Quinze ans après ma première élection à la tête du Parti national britannique, j’ai démissionné de mon poste samedi lors d’une réunion du conseil exécutif.
Avant de le faire, j’ai désigné Adam Walker comme chef adjoint, avec pour conséquence, après ma démission, qu’il est devenu immédiatement le chef par intérim du BNP, en attendant l’élection prévue normalement en vertu de notre constitution l’année prochaine.
Soyez assurés que je reste définitivement avec le Parti national britannique comme un membre actif, et que je serai là pour offrir conseils et soutien à Adam quand et s’il en a besoin alors que je renonce à mon rôle de président du conseil exécutif du BNP. Cette décision a été la mienne et la mienne seule, même si elle a donné lieu à un long et constructif débat avec l’ensemble des dirigeants.
Mes raisons pour ce choix sont de trois ordres:
D’abord, quinze ans sont plus que suffisants. J’avais d’abord espéré transmettre mes responsabilités il y a plusieurs années, mais quand un effort concerté a été fait pour détruire la BNP de l’extérieur et de l’intérieur, j’ai décidé qu’il était de mon devoir de rester et de diriger notre mouvement à travers la tempête et revenir à la stabilité interne et financière avant de m’en aller.
Je l’ai fait. Lors de cette même séance samedi, le trésorier national, Clive Jefferson, a annoncé pour la troisième année consécutive que les comptes du parti ont été soumis dans les délais, après avoir été totalement vérifiés et avec un excédent d’exploitation élevé. L’équipe de direction est unie dans la voie à suivre et, une fois de plus, le Parti national britannique – avec les nombreuses améliorations qui restent à apporter – est le seul véritable mouvement nationaliste du pays qui fonctionne efficacement.
Plus que tout, en aidant Brian Parker à remporter un troisième mandat à Pendle en juin, nous avons mis fin à un désert électoral de quatre ans, ce qui prouve que notre « marque » et notre machine sont encore capables de gagner. Un parti qui, jusqu’à ce que je l’ai pris, n’avait jamais maintenu un seul siège au conseil plus que quelques mois, est maintenant sur la bonne voie en ayant eu une présence ininterrompue d’élus dans la politique britannique durant dix-sept ans – et, bien sûr, maintenant que nous avons prouvé que nous pouvons gagner à nouveau, nous allons continuer à le faire.
Ainsi, les objectifs que j’ai fixés lorsque j’ai décidé de rester ont été atteints, et il est temps de changer à la fois pour moi et pour le parti. Cela va nous faire du bien à tous.
Deuxièmement, en dépit de notre succès dans Pendle, nous savons tous que l’émergence de l’UKIP a rendu les élections européennes cette année extrêmement difficiles pour nous tous au BNP, tout comme pour plusieurs autres partis. Confrontés à la douleur de la défaite électorale, certains membres et cadres locaux dans certaines parties du pays pensent que c’est de ma faute.
Je sais que de nombreux autres ne le pensent pas, attribuant les résultats et l’échec de la transformation de notre énorme soutien « soft » en votes à l’intense campagne médiatique de promotion de la soupape de sécurité Farage Mirage. Je suis d’accord avec cette analyse, mais je reconnais aussi que, en politique, la perception peut importer tout autant que la réalité, et le commandement implique la responsabilité.
Et ce qui importe le plus dans un parti sous la pression constante de nombreuses menaces extérieures est l’unité interne. Et avoir eu des mois de friction interne, entre ceux qui m’accusent et ceux qui me soutiennent, aurait été démoralisant et préjudiciable à notre parti.
Ainsi, mon pas de côté un an avant la campagne pour la direction prévue en 2015 met un terme immédiat à ce danger.
Je mets en garde ceux qui pensent que les résultats des élections européennes ont chuté à cause du chef personnellement de ne pas se laisser emporter par la croyance naïve que tout va soudainement changer sous Adam Walker. Je crois que, avec tout notre soutien, Adam sera un très bon chef, mais les élections se remportent par un travail en profondeur au sein de la communauté, parler et aider les électeurs à leur porte et collecter des votes par correspondance, pas en agitant une baguette magique ou en remplaçant les dirigeants.
Troisièmement, comme vous le savez tous, je poursuis mon intervention réussie et historique dans la tentative de Cameron pour faire glisser la Grande-Bretagne dans la guerre en Syrie, avec une campagne beaucoup plus difficile pour dénoncer et résister à la dernière campagne néo-con pour pousser le public à une confrontation et un conflit avec la Russie.
Durant mon mandat de député européen du Parti national britannique, j’ai pris de nombreux contacts au niveau international, des connexions à partir desquelles je travaille maintenant pour mener une campagne paneuropéenne pour la paix et pour résister au mal absolu de ceux qui semblent s’acharner à nous plonger nous une autre guerre mondiale, contre le dernier bastion de notre race sur la planète.
Ce travail va prendre une grande partie de mon temps, tant que j’en suis venu à la conclusion que le parti que j’aime tant aurait à souffrir de ma participation intensive à cette campagne internationale pour renforcer la résistance à l’entraînement des néo-conservateurs pour les géants pétroliers américains, les banques internes, les multinationales et le suprématisme sioniste.
Mais avec Adam Walker à la tête du BNP, nous aurons pour la prochaine étape de notre grand voyage un capitaine qui est capable de donner au parti son attention constante.
Je serai toujours là pour lui donner des conseils chaque fois qu’il en aura besoin, tout comme je reste disponible pour prendre la parole lors des événements du parti, écrire pour le site et les publications du parti, pour aider à gagner plus d’élections et pour jouer un rôle très actif dans le travail organisationnel et éducatif dont nos futurs progrès dépendent. Je ne m’en vais pas loin !
Nous en sommes là. Adam est le chef désormais. Nous devons tous lui offrir notre loyauté et tout notre soutien possible parce que, en fin de compte, ce n’est pas de Nick Griffin ou d’Adam Walker qu’il s’agit, mais du Parti national britannique et du seul espoir pour notre race et notre nation.
Merci à tous pour votre soutien, votre camaraderie et votre amour depuis plus de quinze ans et ce long chemin parcouru, et tous les « triomphes et les désastres » que nous avons partagés le long du chemin. Cela a été un honneur de diriger ; cela reste un honneur de servir.
Nick Griffin.
quel homme, quel chef! quand on pense que MLP lui a prefere un Farage avec les resultats que l on sait en plus!
De Nick Griffin je retiens qu’il veut sauver la race et la nation en Grande-Bretagne, mais aussi sauver les idées de Race et de Nation dans la débâcle mondialiste. Je retiens surtout qu’il est le seul à avoir promis un Nuremberg à l’envers aux législateurs antiracistes. C’est au Parlement Européen qu’il a prophétisé que ceux qui font mourir nos Nations, par l’invasion progammée d’allogènes et le métissage, seront un jour sur le banc des accusés. Je trouve qu’on ne lui rend pas assez hommage, pour la noblesse de son combat.