Dans l’affaire de la révolte des Suédois contre l’occupation de leur terre et les provocations de l’extrême gauche, qui avait conduit à des affrontements samedi dernier à Stockholm, la justice a annoncé le placement en détention préventive de trois des militants nationalistes. Les 23 autres ont finalement été libérés après trois jours de détention ; tous seront poursuivis pour « émeute » (voir notre journal de hier).
Il a finalement été révélé que les deux blessés à coups de couteau, contrairement à ce que laissaient entendre les médiats aux ordres, étaient bien les militants nationalistes, qui ne se sont pas, eux, servis d’armes. Malgré cela, aucune racaille rouge n’a été arrêtée.
Hier, la police a mené un véritable raid contre la maison d’Emil Hagberg, chef du mouvement nationaliste. Alors que la police savait que la maison n’était habitée que par sa femme, enceinte, et ses deux jeunes enfants, ce sont plusieurs dizaines de membres des unités spéciales d’interventions (Nationella insatsstyrkan, force d’intervention nationale, habituellement dédiée aux actes terroristes, prise d’otages, etc.) et de diverses unités qui ont attaqué la maison, défonçant notamment la porte d’entrée malgré la coopération de Johanna Hagberg.
Les sbires du système ont sans raison volé le portable de cette dernière durant l’opération, l’attrapant durant l’attaque par les cheveux, la menaçant avec leurs armes, ainsi que leurs deux enfants et leurs enfants à naître.
Tous les terroristes républicains étaient armés, parfois lourdement, et masqués. Trois militants venus prêter assistance – et étant parvenus à entrer dans la maison censée être sous surveillance des policiers simplement par la porte de la cuisine – à la jeune mère de famille ont été violemment repoussés par les policiers et expulsés du domicile de leurs amis. Les deux jeunes enfants du couple, Wilhelm, cinq ans, et Hjalmar, trois ans, ont fait face aux assaillants pour défendre leur mère allant jusqu’à donner des coups de pieds contre les flics républicains.
La courageuse militante nationaliste a accordé après l’attaque un entretien au site nationaliste suédois NordFront.
-Ce genre de harcèlement va-t-il votre restreindre votre engagement ?
-Certainement pas, des incidents comme celui-là montre plus tôt que nos accusations contre ce système sont vraies. Je suis fortifié dans ma conviction que nous devons être encore plus radicaux pour changer ce système.
-Pour conclure, voulez-vous faire passer un message aux gens ?
-Oui, je tiens à remercier tous ceux qui d’une manière ou d’une autre m’ont apporté leur soutien. La famille se porte bien et nous espérons juste maintenant que Emil et les autres seront bientôt libres. Et un grand « bienvenue dehors ! » à tous les camarades qui étaient détenus et ont enfin été libérés. Le combat continue !