🎥VIDÉO
Six-Février
Comme chaque année, j’étais sur la tombe de Robert Brasillach et de Maurice Bardèche afin de célébrer leurs mémoires.⚜️🇫🇷✋🇫🇷⚜️https://t.co/RGt75IBF2D
— YVAN BENEDETTI (@Yvan_Benedetti) February 19, 2023
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Comme chaque année, j’étais sur la tombe de Robert Brasillach et de Maurice Bardèche afin de célébrer leurs mémoires.⚜️🇫🇷✋🇫🇷⚜️https://t.co/RGt75IBF2D
— YVAN BENEDETTI (@Yvan_Benedetti) February 19, 2023
Militant de longue mémoire de la cause nationaliste, Yvan Benedetti est le directeur de JEUNE NATION, chef du mouvement LES NATIONALISTES en France et président du mouvement NATION en Belgique. https://t.me/yvbenedetti
Comment ne pas saluer avec respect cette continuité du combat de « Jeune Nation » depuis les origines ?
Ce poème de Robert Brasillach qu’Yvan Benedetti choisit courageusement et en dépit des risques d’infliger à ses juges, « Le Jugement des Juges » fait partie du recueil « LA MORT EN FACE » rassemblant les derniers écrits de Brasillach juste avant son exécution.
Exécution par la même racaille gaulliste qui assassinait l’industriel Louis Renault sur son lit d’hôpital, qui massacrait, par les tortures les plus immondes, 105 000 français, hommes et femmes, lors de ce qu’ils ont appelé « l’épuration ».
Et massacrés par la même racaille qui, quinze ans lus tard, faisait torturer et assassiner, par ses barbouzes recrutées dans les prisons, les ultimes combattants de l’Algérie Française.
Et c’est à cette époque, en 1962, que Jacques Sidos, frère du fondateur de « Jeune Nation » à la fois intellectuel et combattant engagé, enfermé à Fresnes, dans cette même prison où Brasillach avait vécu ses derniers jours, initiait les combattants de l’OAS à la lecture de « LA MORT EN FACE »… où le continuateur de l’oeuvre de Pierre Sidos trouve encore aujourd’hui son inspiration !
Merci à Yvan Benedetti pour l’exemple d’un courage insolent qu’il donne à la génération d’aujourd’hui. Puissent les combattants identitaires et Nationalistes s’identifier à un tel chef.
La prison ? Et alors ? Nous l’avons tous connues à un moment ou l’autre de nos vies de militants.
Mais elle nous a incités à reprendre le combat, en fonction de cette sentence de Clausewitz : « CELUI QUI GAGNE EST CELUI QUI RESTE DEBOUT JUSQU’AU DERNIER QUART D’HEURE »
Ce qui nous a permis de tenir jusqu’aux derniers soubresauts du mondialisme que nous combattions alors et dont de Gaulle était le complice : le mondialisme soviétique.
Et ce qui vous permettra de tenir à votre tour jusqu’à l’agonie du mondialisme qui a pris la suite, celui qui s’acharne à détruire nos nations Européennes au bénéfice de l’oligarchie financière… dont nous connaissons tous l’identité.
Quoi qu’il arrive et quelle que soit la répression, NOUS RESTERONS DEBOUT LES DERNIERS !