Linda Carlotti et sa mère de 98 ans ont été expulsées de leur logement à Nice. Les autorités, qui offrent l’hôtel, la CMU et d’innombrables aides à des centaines de milliers d’étrangers qui violent nos frontières, ont mobilisé de nombreux policiers, en tenue et en civil, une ambulance, des médecins pour s’attaquer à deux femmes blanches âgées dans le besoin. Elles n’ont plus pu payer leur loyer quand une personne à qui elles ont fait un prêt a cessé de les rembourser. Si contre lui les autorités n’ont rien fait – et ne feront –, la justice, la préfecture, la police ont tout fait pour mettre à la rue les deux locataires. Linda Carletti, une retraitée, a été jetée à la rue pour ; sa mère a été mise de force à l’hôpital.
Le préfet de leur République dans les Alpes-Maritimes, Adolphe Colrat, est incapable d’assurer l’ordre pour un simple match de football ; s’il n’hésite pas à traquer les automobilistes et à les racketter, il laisse tranquille les innombrables mafias étrangères, juive, russe, algérienne, tchétchène, bulgare, etc., qui mettent en coupe réglée la région. Mais il s’est montré intransigeant contre deux victimes françaises et c’est lui en personne qui a signé l’arrêté d’expulsion.
« Je ne sais pas quoi faire… Je vais aller voir ma mère, je ne peux pas la laisser seule à l’hôpital ![…] C’est un scandale, c’est ignoble ! Il y a eu des policiers en tenue, en civil et en nombre alors que nous ne sommes que deux femmes ».
a dénoncé Linda Carletti, abandonnée dans la rue avec quelques sacs. Son avocate a dénoncé les pressions des policiers, et l’attitude scandaleuse des autorités alors que la commission de désendettement a accepté leur dossier.
Très fortes pour loger des étrangers, les autorités d’occupation n’ont trouvé aucune solution d’hébergement à ces deux femmes alors que cela fait plus de six mois qu’elles sont au courant. Pour les logements sociaux comme pour le reste, la préférence antinationale est déjà en place.