Quelques jours après « Charlie », le 12 janvier, un délinquant étranger, Khaled Idris, était retrouvé mort devant son domicile à Dresde. Cet Érythréen était parti faire des courses et n’était jamais rentré dans le logement social qu’il occupait au détriment et à la charge des Allemands.
Immédiatement, l’extrême gauche avait non seulement accusé la police de ne pas faire son travail, mais encore affirmé que c’était « l’extrême droite » qui avait commis ce meurtre. Les antifascistes, grâce à leur nombreux relais dans les médiats, avaient obtenu une diffusion internationale de leurs propos délirants et mythomaniaques. Ils avaient en outre organisé des émeutes destructrice dans la ville, jurant de « venger Khaled ».
« La mort d’un réfugié [sic] Érythréen à Dresde montre les tensions raciales en Allemagne » [Killing of Eritrean refugee in Dresden exposes racial tensions in Germany] prétendait le Guardian, dénonçant les Européens racistes et meurtriers. En Suisse, Romandie évoquait complaisamment les actions de l’extrême gauche, liant aussi clairement que mensongèrement le meurtre aux manifestations contre l’islamisation dans la ville. Même propagande chez Euronews, mêlant la mort du délinquant islamiste avec de prétendues croix gammées qui aurait été peintes sur les murs du foyer pour étrangers et avec les manifestations des Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident (PEGIDA, Patriotische Europäer Gegen die Islamisierung des Abendlandes ou Pegida), depuis interdites.
Les sites islamistes en France n’était pas en reste. Info Palestine se répandait en affabulations, titrant – sur un autre cas possiblement tout aussi faux – : « Islamophobie : Mohammed al-Makouli poignardé à mort parce que musulman… » et affirmant : « l’attaque est survenue un jour après que le demandeur d’asile érythréen Khaled Idris Bahray, a été tué en Allemagne, dans un cas de crime de haine ».
« Allemagne : le meurtre atroce d’un jeune réfugié Erythréen quelques jours après les attentats de Paris » se lamentait, sans rien connaître de l’histoire le site Oumma, combinant lui mensonges anti-européens et propagande islamiste et lamentations à la mode juive. L’introduction de l’article de ce site islamiste mérite d’être publié :
« Son assassinat sauvage [!] est passé à la trappe médiatique, et pourtant la scène du crime se situe tout près de chez nous, à Dresde, en Allemagne. À croire que l’indignation à géométrie variable qui étreint la France de Charlie ne franchit le Rhin que pour des considérations technocratiques, et pas pour s’émouvoir devant la mare de sang dans laquelle a été retrouvé Khaled Idris Bahray, un jeune réfugié d’Erythrée, musulman et noir. Il avait tout juste 20 ans, ce jeune homme, à la fleur de l’âge, a été, selon toute vraisemblance, massacré par le racisme ultra-violent, derrière lequel se cacherait la main criminelle des nervis du Pegida (Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident), ce groupuscule néo-fasciste et viscéralement islamophobe qui fait régner la terreur dans l’est du pays depuis plusieurs mois […].
Son corps martyrisé a été localisé et identifié, alors que ses compagnons d’infortune, gagnés par l’anxiété [sic], restaient cloîtrés dans leurs logements par crainte des représailles des fous furieux du Pegida. »
Tous les mensonges de la grande presse comme des sites complotistes, islamiste et/ ou antieuropéens s’effondrent moins de dix jours plus tard. L’un des colocataires « gagné par l’anxiété » a avoué le meurtre. Il a été confondu par son ADN retrouvé sur l’arme du crime.
Âgé de 26, il est, comme sa victime, noir et islamiste. C’est un islamiste africain qui a commis ce « massacre » par « racisme ultraviolent », qui a été la « main criminelle des nervis de PEGIDA » et des « groupuscules néofascistes. À moins, comme il l’a révélé aux policiers, qu’il n’ait commis ce meurtre « sauvage » que pour une dette d’argent.
En neuf jours, la police a donc réussi à mener cette enquête à son terme, loin des délires de l’extrême gauche sur les « collusions » de la police et de PEGIDA.
Soyons assurés qu’Euronew, Romandie, les sites islamistes présenteront leurs excuses et diffuseront la nouvelle de ce nouveau crime commis par un Africain sur notre sol.
Et que la pseudo journaliste Kai Littman qui écrivait :
« Samedi, de milliers de citoyens de Dresde se sont réunis, portant des roses blanches et des pancartes disant “Ich bin Khaled”, faisant référence au célèbre “Ich bin Charlie”, exprimant leur indignation face à ce meurtre que personne à Dresde interprète autrement qu’un crime de haine raciale »
fera son mea culpa et qu’il reconnaîtra qu’en proclamant « Je suis Khaled », c’est contre l’invasion et contre la présence de son meurtrier étranger qu’il a manifesté samedi, dans un combat pas si éloigne de celui de PEGIDA.