Pour la troisième fois en trois, un étranger a perpétré une attaque ce soir en France. C’est le marché de Noël de la métropole bretonne qui a été visé. Au moins dix personnes ont été blessées, dont deux grièvement, selon les premières constatations. Comme la veille à Dijon (Bourgogne) et l’avant-veille à Joué-lès-Tours (Touraine), les pouvoirs criminels de leur République ont nié les faits.
« Il n’y a pas de revendication religieuse en l’état »
a déclaré une source proche du pouvoir à l’AFP. Le terroriste a utilisé une camionnette et a foncé sur des piétons qui se trouvaient sur la place Royale de Nantes. Il se serait ensuite donné neuf coups de couteau.
Bernard Cazeneuve, qui d’incompétent se mue en auxiliaire objectif des tueurs de Français, a prétendu que les précédentes attaques à Joué-lès-Tours et Dijon n’étaient pas des « attaques terroristes ». Pour le gouvernement de Manuel Valls, c’est un hasard si les auteurs des faits divers sont des étrangers, que certaines étaient connus des services de sécurité, s’ils ont crié pour deux d’entre eux « Allah Akbar » en perpétrant leurs crimes, et si ces attaques surviennent après la diffusion de vidéos d’égorgeurs francophones de l’État islamique (ÉI) en Syrie appelant à tuer des Français.
L’attitude du négationniste Bernard Cazeneuve est partagée sans surprise par les magistrats rouges de Christiane Taubira.
« Il ne s’agit pas d’un acte terroriste »
a prétendu aujourd’hui le procureur de la République Marie-Christine Tarare.
Actes islamistes perpétrés par des malades psychiatriques ou des fanatiques, ces crimes portent la marque de leur République qui a permis l’installation sur le sol national de millions d’étrangers.