Nous l’avons répété à de multiples reprises : nul ne nous fera taire, et sûrement pas un métèque fils de républicains espagnols et judéophile notoire. On ne dissout pas les nationalistes.
Samedi 26 avril 2014, des militants venus de tous les horizons de France sont partis de Lyon et de Nice pour la ville de Crémone où nous avons retrouvé nos amis du Parti national suisse (PNS) et de la Phalange espagnole (FE).
Les autorités sont intervenues pour empêcher la cérémonie prévue à 11 heures ; l’organisateur est parvenu à maintenir une cérémonie en fin d’après-midi. Cet intermède fut l’occasion de visiter un petit musée privé en l’honneur des héros nationalistes d’Europe puis de partager un repas avec de nombreux camarades italiens, suisses et espagnols.
Nous nous sommes rendus alors au cimetière de Crémone où une messe était donnée en la mémoire de Roberto Farinacci et de tous les martyrs de la République sociale italienne (RSI).
Après l’office religieux, les délégations se sont dirigées vers les tombes de nos héros afin d’honorer leur mémoire. Les défenseurs de l’Europe nouvelle ont lutté contre les miasmes du marxisme et des démocraties parlementaires corrompues ; ils sont allés jusqu’au bout de la sincérité et du sacrifice. Comme chaque année, nous ne les avons pas oubliés.
Notre ami Gian-Alberto d’Angelo a prononcé un discours des plus poignants en hommage à nos morts ; puis ce fut au tour d’Yvan Benedetti de prendre la parole afin de rappeler la nécessité du souvenir dans le combat de demain. Le représentant phalangiste Ignace Ruiz-Larrea a fait une même mention aux moments difficiles que traversent nos patries. Après avoir honoré le souvenir de nos martyrs en chantant (les minutes de silence sont réservées aux francs-maçons, pas de ça chez nous), nous partîmes pour Predappio, village natal de Benito Mussolini où repose le dernier des césars. Nous arrivâmes tard dans la soirée puis nous fûmes reçus au domaine du père Tam où nous passâmes la nuit.
Le lendemain matin, nous participâmes au défilé vers la crypte où repose le Duce. À ses portes, le père Tam dirigea un chapelet et dénonça les méfaits des oligarchies financières qui sévissent dans nos patries européennes, avant de rappeler nos valeurs éternelles : celles de Dieu, de la patrie, de la famille.
À l’issue de la cérémonie, nous avons rendu un dernier hommage à Benito Mussolini, l’homme qui voua sa vie à sa patrie italienne et certains purent ensuite visiter la maison du Duce.
Ce fut enfin le moment de nous séparer, à grands regrets, mais avec la certitude de nous retrouver bientôt ; en Espagne, en France, et ailleurs, pour le combat de demain ; celui qui verra l’aigle triompher des vautours de la finance internationale et apatride.
Merci a Benito Mussolini d’avoir mit le feux aux Balkans en attaquant un pays peuplé d’arriérés Musulmans l’Albanie (sans aucun intérêt pour l’Italie) puis dans la foulée d’avoir lachement agressé un état fasciste exemplaire la Grèce.
Le bilan de Mussolini est une catastrophe alors que Hitler s’apprête à mener l’opération Barbarossa qui est rappelons le une guerre préventive en vu d’une offensive généralisé de l’armée rouge sur l’Europe de l’ouest; Hitler doit retarder l’opération pour aller aider un connard embourbé dans les Balkans.
L’une des principales cause de la défaite Allemande à l’Est c’est la boue et l’hiver Russe ayant pour principale cause un retard sur le planning!
Nous payons encore aujourd’hui au Kosovo les arrivages d’Albanais qui ont tapé l’incrust en masse à cause de ce monsieur!
Monsieur, Mussolini je ne vous aime pas!
François Vinneuil, […],
Tu as bien raison de traîter les Espagnols de métèques […] courageusement posé derrière ton écran et ton nom derrière un pseudonyme. Le jour où tu dis ça devant moi […] avant même que tu termines ta phrase.
Malveillance ? Inattention ? Ce ne sont pas évidemment pas les Espagnols, avec lesquels nous défilions ce jour-là, que l’auteur traite de métèque, mais Manuel Valls.
–> Un métèque, du grec ancien μέτοικος, métoikos, « celui qui a changé de résidence », est dans la Grèce antique, un statut intermédiaire entre celui de citoyen et d’étranger, réservé à des ressortissants grecs d’autres cités.