que même s’ils suivent les ordres de la police et de la GRC, cela ne fait aucune différence. Ils seront quand même arrêtés. Donc, en gros, ils essaient de justifier l’arrestation de toute personne avec laquelle ils ne sont pas d’accord », a noté une utilisatrice de Twitter.
Cette décision intervient alors que le gouvernement du Premier ministre Justin Trudeau a invoqué les pouvoirs d’urgence pour saisir les comptes bancaires du Convoi de la liberté, y compris les crypto-monnaies, et révoquer les licences et assurances des camionneurs des manifestants.
Les autorités canadiennes dirigées par Trudeau ont envoyé un message clair : si vous ne voulez pas qu’un gouvernement centralisé vous fasse une injection expérimentale ou contrôle vos mouvements à travers les frontières, alors vous serez traqué et puni.
Regardez l’intégralité de la conférence de presse.
Il est intéressant (euphémisme) de mettre en perspective ce coup de force totalitaire avec les révélations de Klaus Schwab lui-même sur son emprise sur l’appareil politique mondial et notamment canadien. L’homme du Forum Economique de Davos déclare en effet sans pudeur que la moitié des dirigeants du pays lui sont inféodés. Lorsque cette réalité est évoqué en direct au parlement canadien, le constituant un peu trop honnête est tout simplement coupé à l’instant, sans plus d’artifice. Nous vous conseillons de regarder la couverture de cet échange aussi scandaleux que révélateur par les journalistes indépendants de Lotus Eaters.
Jamais les rois de ce triste monde n’ont été aussi nues.
Source : aubedigitale.com
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