ALORS qu’elle avait un casier judiciaire vierge, qu’elle n’avait jamais commis la moindre violence, la jeune enseignante certifiée d’allemand, Cassandre Fristot, a été lynchée judiciairement, après l’avoir été politiquement, médiatiquement et professionnellement. Chose rare, les magistrats ont été au-delà des réquisitions du Parquet qui réclamait 3 mois de prison avec sursis. Le 20 octobre, la veille des trois ans du rappel à Dieu du Professeur Faurisson, le tribunal correctionnel de Metz a doublé la peine requise : 6 mois avec sursis pour une simple pancarte en carton brandie lors d’une manifestation, le 7 août dernier, contre le pass sanitaire et sur laquelle ne figurait nul appel à la violence.
Une pancarte qui comprenait treize patronymes, dont plusieurs non juifs, de responsables de l’actuelle tyrannie sanitaire qui ne cesse d’ailleurs de se renforcer avec les tests antigéniques et PCR payants depuis le 15 octobre, la prolongation du pass sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022, la volonté d’une partie des parlementaires de se diriger vers la vaccination obligatoire que Macron avait évoquée dans son effrayant discours du 12 juillet dernier et alors même que les pouvoirs publics parlent très officiellement d’une troisième voire d’une quatrième dose de vaccin. En cédant, beaucoup de Français pensaient qu’ils auraient enfin la paix. Mais non, ce n’est jamais assez. C’est une tyrannie sans fin, un abîme ans fond, un cauchemar sans trêve. Attali l’avait bien dit dès mars 2020 : le monde d’avant, c’est fini, bien fini.
TOUT dans cette affaire Fristot est ahurissant : la violence de la répression, sa rapidité foudroyante également. La manifestation date du samedi 7 août. Dès le lundi 9 au matin, elle est perquisitionnée à son domicile et mise aussitôt en garde à vue, laquelle sera prolongée. Le ministère de l’Intérieur Gérald Darmanin publie un communiqué officiel pour dénoncer une pancarte « antisémite abjecte » et met en branle une impitoyable répression. Le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer annonce la suspension immédiate de Cassandre Fristot de son poste d’enseignante, avant sa radiation qui devrait théoriquement être actée dans quelques jours, au terme des trois mois de suspension. De sorte que cette jeune enseignante se retrouvera sans emploi et sans ressources.
Un mois seulement après les faits, le 8 septembre, c’était déjà son procès à Metz devant treize (!) parties civiles et, le 20 octobre, elle est donc condamnée à 6 mois de prison avec sursis et 9702 euros de dommages et intérêts. Bref, en moins de trois mois, elle aura été liquidée socialement, financièrement, professionnellement par le fameux lobby dont on nous dit qu’il n’existe pas. Notons que ni Marine Le Pen ni Eric Zemmour n’ont condamné ce jugement infâme. On a jugé l’affaire Fristot tellement grave que le parquet de Metz a saisi la brigade des crimes contre l’humanité ! Car porter une pancarte où il y a en partie des patronymes juifs, ou suspectés de l’être, c’est commettre un crime contre l’humanité, pas moins ! Cassandre Fristot est le symbole d’une femme libre et courageuse, se battant avec foi contre la tyrannie et, en la châtiant sans pitié, on a voulu faire d’elle un exemple et décourager d’avance tous ceux qui, en France, seraient tentés de suivre le même chemin, de résister, de se révolter, de mettre un nom et un visage sur les responsables d’une politique liberticide qui nous détruit, nous asservit, nous avilit.
SI LES GRANDS MEDIA ont évoqué la peine de prison, ils ont en revanche été plus pudiques sur les sommes qu’elle devra verser aux associations parties civiles qui tendent la sébile et réclament à chaque procès des sommes extravagantes au nom d’un prétendu préjudice moral qu’elles auraient subi, alors que c’est elles qui réclament à cor et à cri la prison pour tous ceux qu’elles n’aiment pas, qui ne correspondent pas à leur vision de l’homme, de la vie et de la société. Qu’on nous permette, une fois n’est pas coutume, de recenser intégralement les sommes obtenues par ces associations de malfaiteurs dans cette affaire Fristot pour qu’on comprenne mieux à qui vraiment l’on a affaire et à quel point ces groupes de pression sont d’une totale nocivité. Cassandre Fristot est condamnée à régler en tout 9 702 euros de dommages et intérêts et de remboursement de frais d’avocats (ce qui est un comble !) à neuf parties civiles (sur treize) qui ont été jugées recevables, au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale. C’est la loi Pleven du 1er juillet 1972 qui a introduit la possibilité pour des associations d’ester en justice, de faire valoir leur prétendu préjudice moral et de réclamer des sommes astronomiques.
