La bataille d’Odžak fut la dernière bataille de la Seconde Guerre mondiale en Europe.
Cette ville se trouvait sur le territoire de l’Etat Indépendant de Croatie et, exclusivement peuplée de partisans de celui-ci et n’avait jamais connu de révolte ou d’attentats.
La bataille a commencé le 19 avril 1945 et a duré jusqu’au 25 mai 1945, 17 jours après la fin de la guerre en Europe.
Les combattants étaient des « Ustachis » commandé par Petar Rajkovačić assaillis par les partisans yougoslaves (communistes sous l’autorité de Josip Broz Tito) commandés par Miloš Zekić.
Après avoir été tenus en échec pendant des semaines, les partisans, avec le soutien des bombardements aériens de l’aviation alliée, ont pu investir les ruines de la ville le 25 mai 1945, pour en massacrer la population.
Toutefois, certains combattants croates purent s’enfuir et des actions de résistance, depuis les forêts alentour, continuèrent jusqu’en 1947.
Hier soir dans l’émission de D. Rochebin sur LCI une intervenante rappelle l’infiltration communiste dans les universités américaines en 1 siècle.
Les autres invités, sauf un ou deux, baissant la tête, gênés par cette atteinte à l’objet de leur amour inavouable , font aussitôt diversion sur Trump, Mussolini, Hitler, puis l’ancien premier ministre de Pologne, puis Orban, puis Meloni. Meloni est accusée de porter atteinte aux libertés publiques et à la liberté de la presse par une crapule de service (alors qu’il y a infiniment plus de liberté d’expression en Italie qu’en France).
Le général Richoux, qui a aussi son rond de serviette dans cette émission, se déclare « effrayé » par les possibles 32 % de Bardella aux Européennes. Son tort ? Il voudrait rétablir l’ordre, assure-t-il, les yeux écarquillés d’effroi et conclue par » la bête couve, elle n’est pas morte » (sic).
En conclusion de cet énième coming out antifa, une invitée britannique accuse la Russie du vote pro-brexit et s’indigne de l’envoi des immigrés illégaux par la Grande Bretagne au Rwanda pour l’examen de leur demande d’asile. C’est affreux « au pays de la liberté » s’étrangle-t-elle, comme si en Grande Bretagne liberté et invasion migratoire illégale avaient toujours coexisté.
Leurs valeurs occidentales dont tous ces mondialistes se gargarisent n’ont jamais été des valeurs occidentales mais sont leur exact contraire.