Jefferson Davis (3 juin 1808 – 6 décembre 1889), officier et homme politique américain, est élu premier et unique président des États confédérés, juste avant la guerre civile, le 18 février 1861.
Le jour de naissance de Davis reste commémoré dans plusieurs États. Le 3 juin est fêté en Floride, au Kentucky, en Louisiane et au Tennessee ; en Alabama, il est célébré le premier lundi de juin et le dernier lundi de mai au Mississippi où il est associé au Memorial Day. Au Texas, le 3 juin est resté fêté jusqu’en 1973.
Mais comme en France pour le Maréchal Pétain ou bien encore pour Alexis Carrel -pour ne citer qu’eux-, de plus en plus de démocrates demandent à faire débaptiser les villes, comtés, rues etc… portant son nom, comme ils veulent aussi interdire le drapeau confédéré.
Je crois que désormais il est manifestement interdit de l’arborer. Comme sur la voiture des frères DUKE dans Shérif fais-moi peur !
Cet article de ‘Jeune Nation » est l’occasion à ne pas laisser passer de répéter ce qui doit l’être inlassablement, la répétition de la vérité étant la seule réplique à la répétition des mensonges historiques dont on nous abreuve !
NON ! la cessation de l’esclavage n’a aucun rapport avec la guerre de sécession !
Le 4 mars 1861, Abraham Lincoln, lors de son investiture, fit savoir que toute modification des conditions de l’esclavage serait contraire à la constitution. Mais il menaça d’envahir tout Etat qui refuserait de se soumettre à des taxes douanières.
Contrairement à la doxa officielle, ce sont donc bien les exigences financières du Nord qui furent à l’origine de la sécession du Sud, l’évocation de tout autre motif relevant d’une de ces mystifications simplistes dont la propagande américaine est coutumière pour obtenir l’adhésion des peuples.
Cette révolte contre les financiers du Nord est l’occasion de rappeler que ce ne sont en aucun cas les américains qui sont nos adversaires.
Ces Européens émigrés qui, par leur intelligence et leur dynamisme ont bâti les USA sont CONFONTES DEPUIS LES ORIGINES AUX MEMES ENNEMIS QUI NOUS COMBATTENT EN EUROPE, CETTE OLIGRACHIE FINANCIERE APATRIDE que nous ne connaissons que trop !
Rappelons que la fondation même des Etats Unis, suite à la guerre d’indépendance américaine (1775-1783) n’a pas eu pour cause une histoire de droits de douane sur le thé, comme on le raconte.
Ce fut une guerre d’indépendance contre les banquiers apatrides qui faisaient leur loi à Londres et entendaient dominer et rançonner de la même manière la colonie américaine.
C’est Benjamin Franklin, considéré comme l’un des « pères fondateurs » des Etats-Unis, qui l’explique en 1750 :
« Les colons auraient volontiers supporté les taxes sur le thé et autres articles. Mais c’est l’influence des banquiers sur le parlement anglais qui a créé la haine de l’Angleterre et a causé la révolte de la colonie »
Quant à Abraham Lincoln lui-même, il devait déclarer sans ambages : « J’ai deux ennemis : l’armée du Sud en face, et les banquiers sur mes arrières. Et des deux, ce sont les banquiers qui sont les pires. »
Lincoln refusait donc à son tour de s’incliner, allant même beaucoup plus loin dans son opposition aux puissances financières, en créant une monnaie garantie par l’Etat US sans intervention des banquiers prédateurs. 450 millions de dollars émis par son gouvernement lui permirent de financer son armée sans avoir à payer d’intérêts aux requins de la finance.
La frustration des banquiers se manifesta par un article, dans le London Times, de leur porte-paroles, Lord Goschen : « Si cette malveillance financière de la République Nord-Américaine devait s’installer, cet Etat créerait sans frais sa propre monnaie à l’avenir… Ce gouvernement doit être détruit. »
Réélu en 1864, malgré l’opposition des lobbies financiers, le Président Lincoln fit savoir que son premier objectif, au lendemain de la guerre, serait de mettre fin à l’influence de l’oligarchie financière sur l’Etat US. La guerre se termina le 9 avril 1865. Il fut assassiné le 14 avril !
Cependant, compte tenu de la réticence du peuple et des élus américains, la mainmise des banquiers apatrides sur les USA, d’appuyant sur le contrôle de leur économie se fit très progressivement et avec un maximum de « diplomatie », pour ne pas dire de dissimulation :
• en évitant la dénomination fâcheuse de « Banque Centrale ».
• En passant par l’étape d’une National Monétary Commission , en 1910.
• Pour aboutir enfin au « Fédéral Reserve Act » de 1913.
L’un des membres du Congrès opposé à cette loi, Charles A. Lindbergh (père de l’aviateur) devait alors déclarer : « Le pire crime législatif de tous les temps est perpétré par cette loi : lorsque le président signera ce projet, le gouvernement invisible du Pouvoir Monétaire sera légalisé ».
Analyse qui sera tardivement partagée par le président Woodrow Wilson, signataire de la loi, prenant enfin conscience de son erreur : « J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Notre système de crédit est concentré dans le privé. Nous sommes devenus un gouvernement contrôlé et dominé, non pas par le vote de la majorité, mais par la force d’un petit groupe d’hommes dominants ».
Merci pour ces précisions, qu’on ne lira jamais dans les livres d »Histoire » sous le contrôle de qui nous savons.
J’aimerais savoir d’ailleurs pourquoi ce nom de guerre de sécession est employé en France alors que les autres l’appellent guerre civile tout simplement.