Bien loin de ce que peuvent raconter les livres d’histoire d’aujourd’hui, retrouvons un texte, qui, parut pour la première fois en 1938, explique de manière simple et concrète le but et les valeurs de l’association « Lebensborn ».
Vous pourrez lire et juger par vous même que nous sommes bien loin de l’esprit « usine à bébé » dont les médias et autres dirigeants nous martèlent le crâne à longueur démissions et de revues soi-disant historiques. Ce texte est extrait des Cérémonies dans la Famille SS, disponible aux Éditions de l’Homme libre.
En 1933 on comptait en Allemagne 960 000 naissances contre 2 millions en 1900. Si la baisse de natalité s’était prolongée, il n’y aurait plus que 54 millions d’habitants en 1944 et seulement 44 millions en l’an 2000. La conséquence de cette décroissance signifierait pratiquement la disparition du peuple allemand.
Quelles sont les causes de cette dénatalité en Allemagne ?
L’opinion générale se réfère à l’économie. Mais c’est seulement ce qui conditionne le sujet. Il faut mettre en avant l’attitude morale des Allemands, plus encore des femmes que
des hommes, qui par une démission ahurissante des responsabilités ont perdu le vrai sens de la vie.
Qui proclame encore le bien fondé et la valeur du mariage ? Combien matérielles sont
seulement devenues les préoccupations autour du mariage ? Et quand une union se réalise, combien souvent une femme n’apparaît pas comme compagne de vie idéale et mère authentique des enfants à venir, mais plutôt comme un jouet, un passe-temps ? Comment peut-on se préserver de cela si l’on veut des enfants et dans son cadre de vie prévenir de tout ce qui peut être désagréable !
C’est heureux qu’en notre temps, grâce à l’accession au pouvoir qui permet l’éducation de notre peuple, nous avons retrouvé chez nous la bonne direction. Par des mots clairs et touchants, le Führer a célébré la mère allemande, à qui il porte, en son nom, à ses enfants et à la jeunesse, tout son amour. Partout commence à se faire jour ce redressement, par un travail et un esprit des plus authentiques, et déjà il porte ses fruits : le chiffre des naissances est en augmentation depuis 1933.
C’est le souhait du Reichsührer-SS, dès l’année 1933, qu’en fonction des lois sur les fiançailles et le mariage, on puisse voir plus loin et apporter la preuve du bien-fondé de la pureté de l’hérédité raciale. Le progrès réalisé au sein de la SS dans le domaine de la politique sociale en est la meilleure preuve. La fondation par le Reichsführer, le 12 décembre 1935, de l’association Lebensborn est faite pour apporter aux hommes de la SS et à leurs épouses conseil et direction et être à leur côté pour les aider pratiquement en toute chose. C’est l’un des buts de cette association : un homme SS se marie sans que sa femme ait touché la moindre dot ou indemnité. Tous deux vivent modestement et se conduisent avec honnêteté. Ils déclarent des enfants. Très tôt la femme SS s’est fait beaucoup de souci du fait de devenir mère. Elle sait qu’aujourd’hui l’association Lebensborn n’est pas seulement là pour légiférer, mais aussi pour agir. Il y a de plus en plus de foyers qui s’ouvrent dans toutes les régions d’Allemagne. C’est là que la femme SS, qui n’a pas la possibilité de mettre son enfant au monde à la maison, peut par tous les moyens le soigner et s’en occuper.
C’est ainsi que l’association Lebensborn apporte son aide aux familles SS racialement pures, épargnant tout souci et toute charge sur leurs épaules, les libérant de tout obstacle qui se présente pour ne laisser que la joie d’une naissance au sein de la SS.
L’autre but de l’association Lebensborn est de trouver des solutions aux problèmes des accouplements illégitimes et des enfants qui naissent avant le mariage. Ce problème n’a été reconnu jusqu’ici que par peu de monde. Le fait qu’il y ait des unions et des naissances illégitimes ne concernait qu’un pourcentage insignifiant tant qu’il y eut des mariages précoces, ce qui doit être naturellement dans la SS la solution idéale.
Par contre la jeune fille qui accouchait sans être mariée était considérée par les voisins et son entourage comme une moins que rien. Les parents avaient honte de leur fille et la communauté les mettait à l’écart, et souvent elle était licenciée de son travail dans l’insulte et la honte à cause de cette liaison impropre. La future mère était abandonnée à son triste sort. Cela pouvait arriver à d’honnêtes filles.
La jeune fille éduquée était prévenue de ces dangers et pouvait les éviter. Elle comprenait qu’il fallait se garder de tous les désagréments qu’il pouvait y avoir sur sa route. Cette morale bourgeoise qui s’est ainsi manifestée par des jugements abrupts, il est temps d’y mettre un terme !
C’est ici que doit intervenir l’association Lebensborn. Toute jeune fille racialement pure qui attend un enfant d’un homme qui l`a délaissée, même si le père n’appartient pas à la SS, peut se rendre dans un foyer du Lebensborn. Là, la future mère sera entourée, on prendra soin d’elle comme pour toute autre femme parce que l’association Lebensborn voit en elle une gardienne de la race, une femme qui le moment venu et dans les heures difficiles participera au combat pour la survie de notre peuple.
Pour la SS la mère illégitime n’est pas frappée d’indignité, elle participe de l’ensemble du peuple, et s’il n’en était pas ainsi ce serait commettre un crime contre la vie. Le Code civil prescrit à l’article 218 que cela entraînerait une rapide décroissance. Quelle est donc la finalité de l’association Lebensborn ?
Elle est l’expression de notre lignage que traduit le fondement même du national-socialisme : l’intérêt général l’emporte sur l’intérêt particulier. Tous ceux qui sont dans la SS œuvrent à notre force économique et selon la position de nos familles vont financer cette association. Peu d’entre nous refuseraient leur aide, et nous savons, à travers les sommes que nous recevons des familles SS, que toujours plus de bons enfants viennent au monde par de bonnes mères et que pour ces mères, bien qu’elles ne soient pas mariées, elles prennent grand soin de leurs enfants.
Le gigantesque travail du Führer serait inutile, si par-delà notre génération les prochains défilés ne voyaient pas un nombre croissant de jeunes gens plus forts et valeureux que ceux de notre génération actuelle. Ce sera le grand héritage que souhaite aujourd’hui le Führer et qu’il transmettra un jour, renforcé et grandissant. C’est pour la réussite de cette grande tâche que travaille l’association Lebensborn, avec tout le soutien de la SS.