Les mois passent, l’actualité présente un aspect superficiellement monotone : la crise du coronavirus, des coronavirus devrait-on dire, tant il y a maintenant de variants – évolution normale pour un virus, mais qui risquent de devenir de plus en plus virulents si on veut à tout prix les empêcher de circuler – domine l’actualité, notamment en France où elle étouffe radicalement tout : l’information, la vie sociale, la vie économique, la libre circulation et bien sûr, la pensée.
Depuis plus d’un an, sous prétexte de combattre une épidémie dont la dangerosité a été orchestrée, le pouvoir républicain a instauré un état d’urgence entretenu par la distillation permanente d’un climat de peur qui, malheureusement pétrifie nombre de Français. Nous en sommes maintenant au troisième « confinement » accompagné d’une mise en scène dans laquelle Macron se laisse apparaître comme un modérateur face aux forcenés de l’assignation à résidence, préparant ainsi l’élection présidentielle de 2022, laquelle, sachons-le, sera un non-événement car une rupture radicale ne se produira qu’à la suite d’événements imprévus et erratiques.
Cela précisé, comment est-il possible d’accorder quelque crédit à ce régime naturellement anti-français dans la mesure où il se construit en opposition déclarée avec la composante spirituelle fondatrice de la France alors que, depuis des décennies, et singulièrement depuis une quarantaine d’années, le processus s’aggravant de gouvernements en gouvernements, il travaille délibérément contre la France, légalisant et encourageant les actes de morts en début et en fin de vie ?
Il favorise l’invasion migratoire : alors qu’il dissout une association légaliste comme Génération identitaire, dont le « crime » a été de montrer que l’Etat n’appliquait pas ses propres lois en ne contrôlant pas les frontières de la France face à l’invasion migratoire, il absout un Cédric Herrou, qui favorisait cette invasion en prenant en charge ceux qui franchissaient clandestinement la frontière des Alpes !
Il accorde aux envahisseurs illégaux des droits sociaux supérieurs à ceux des naturels Français : alors que les soins dentaires et les paires de lunettes sont remboursés de manière dérisoire et éhontée, le moindre envahisseur illégal, désigné sous le vocable de « sans papier », a droit aussitôt à l’AME (Aide médicale d’Etat) et est soigné gratuitement dans les hôpitaux français ?
Comment un tel régime peut-il ne pas être nuisible dans tout ce qu’il touche ? La preuve nous en est fournie par le fait qu’au lieu de rechercher à soigner les personnes atteintes par le covid, on les renvoie chez elles avec pour tout médicament une boite de Doliprane, la seule consigne étant d’appeler le Samu s’ils ne peuvent plus respirer ! Tout est fait pour empêcher les Français de se soigner contre les effets de ce virus, des antibiotiques comme l’azytromicine, un anthelminthique comme l’ivermectine (qui a valu à ses découvreurs un prix Nobel de médecine en 2015) étant exclus de la pharmacopée, tandis qu’un médicament d’usage connu comme l’hydroxychloroquine a été classé comme poison en janvier 2020. Plus encore, à l’encontre du principe de libre médication des médecins, on leur interdit de prescrire tel ou tel traitement.
Dans le même temps, un bourrage de crâne phénoménal est mené – et cela dès mars 2020, au début de l’épidémie – pour convaincre les gens que la vaccination est une panacée alors qu’elle n’empêche pas d’être contaminée, que ces médications qui usurpent le nom de vaccin provoquent des effets secondaires graves, sinon mortels chez un nombre anormal de personnes et que ces produits, à l’essai jusqu’en 2023, font que les personnes piquées ne sont rien d’autre que de vulgaires cobayes. Leur république glose sur les « crimes contre l’humanité » ? Mais qu’est-ce donc que sa politique sanitaire, qui provoque par ailleurs des dépressions, des maladies aggravées et des morts pour cause de soins différés ? Nous ne pouvons sans déchoir nous soumettre à cela.
Le blocage sciemment provoqué de l’économie détruit celle-ci sans pour autant éviter que le nombre des victimes du Covid 19 soit inférieur à celui de pays qui n’ont pas confiné comme la Suède, voire la Biélorussie. Mais il est vrai que la France s’enfonce dans une sorte de tiers-mondisation, comme le montre la destruction de notre système de santé avec notamment la suppression de lits d’hôpitaux pour d’aveugles raisons comptables.
Toutefois, si la France est l’un des pays d’Europe dont la gestion est des plus catastrophiques, victime d’une classe dirigeante des plus calamiteuses et nuisibles qui soit de par toute l’Europe, c’est l’ensemble de l’Occident européen qui est atteint au point que l’on peut affirmer que celui-ci est l’homme malade de la planète et l’U.E. coordonnant en quelque sorte la progression du cancer.
