Un rapport, qui doit être publié dans l’Economic journal, établit que l’immigration extra-européenne a coûté à la Grande-Bretagne, entre 1995 et 2011, 120 milliards de livres sterling (1 000 milliards de francs français). C’est la conclusion d’une enquête des experts de l’University College London (UCL), considérée comme l’une des meilleures universités du monde.
Le document met en exergue le coût des politiques pro-invasion des gouvernements travaillistes qui se sont succédé entre 1995 et 2011 à la tête du pays. Ceux-ci ont favorisé la venue d’une immigration parasitaire et improductive : le faible taux d’emploi chez ces colons s’ajoute à la forte consommation de services (éducation, santé) notamment due au fait qu’il s’agit typiquement de familles nombreuses.
« Les immigrants des pays non européens […] contribuent moins que ce qu’ils reçoivent »
conclut l’étude.
Au contraire, l’arrivée d’Européens aurait permis de gagner 4 milliards de livres sterling (33 milliards de francs), ces personnes venant pour travailler, occupant des postes créateurs de richesses et n’abusant pas des prestations sociales.
Entre 1995 et 2011, la population de personnes nées à l’étranger est passée de 3,5 millions à 7 millions en Grande-Bretagne, celle des étrangers non européens de 2,8 à 4,6 millions.
Il est à noter que cette étude s’inscrit dans une perspective libéraliste. Les auteurs ne se sont intéressés qu’aux coûts financiers immédiats et n’ont pas pris en compte le coût de l’immigration dans sa réalité : les dizaines de milliers d’enfants et de femmes britanniques violées par les gangs de Pakistanais, la chute du niveau scolaire, la hausse des trafics en tout genre, à commencer par les drogues et leurs terribles conséquences, les ravages sur l’identité, la morale, les coûts liés aux émeutes urbaines, les maladies importées dans le pays, et à terme le coût d’une guerre de libération du territoire. Même d’un point de vue strictement économique, les experts n’ont pas pris en compte l’effet d’éviction sur l’emploi qui repousse les Britanniques vers le chômage et fait baisser les salaires. Déjà plus de deux des treize millions d’emplois peu qualifiés en Angleterre sont confisqués par des étrangers, majoritairement par extra-européens.
Ce rapport sort simultanément avec une étude officielle du Bureau national des statistiques qui révèle que les colons n’ont aucune volonté de s’intégrer : ainsi 90 % des femmes venues du Bengladesh sont incapables de s’exprimer en anglais, comme près de 40 % des Chinois présents depuis plus de 30 ans dans le pays.
La France ayant ouvert ses frontières plus largement, depuis plus longtemps, avec système social bien plus coûteux que la Grande-Bretagne, de combien de centaines de milliards les Français ont-ils été volés ?