Horst Mahler est emprisonné en Allemagne depuis le 25 février 2009. La justice d’occupation l’a condamné à douze années de prison pour avoir osé défendre l’honneur de l’Allemagne et dénoncer les mensonges historiques imposés à l’Europe depuis 1945 par ses nombreux ennemis. Horst Mahler, venu de l’extrême gauche la plus radicale, a ouvert les yeux sur ce que subit le peuple allemand depuis plusieurs décennies : la mort de l’âme allemande par la propagande de la prétendue “Shoah” et jusqu’à la disparition du corps biologique allemand par l’invasion et le métissage. Malade et âgé de bientôt 80 ans, il a demandé une libération conditionnelle, accordée quasi automatiquement, comme en France, à tous les délinquants et criminels. Pourtant, dans le pays où le pédocriminel juif Daniel Cohn-Bendit a commis ses crimes et n’a jamais été arrêté ni moins encore emprisonné, les juges lui refusent le droit de retrouver la liberté, même sous un strict contrôle judiciaire. Ils font même pression sur l’héroïque combattant nationaliste pour qu’il retire sa demande. Ils lui reprochent d’avoir continué à défendre l’Allemagne et son peuple en prison, notamment par la publication du livre Das Ende der Wanderschaft (La Fin de l’errance). Le 30 mai dernier son frère, Peter Mahler, a diffusé une lettre ouverte pour alerter l’opinion publique sur le sort du plus vieux prisonnier politique du monde.
C’est en tant que frère de Horst Mahler que je souhaite aujourd’hui appeler l’attention du public.
Je n’ai pas parlé de cette lettre à mon frère, il en ignore l’existence. Je ne sais pas s’il serait d’accord avec cette initiative, je pense même que non.
Pour mieux connaître ma personne voici un bref aperçu :
Je m’appelle Peter Mahler, j’ai 80 ans. Profession : commerçant diplômé dans la branche hôtelière et maître de cuisine.
Fonctions honorifiques [suit une liste de qualifications dont certaines sont difficiles à traduire en français: un poste à la Chambre de commerce de Berlin (à la retraite), vice-présidence de la Fédération allemande des cuisiniers (à la retraite), etc.]
Voilà pour ce qui concerne ma personne.
Le véritable objet de ce courrier concerne l’état de santé de mon frère, auquel je rends visite aussi régulièrement que possible.
Mon frère souffre de diabète, d’insuffisance cardiaque et de troubles de l’équilibre. Ce sont des problèmes liés au manque d’exercice et au régime alimentaire.
Si un jour mon frère devait lire ces mots, il me reprocherait d’avoir violé le secret médical (comme il l’a déjà fait quand j’ai informé les membres de notre famille). Je lui rétorquerai que je ne suis pas médecin et que par conséquent je n’ai pas fait le serment de respecter un secret professionnel.
Il y a peu de temps mon frère, mettant de l’ordre dans sa cellule, a fait une chute et s’est cassé l’épaule droite. J’ai pu le vérifier personnellement: son épaule droite est bandée jusqu’au bras, et il a de gros hématomes. Du coup, il lui est difficile d’écrire. Il peut taper avec 2 doigts seulement, c’est tout ce qui lui reste. Pour se rendre de sa cellule à l’infirmerie, il doit traverser un long couloir, ce qu’il fait avec beaucoup de difficulté et en titubant.
Mon frère a déjà accompli cette année les 2/3 de sa peine et, conformément à la loi, il pourrait aujourd’hui, à ma connaissance, exiger une libération qui ne lui est toutefois pas accordée. Au lieu de cela il a reçu une lettre de la chambre d’exécution des peines de Potsdam qui lui demande de retirer sa demande de libération. À mon point point de vue, c’est matériellement impossible, et cela n’a plus rien à voir avec le droit. Une telle demande de la part d’un juge est tout bonnement criminelle.
Avec mes sincères salutations