La dénatalité est à la fois le symbole de cette dégénérescence et sa résultante. Et la crise sanitaire qui se prolonge a eu pour premier effet majeur de peser sur les taux de natalité des peuples d’Europe, à commencer par la France. Ce phénomène ne peut que rendre encore plus pesants les effets de l’invasion migratoire que nous subissons. Le génocide ethnique des peuples d’Europe s’accélère donc.
Mais, tout aussi gravement, c’est la fragilisation, sinon la destruction de pans entiers de notre économie qui se profile.
Le problème est que, tout particulièrement en France, une rupture irréparable s’est produite entre le peuple français et l’oligarchie qui détient le pouvoir. Or cette oligarchie constitue tout au plus 2 à 3 pour cent de la population avec, pour noyau dirigeant, quelques milliers d’individus. Son soutien électoral repose sur un clientélisme sociologique de 15 % de la population française qui se pensent à l’abri des problèmes du temps mais qui tôt ou tard seront victimes de l’effondrement en cours. Macron est le représentant de ce « nouveau monde », celui des héritiers de 1968 qui ont subi l’absence de transmission et ont été endoctrinés dans le mondialisme.
Face à ce groupe de pseudo élites coupées d’un peuple qu’elles ne comprennent pas ou bien méprisent ou détestent, ce sont au bas mot 80 % des Français qui se retrouvent en situation d’oppression et de dépossession programmée de leur patrimoine. Un sondage du 29 mars 2021 effectué pour le JDD et Sud Radio confirme la rupture : 66 % des Français disent ne plus « se sentir chez soi comme avant ». A 78 %, les sondés disent que « la France est un pays de culture chrétienne », contrairement au discours régimiste.
Cette oligarchie parasite et destructrice le sait et craint les effets de cette situation objective de guerre civile, le peuple Français se trouvant en situation légitime de se délivrer de cette oppression: le renforcement de la répression contre les Français non reniés qui réagissent en est un signe. Rappelons-nous la sauvage répression des Gilets Jaunes, ce cri de douleur d’un peuple qui ne veut pas mourir. Pensons à l’emprisonnement d’Hervé Ryssen, aux quatre ans de prison requis contre Alain Soral, à l’interdiction de Génération identitaire précitée, à la dictature rampante de minorités comme le CRIF, les associations LGBT qui imposent leur pouvoir à la majorité.
Cela, en attendant le fichage numérique qui se profile avec ces « passeports sanitaires », que l’U.E. est en train de mettre en place subrepticement pour mieux inciter les gens à se faire vacciner pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques et de la finance mondialiste qui les contrôlent, Blackrock étant à la manœuvre.
Pour le moment, les Français – et plus largement les nations d’Europe occidentale – restent silencieux. Jusqu’à quand ? Une certitude : cela ne perdurera pas. Crise économique à venir, crise financière porteuse de spoliations annoncées, conflits pluri ethniques, et dans le monde risques de guerre nourris par les idéologues revenus au pouvoir avec Biden : l’avenir est lourd d’orages.
Le monde actuel est comparable à ces édifices vermoulus mais qui gardent extérieurement un aspect de solidité inébranlable jusqu’à ce que l’ensemble s’effondre par pans entiers à la première tempête.
Ayons-en conscience et préparons l’après effondrement, alors que s’offriront des possibilités de reconstruction. Quelques décennies d’errements ne peuvent prévaloir sur 2000 ans de civilisation.
Mr Gandillon et si plutôt que de blâmer la situation actuelle nous regardions en Face toute les erreurs, les fautes et les trahisons de la droite nationale catholique depuis 1815?
1815 restauration de la monarchie(virus libéral confirmé)
1830 deuxième reprise en main de la monarchie(virus libéral renforcé)
1848 ralliement à la république et trahison en 1852 avec Napoléon 3 par appat du gain
1870 ralliement aux sociaux démocrates pour sauver son bas de laine…
1873 affaire du drapeau blanc(refus flagrant de reprendre un pouvoir que le peuple donnait).
1905 les biens de l’église dépouillés seul les paysans bretons se revoltent sans encadrement…
1900/1940 Maurassiens et admirateurs de Barrès adeptes de la masturbation intelectuelle(miaivreries) et de la génuflexion devant l’autorité aboient. Mais Globalement c’est du verbiage, de jolies plumes,de belles lettres et puis au lendemain 6 février 1933 au lieu de faire bloc derrière le Colonel Francois de la Rocque à la fin on le critique généreusement. Par fidélité envers l’église le toutou catho trad reste à la niche…la bonne messe ,la bonne messe…
Les occasions politiques ratés en 1914 et 1940 au nom d’une certaine idée de la neutralité(favorable aux ennemis de la France) ou de l’union sacrée(boucherie de la classe rurale).
