Au prétexte du comportement irrationnel de deux jeunes individus ayant conduit à leur mort dans un transformateur, une insurrection se produisait dans les quartiers envahis de France le 27 octobre 2015. Durant plus de trois semaines, la France multiculturelle et républicaine allait montrer son visage, celui de l’échec et des mensonges de « l’intégration » et de « l’antiracisme ».
Trois semaines de guerre urbaine
Plusieurs dizaines de milliers d’occupants participèrent aux innombrables crimes et délits commis à travers le pays, la quasi-totalité des départements étant touchée : meurtres – deux Français furent assassinés et un troisième succomba des suites d’une action criminelle –, tentatives de meurtre, agressions, incendies volontaires – alors qu’en moyenne 434 bâtiments publics avaient été visés par des incendies criminels entre janvier et octobre 2005, ils furent 2 026 pour la période des émeutes –, etc. Il y eut officiellement 9 193 voitures brûlées dans 531 communes ainsi que plusieurs centaines de bâtiments publics pillés et incendiés, notamment des écoles, entre le 27 octobre et le 17 novembre.
Ces émeutes furent quasi exclusivement le fait des occupants issus d’Afrique noire et du Maghreb, avec la participation de quelques Français reniés. Elles démontrèrent l’incapacité de leur République à s’opposer à un mouvement violent, dont l’atout essentiel était une certaine force numérique, mais ne s’appuyant que sur une organisation rudimentaire au niveau local et sans coordination efficace au niveau national, étant essentiellement le fait de jeunes, voire de très jeunes étrangers sans véritables but, ni stratégie, ni entraînement – des éléments qui ont en partie changé aujourd’hui par l’institutionnalisation des émeutes, la multiplication des guets-apens et des attaques organisées, mais aussi par la toujours plus grande communautarisation des territoires perdus de la République, aggravée par une islamisation valorisée par le retour des « vétérans » de Syrie et d’Irak et par les crimes répétés des islamistes sur le territoire national.
Il fallut plus de trois semaines aux autorités pour ramener un semblant de calme, celui-ci devant plus au désintérêt progressif des émeutiers qu’à l’action du gouvernement. L’état d’urgence, proclamé le 8 novembre 2005, une première en France depuis 1955 et la guerre d’Algérie, fut prolongé jusqu’à la mi-février 2006.
Trois Français morts à cause des occupants
Les faits, largement minimisés, voire niés par les journalistes officiels en France, furent très rapidement qualifiés d’émeutes et de guerre urbaine par les journalistes étrangers. Tous se retrouvèrent pour quasiment censurer toutes les informations sur la mort de trois Français lors de ces émeutes.
Le 27 octobre 2005, Jean-Claude Irvoas, accompagné de sa compagne et de sa fille, s’était arrêté pour prendre en photo un lampadaire. Un acte ordinaire pour ce spécialiste de l’éclairage urbain passionné par son métier. Quatre criminels étrangers, Samba Diallo, Sébastien Béliny, Benoît Kusonika et Icheme Brighet, qui trafiquaient de la drogue près de là, l’agressèrent très violemment. Sous les yeux des siens, le Français fut violemment frappé et assassiné par ces tueurs afro-maghrébins.