Cassandre Fristot, pour une simple pancarte brandie cet été dans une manifestation contre le passe sanitaire, est, selon le texte même du jugement, « condamnée à six mois d’emprisonnement avec sursis pour provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion par parole, écrit, image ou moyen de communication au public ; condamnée à verser au Conseil Représentatif des institutions juives de France (CRIF) ayant pour représentant légal Francis Kalifat la somme de 1 euro de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à l’Organisation Juive Européenne (OJE) ayant pour représentante légale Muriel Ouaknine Melki la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à la Ligue des Droits de l’Homme ayant pour représentant légal Malik Salemkour la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à la Maison des Potes et de l’Egalité ayant pour représentant légal Samuel Thomas la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 600 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à l’association B’NAI B’RITH FRANCE ayant pour représentant légal Philippe Meyer la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 400 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à l’association SOS Racisme ayant pour représentant légal Dominique Sopo la somme de 1 euro de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser au MRAP la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser à la LICRA la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 1 000 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale ; condamnée à verser au Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) la somme de 300 euros de dommages-intérêts et 600 euros au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale. »
QUINZE jours plus tôt, le 5 octobre, la cour de cassation cassait la relaxe d’Alain Soral dans l’affaire d’un clip suspecté d’être antisémite. En 2019, le site Égalité et Réconciliation avait en effet publié un clip du groupe Rude Goy Bit intitulé « Gilets jaunes ». On y voyait notamment une pancarte contenant le nom de Rothschild jetée au feu ou encore des photos de BHL, d’Attali ou de Drahi envoyées au bûcher. Alors que le tribunal correctionnel de Bobigny avait condamné l’essayiste à 24 mois de prison, dont 18 mois ferme en septembre 2019, la cour d’appel l’avait relaxé en deuxième instance, en considérant qu’il y avait également des personnalités non juives dont l’effigie était brûlée et qu’il n’y avait donc pas d’incitation à la haine raciale, que la communauté juive n’était pas visée en tant que telle. La cour de cassation, la juridiction la plus élevée de l’ordre judiciaire français, en a jugé autrement : « Les juges d’appel n’ont pas recherché, comme ils l’auraient dû, le sens véritable du clip, qui comportait de nombreuses références antisémites ». Heureusement que les juges de casse, eux, savent, décrypter ces références ! Soral sera donc rejugé en appel. Pour être sévèrement châtié. Après cela, qui oserait encore parler d’une « insupportable police juive de la pensée » ?
[…]Jérôme BOURBON, RIVAROL.
Il n’empêche que Cassandre est belle et que ses adversaires sont moches et vilains et qu’ils le resteront.
Il faudrait répertorier toutes les condamnations judiciaires, depuis 1972, pour « antisémitisme » et « racisme », par la police de la pensée mondialiste. Ce qui montrerait très clairement les persécutions du peuple français historique et des esprits indépendants, par le système de Domination très installé, lequel, comble de l’hypocrisie, se prétend une « démocratie » ; tout en niant, pleinement, dans la pratique, le principe de la liberté d’expression, s’agissant des opinions patriotiques, ou seulement non judéo-serviles.
Excellent article de Jérôme Bourdon comme je les aime, pour la défense, de Cassandre FRISTOT et par delà, toutes les victimes de cette accusation qui nous concerne tous. Un jugement » pour l’exemple » ou » pédagogique », comme ils se plaisent à dire, n’est pas justice. Rares sont ceux qui ont pris la plume, hélas, pour soutenir cette personne et condamner cette accusation et ils émanent presque tous de quelques courants nationalistes. Pour ma part, alors que je ne suis pas nationaliste ( bien que considéré comme » d’extrême droite » par les polices de la pensée), je n’ai cessé, ma vie durant, de m’élever contre cette accusation et de soutenir toutes les victimes de cette accusation, indépendamment des appartenances ou supposées appartenances politiques et opinions de ces personnes. On ne prendra jamais assez la plume, la parole, pour dénoncer cette accusation et soutenir les personnes qui en sont victimes. Et je regrette l’inexistence de structures, pour, entre autres, lutter contre cette accusation, et soutenir les victimes. Cette accusation idéologique, est par nature un non-sens, un abus. Elle est
inégalitaire, anti-constitutionnelle, malveillante et raciste, même. Elle viole, dans les faits, un certain nombre de droits, comme, la présomption d’innocence, le droit à la défense : une accusation équivaut à une présomption de culpabilité et à une condamnation. De tels jugements ne peuvent être équitables, avec 13 et plus, de parties civiles, contre soi. De plus, cette accusation, n’a plus aucune limites, on n’est dans » le pourrait être antisémite » ou » aurait pu l’être », donc, on condamne pour antisémitisme.
Daniel Milan.
https://leblogdedanielmilan.wordpress.com/2021/10/24/%f0%9f%94%b4-chaque-jour-de-nouvelles-publications-liens-reflexions-videos-articles-tous-sujets-version-complete-merci-de-les-relayer/
Ces jugements montrent « l’épongisme » au politiquement correct des élites qui constituent l’encadrement des institutions, que ce soit la justice, l’éducation nationale ou même l’encadrement sportif. Et si une cour d’appel se montre raisonnable, la cour de cassation est là pour la rappeler à l’ordre. QUI ? nomme les magistrats de cassation, QUI ? nomme les recteurs d’académie, QUI ? subventionne les clubs sportifs ? QUI ? sont à la tête de ces organisations mendiantes. A quand la grande lessive et quand et par qui sera t’elle faite ?
Combien de temps allons-nous encore nous laisser arrêter les uns après les autres par des flics aux ordres, nous laisser condamner par des magistrats crypto-trotskystes, nous faire casser par QUI vous savez ?
Pourquoi n’est-il donc pas possible d’organiser la Résistance ?
Pourquoi ne sommes-nous pas capables de faire ce qu’ont fait avant nous les Cagoulards ou l’OAS ?