Le 3 avril paraîtra en France un ouvrage intitulé Des GI’s et des femmes. Amours, viols et prostitution à la Libération, écrit par Mary Louise Roberts. Il y évoque ce que les nationalistes savent et dénoncent depuis des décennies : au comportement exemplaire vis-à-vis des Français des soldats allemands en France a succédé, après l’invasion américaine de l’Europe en 1944, viols, meurtres et pillages.
Évoquant le livre, Le Progrès titre « le sombre visage du débarquement », rappelant de manière voilée la surreprésentation des Africains de l’armée américaine dans ces crimes, ces « voyous à qui la France avait été vendue comme une “aventure érotique” ». Lors de la parution du livre aux États-Unis, l’auteur avait précisé que les faits n’étaient certainement pas « un grand secret pour les Normands, mais certainement une surprise pour les Américains. [Ils] ont toujours en tête le vieux mythe du GI viril et sans tache ».
Alors que des faits imaginaires n’impliquant en rien les Américains remplissent des bibliothèques entières, il a fallu attendre 2014, 70 ans après, pour que ces faits soit portés à la connaissance du public américain, dont il n’y a plus à craindre la réaction sur les mensonges et les crimes de ses gouvernants.
Comme les armées communistes à l’Est qui commirent des millions de viols, les dirigeants américains utilisèrent le viol et la prostitution des femmes françaises pour « imposer leur pouvoir » rapporte l’auteur. Avant la pornographie, la généralisation et la promotion des comportements déviants, les criminels de guerres américains firent de certains lieux des bordels à ciel ouvert. « En plein air, en plein jour, dans les parcs, les cimetières, sur les rails de chemins de fer […] Les Havrais ne pouvaient pas sortir se promener sans voir quelqu’un en train d’avoir une relation sexuelle ».
Les troupes d’occupation (afro-)américaines se conformèrent parfaitement à ce qui était attendu d’eux, eux à qui la France avait été présentée par la propagande officielle des “libérateurs” comme « un bordel génial habité par 40 millions d’hédonistes ».
« Quand les Allemands sont arrivés, les hommes ont dû se cacher. Mais quand les Américains sont arrivés, il a fallu cacher les femmes. »
dit-on en Normandie…
En octobre 1944, 152 soldats ont été poursuivis en justice. Parmi eux : 130 Africains.
Des faits qui évoquent les crimes organisés sous le commandement du criminel de guerre française le général Juin en Italie en 1944, qui permit aux troupes afro-maghrébines de violer plusieurs milliers d’Italiennes – et même d’Italiens.
La libération, par l’armée du crime :
A l’époque où j’étais journaliste à « MINUTE », j’avais reçu plusieurs courriers de Normands indignés que l’on fête l’anniversaire des cinquante ans de ce qu’ils avaient vécu comme une invasion américaine extrêmement brutale.
J’avais donc enquêté en Normandie sur les crimes américains. Et j’avais trouvé le tombe d’une enfant sur laquelle était inscrit : « CI GIT …… VIOLEE ET ASSASINEE PAR UN NEGRE AMERICAIN ». Suite à plusieurs déménagements et à des problèmes d’ordinateurs, je ne parviens pas à retrouver l’adresse du cimetière concerné.
Un lecteur de ce texte peut-il nous renseigner ?