Le 7 novembre 2005, à Stains, un ouvrier français tenta de dissuader un groupe de criminels étranger d’incendier des poubelles. Jean-Jacques Le Chenadec fut assassiné par Salahadine Alloul, qui blessa également ce soir-là Jean-Pierre Moreau. Parmi les divers émeutiers présents et ayant attaqué les deux Européens, seul le tueur fut poursuivi. Il bénéficia, comme les assassins de Jean-Claude Irvoas, du plus grand laxisme de la justice d’occupation. Il n’écopa que de cinq ans de prison, sans interdiction définitive du territoire.
N’oublions pas encore Alain Lambert, le gardien du lycée de la Plaine-de-Neauphle à Trappes, mort après être intervenu pour éteindre des voitures incendiées devant l’établissement où il travaillait. Après avoir éteint l’incendie et sauvé le lycée des flammes, il tentait de rejoindre son logement de fonction quand il s’était effondré. Les médiats avaient immédiatement évoqué un simple malaise cardiaque, quand les autopsies démontrèrent qu’il est mort de l’inhalation de l’incendie provoqué par les criminels étrangers.
Les émeutes antifrançaises ne prirent fin qu’au bout de 3 semaines, le gouvernement Villepin ayant été contraint de décréter l’état d’urgence, alors que Jacques Chirac, président de la République, déclarait dans une allocution télévisée : « Je veux dire aux enfants des quartiers difficiles, quelle que soit leur origine, qu’ils sont tous les fils et les filles de la République », estimant qu’il faut « offrir partout et à chacun les mêmes chances ».
Voilà ce qu’écrivait Hervé Ryssen dans son livre Le Racisme antiblanc, 2011, p.149 :
Émeutes raciales de 2005. La mort de Jean-Claude Irvoas, battu à mort sous les yeux de sa femme et de sa fille de 17 ans.
Le 27 octobre 2005, à Clichy-sous-Bois, deux adolescents africains mouraient électrocutés dans un transformateur EDF en essayant de fuir un contrôle de police. Ce fait divers mit le feu aux poudres, et bientôt, toutes les racailles afro-maghrébines des banlieues françaises pillèrent les magasins, brûlèrent les voitures, les entrepôts et les bâtiments publics, sous les yeux d’une police impuissante. Pendant trois semaines, les images de ce soulèvement généralisé firent le tour du monde. Le fantasme de l’intégration volait en éclats et la haine des populations immigrées à l’égard des Blancs s’affichait au grand jour. En trois semaines, 10 000 véhicules furent incendiés, 230 bâtiments furent endommagés ou détruits.
Le premier jour de ces événements, Jean-Claude Irvoas, qui prenait des photos de lampadaires à Épinay-sur-Seine (en Seine-Saint-Denis) pour un catalogue de mobilier urbain, fut pris à partie par quatre individus qui craignaient d’avoir été pris en photo. Ce Français de 56 ans fut battu à mort sous les yeux de sa femme et de sa fille de 17 ans qui l’attendaient dans sa voiture. Il était décédé dans la soirée, à l’hôpital. Selon l’autopsie, Jean-Claude Irvoas était mort d’un traumatisme crânien. Son corps portait de multiples lésions, à la joue, aux épaules et aux cervicales notamment, qui prouvaient qu’il avait été roué de coups. Le 30 novembre, deux suspects furent mis en examen. Ils étaient déjà connus des services de police pour vols, recels et trafic de drogue.
Le procès des racailles eut lieu en novembre 2007. Ils étaient poursuivis pour “vol avec violence ayant entraîné la mort”. Il s’agissait de Icheme Brighet, un Algérien ; Sébastien Béliny, qui était originaire des Antilles ; Samba Diallo, un Sénégalais, et Benoît Kusonika, un métis de père congolais, qui fut aussi le seul à reconnaître les faits, s’accusant d’un coup de poing violent.
La fille de Jean-Claude Irvoas, Floriane, témoigna. Debout, face à la barre, ses longs cheveux blonds tombaient sur ses épaules. D’une voix claire et posée, elle confia au président sa peur et son angoisse lorsque son père avait garé son véhicule rue de Marseille, au cœur de la cité d’Orgemont, à Épinay : « Je n’étais pas rassurée d’être là, j’ai préféré rester dans la voiture avec ma mère mais je surveillais mon père car j’avais juste peur qu’on lui vole l’appareil photo, mais jamais je n’ai imaginé une agression. » Lorsque ses agresseurs s’étaient avancés derrière lui pour lui arracher son appareil photo par surprise, « il ne s’est pas laissé faire », assura la jeune fille, qui n’avait pas quitté son père des yeux. Le soir du drame, elle avait décrit aux policiers l’auteur de l’estocade.
Benoît Kusonica, un junky surnommé Rap-As, âgé de 23 ans, fut rapidement identifié. Métis originaire de Limoges, il avait fêté son anniversaire la veille avec ses amis de Paris et d’Épinay. Dans le box des accusés, il se dressa du haut de son 1,85 m : « Oui, j’avais bu beaucoup de rhum, fait la tournée des bars et fumé du shit. Je n’ai pas dormi de la nuit mais j’ai fait une sieste avant de ressortir. » Il alla alors au « trou », ce minuscule périmètre du trottoir, près d’un saule pleureur, qui échappait aux caméras de surveillance municipales, là où dealers et clients se retrouvaient. C’est là qu’il avait retrouvé ses fournisseurs de cannabis – Samba Diallo, 22 ans, et Icheme Brighet, 19 ans – et l’un de leurs amis, Sébastien Beliny, 18 ans. Sur les neuf coups décrits par le médecin légiste, Kusonika n’en reconnaissait toujours qu’un, mais ses coaccusés, eux, le chargeaient aussi de tous les autres.
Au mois de janvier 2010, la cour d’assises de Paris réduisit légèrement en appel les peines infligées aux trois agresseurs. Ainsi, Benoît Kusonika, seul accusé qui reconnut avoir frappé Jean-Claude Irvoas, vit sa condamnation passer de 15 à 14 ans de réclusion criminelle. Samba Diallo et Icheme Brighet, qui avaient été condamnés en novembre 2007 à 12 ans de réclusion par la cour d’assises de Seine-Saint-Denis, furent cette fois-ci condamnés à respectivement 10 et 11 ans. La peine de deux ans d’emprisonnement de Sébastien Béliny, pour “complicité”, était confirmée.
Jean-Claude Irvoas était mort le même jour que Zied et Bouna, les deux petits délinquants africains morts dans le transformateur électrique. C’est à eux et leur famille que les médiats et les politiciens accordèrent toute leur sollicitude. Mais le décès d’un Français, une fois de plus, fut traité comme un simple fait divers. Et il en sera ainsi avec les journalopes tant que les petits Blancs ne deviendront pas violents à leur tour.
































Jeune Nation TV


















Comme on peut le voir sur cette photo, toutes les victimes sont jeunes et blanches . Les occupants ne supportent pas leur existence . Ils les convoitent et les jalousent tout à la fois . Les Blancs sont jalousés partout par les autres peuples .Une jeune femme blanche brûlée vive dans le métro de New-york par un Indien et en France , il y a quelques heures ,en province , une pharmacienne de 48 ans tuée au couteau, la police soupçonne l’ex petit ami de sa fille qui n’avait pas admis qu’elle le quitte . J’aimerais bien voir la tête de « l’amant désespéré » … Encore et encore .
Un nom me vient à l’esprit parmi tant et tant d’autres, le père Hamel, oublié pourtant.