Et si Voltaire n’avait été ni partisan des Droits de l’homme, ni de la tolérance, ni de la liberté d’expression, ni le défenseur de quoi que ce soit d’autre que de son intérêt ? Si ses combats n’avaient été que de l’esbrouffe et ses succès littéraires des cabales haineuses ? Si on relisait Voltaire, enfin, non en se fiant à ses thuriféraires mais à sa correspondance privée ? On n’est pas au bout de nos surprises.
Conférence d’Alain Pascal et Marion Sigaut, à la librairie Logos, le 10 octobre 2025.
Source : Marion Sigaut
































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SUR LES JUIFS VUS PAR VOLTAIRE
Citations tirées de l’édition 1805 de l’Essai sur les mœurs et l’esprit des nations
« Toujours avides du bien d’autrui, toujours barbares, rampants dans le malheur, et insolents dans la prospérité, voilà ce que furent les Juifs aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres. » (Tome 1 page 186)
« On ne voit, dans toutes les annales du peuple hébreu, aucune action généreuse. Ils ne connaissent ni l’hospitalité, ni la libéralité, ni la clémence. Leur souverain bonheur est d’exercer l’usure avec les étrangers ; et cet esprit d’usure, principe de toute lâcheté, est tellement enracinée dans leurs cœurs, que c’est l’objet continuel des figures qu’ils emploient dans l’espèce d’éloquence qui leur est propre. » (Tome 2 page 83)
Voltaire : « Les musulmans sont animés de la rage de la malfaisance. Rien n’est plus terrible qu’un peuple qui, n’ayant rien à perdre, combat à la fois par esprit de rapine et de religion »
« Nous n’achetons des esclaves domestiques que chez les Nègres ; on nous reproche ce commerce. Un peuple qui trafique de ses enfants est encore plus condamnable que l’acheteur. Ce négoce démontre notre supériorité ; celui qui se donne un maître était né pour en avoir. » Voltaire, Histoire Universelle 3ème édition, page 147.