« Pour allumer une foi, ni de droite – car la droite prétend tout conserver, même ce qui est injuste -, ni de gauche – car la gauche prétend tout détruire, même ce qui est bon -, mais une foi collective, intégratrice, nationale, est né le fascisme. Dans sa foi réside sa force, contre laquelle les persécutions ne peuvent rien. D’ailleurs, ceux qui jouent sur la discorde le savent bien, aussi ne font-ils que le calomnier. Ils essaient de le présenter aux ouvriers comme un mouvement de « fils à papa », alors que rien n’est plus éloigné du citoyen de l’État fasciste à qui l’on ne reconnait des droits qu’en fonction des services qu’il rend à la société. Si un État mérite d’être appelé État des travailleurs, c’est bien l’État fasciste. Aussi, dans un tel État – et les ouvriers finiront par le savoir – les syndicats acquièrent la qualité d’organes de l’État. »
Jose Antonio Primo de Rivera