Evidemment d’autres épisodes croustillants ne sont pas répertoriés(Panama, Suez, Stavisky…) que d’occasions ratées.
Ne serait-il pas temps de foutre dehors une bonne fois pour tous les cadres bourgeois adeptes de la « bonne messe » qui par leur comportement à chaques événements graves ont un fossé béant entre les idées qu’ils incarnent et leurs applications…
Globalement on ergotte sur du sociétal en parlant de contre-révolution puis on envoie ses fils et filles faire de bonnes études pour exercer des fonctions lucratives et régimistes.Hélas l’histoire le prouve on ne peut pas servir Dieu et le veau d’or sans contrepartie…
Le peuple ouvrier n’en a rien à foutre du sociétal…et croire qu’avec de bons bourgeois catho trad on va encadrer une armée de contre revolutionnaire c’est se moquer du monde!!!!!!!
Nous ne sommes chaque fois pas à la hauteur nous sommes mauvais!
Evidemment Mr Gandillon ne me répondra pas mais j’espère juste que nombreux me liront à défaut de valider mes constatations.
Pour ceux qui n’aurait pas compris mes commentaires: je suis national socialiste, ouvertement anti-maurassien et pétainiste sceptique.
Pour moi le catholicisme traditionnel est une vaste escroquerie et les problèmes ne date pas d’hier(bien avant vatican2):
Comment se dire catho trad en mettant la bible avant les évangiles c’est à dire Israel avant le Christ?
Comment se dire catho trad en étant âpre au gain fuyant volontairement le travail manuel pour les professions régimistes comme les juifs?
Comment se dire catholique en poussant ses enfants à des études et une vie en décalage total avec la vie des âpotres du christ et des milliers de gens de basses extractions ouvriers, employés et paysans qui par nationalisme et par foi ardente ont subit le marthyr dans leur chair, privation matérielle et la faim?
La messe en latin en sortant d’un bureau parisien(banque, assurance, armée…) est devenu un petit delire bourgeois pour se donner bonne conscience après avoir fait venir au noir l’ouvrier portugais et la nounou cogolaise…
Ça veut dire quoi Pétainiste sceptique?
Il fallait choisir l’allemagne après Dakar, Mer el Kébir, la Syrie, la confiscation de nos bateaux et les bombardements homicides sur les civils. Rester neutre avec une marine de guerre moderne et une armée de libération de 365000 hommes était un très mauvais choix.
Le vrai problème était le judéo-bolchevisme et 2 millions de prisonnier de guerre français en allemagne.
Il fallait négocier(se) un changement de camp salutaire des gens comme Salazar, Franco, la suède et Roosevelt auraient suivi.
L’anti-germanisme stupide de la vieille droite moisie Maurassienne nous aura couté très cher!
Ces deux discours successifs, celui de « militant » et celui dAlex, sont symptomatiques du pire et du meilleur. le pire, avec cette critique systématique ci-dessus n’apportant rien de positif. Un discours sénile, un discours de vieillard dépressif. Où est la jeunesse ? Où est la motivation ? Où est l’espoir ?
Le meilleur, avec le texte de « Militant », analyse sans concession mais mobilisatrice et se concluant par un appel au combat, lequel reste porteur d’espoir. Je retrouve dans « Militant » le dynamisme et la lucidité que l’immense Pierre Sidos insufflait, dans les années 6O aux militants de « Jeune Nation », fer de lance du combat Nationaliste, qui ont contribué à écrire l’histoire de leur époque.
250 ans d’échecs c’est impardonnable et le refux de l’autocritique encore plus!
Je suis issu d’une famille qui a mouillée la chemise durant la guerre, avant et après.
Par mon père, l’oncle de mon père, mon grand père et moi même je connais très bien les rouages internes.
Vous me critiquez certes et je l’accepte.
Mais ici, point par point, jamais jusqu’à présent personne n’a été capable de soutenir une argumentation concrète contre moi.
Les faits précités sont tous réels et pas imaginaires.
N’est ce donc pas la preuve que je suis dans le vrai?
J’attends avec plaisirs une contre argumentation honnête…
Amitiés nationalistes sincères à tous mes contradicteurs.
Militant semble penser qu’à la lueur de graves événements, le peuple réagira.
N’oublions pas que ce peuple est aussi infesté par une frange active, non négligeable numériquement, des héritiers de la révolution française, de la « libération », des gauchistes, et de nombreux groupes qui agissent en toutes impunités pour l’immigration et le renversement des derniers restes de la civilisation traditionnelle antique.
C’est cette partie de la population qui sera la plus dangereuse lors du grand combat qui s’annonce.