Le 6 janvier 2014, le tueur d’extrême gauche Christodoulos Xiros s’évadait de la prison d’Athènes, grâce à la complicité active de la junte. Le criminel avait été en effet l’objet déjà de six condamnations à perpétuité pour sa participation à plusieurs dizaines d’attentats, qui ont fait au moins 23 morts dans 103 attaques, avec une peine incompressible de 25 ans. Signe de la duplicité de la junte et de son immense mépris pour les victimes, il avait bénéficié d’une incroyable permission de sortie pour les fêtes de fin de l’année 2013.
Il n’avait évidemment pas rejoint sa cellule ; tout le monde, à commencer par les autorités, savait qu’il en profiterait pour s’évader, d’autant plus qu’il avait eu le temps de préparer sa clandestinité. Son avocat a évoqué son « évasion » (sic) comme un « devoir ». Il se trouvait depuis un an en cavale, malgré une prime pour sa capture d’un million d’euros. Il a mis ces mois de liberté à profit pour planifier de nouveaux crimes. Au moment de son arrestation, il préparait une attaque de grande envergure et imminente contre la prison de Korydallos à Athènes.
Le tueur espérait libérer d’autres criminels rouges et poursuivre son œuvre de terreur. Il avait diffusé durant sa fuite une vidéo dans laquelle il annonçait de nouvelles actions.
Lors de son arrestation, un arsenal d’armes de guerre a été retrouvé comportant notamment huit kalachnikovs, un lance-grenade, trois fusils ainsi que des sacs d’explosifs. Des documents ont également été retrouvés concernant l’attaque de la prison, les moyens de cacher les armes dans une camionnette, etc.
Ces dernières décennies, les terroristes ont procédé à plusieurs centaines d’attentats en Grèce, avec souvent la complicité active des autorités. Outre les dégâts matériels, ces attaques ont fait plusieurs centaines de victimes, dont un grand nombre de civils et plusieurs nationalistes, ne provoquant pourtant que des dissolutions formelles des groupes terroristes jamais réellement démantelés. Et comme le démontrent les projets de Christodoulos Xiros, membre du groupe « démantelé » du 17-Novembre (17N, Epanastatiki Organosi dekaefta Noemvri), ces gangs poursuivent inlassablement leurs projets, qu’ils se proclament marxistes comme le 17-N ou anarchistes comme Lutte révolutionnaire (EA, Epanastatikós Agónas), qui a commencé à commettre des attentats après le « démantèlement » de 17-N.
Malgré l’extrême gravité des faits et les évidents soutiens reçus par Christodoulos Xiros tant au niveau policier, judiciaire et politique que parmi les organisations d’extrême gauche qui ont permis non seulement sa survie en clandestinité, mais encore la préparation de nouvelles attaques, aucune autre arrestation ne s’est produite, aucune dissolution de partis d’extrême gauche n’a été annoncée, tandis que croupissent en prison huit députés nationalistes, coupables de vouloir libérer le peuple grec des usuriers internationaux, de la mafia politique libérale mais aussi de l’invasion et des terroristes rouges.
Les bolchos en prison en mémoire aux chinois, aux ukrainiens, aux allemands et autres victimes de cette merde communiste. Staline : 30 000 000 de morts.
Mao : 38 000 000 de morts
Pol pot : 3.3 millions de morts.
Sans ajouter les autres victimes alors que ces enfoirés et ces criminels soient arretes. Le fascisme sous toutes ces formes a tué beaucoup moins et pour des raisons plus « valable » si on peut dire .