Jean-Marie Le Pen et Florian Philippot en rêvaient : elle l’a fait. L’arriviste communautariste maghrébine Fatima Allaoui, moins d’une semaine après avoir déclaré que son rapprochement avec l’extrême droite était une erreur et une « crise d’adolescence » (sic), moins d’un an après avoir violemment manifesté contre le parti de Marine Le Pen, a répondu aux appels du néo-FN et annoncé son ralliement au parti d’extrême droite.
C’est le quatrième ralliement ou rapprochement assimilé en une semaine pour le FN, avec des recrues de choix : un activiste homosexualiste fondateur de GayLib qui éructait sa haine du FN peu avant, un top modèle habitué des couvertures de revues communautaristes homosexuelles, l’adhésion virtuelle et forcée par Closer d’un journaliste du système et activiste LGBT, et, last but not least, une Marocaine schizophrène.
C’est l’israélite Louis Aliot qui a annoncé fièrement la nouvelle :
« Je félicite madame Allaoui pour son arrivée au groupe FN Languedoc-Roussillon sur des positions patriotes et républicaines. Bienvenue ! »
En une semaine Fatima Allaoui aura donc été secrétaire nationale l’Union pour un mouvement populaire (UMP), vedette du groupuscule Souveraineté, indépendance et libertés (SIL dit SIEL) qu’elle a avoué n’avoir rejoint que parce qu’il était dirigé par un Maghrébin comme elle, et désormais héroïne du Front national.
L’annonce promet de belles querelles à Béziers où Fatima Allaoui a tenté par tous les moyens d’entrer dans l’équipe municipale, et où elle s’est heurtée aux refus catégoriques et humiliants de Robert Ménard, malgré les pressions de Karim Ouchikh, pièce importante du dispositif FN dans la région. Peut-être pourront-ils se réconcilier à l’ombre de la ménorah républicaine qui désormais domine le hall de la mairie ?
L’étrangère a officialisé son ultime reniement (de la semaine) en rejoignant le groupe FN lors d’une séance du conseil régional du Languedoc-Roussillon où elle est élue.
« J’ai quitté le groupe UMP pour un groupe qui se rapproche un peu plus de mes aspirations politiques qui sont patriotes et républicaines. Je me suis rendue compte que le racisme n’était pas là où je le croyais »
a-t-elle déclaré, laissant entendre que son éviction pour incompétence de l’UMP était une marque de prétendu « racisme ».
Je me permet d’émettre trois hypot0hèse pour le placement de l’hanoucca dans la mairie de Béziers par Robert Ménard :
– soit c’est parce qu’il croit que la france est à la fois juive et chrétienne
– soit il lèche les pieds du lobby juif pour garder sa crèche dans la mairie
– oit il le fait par pur soumission au lobby .
J’imagine fort bien le lobby profitant de la polémique sur la crèche pour introduire fièrement son symbole de domination dans la mairie.