Comme très régulièrement en France, deux cimetières catholiques ont été profanés à Tracy-sur-Mer (Normandie) et à Saint-Béat (Aquitaine).
À Tracy-sur-Mer, plusieurs dizaines de tombes ont été profanées, des crucifix ont été déplacés, certains ont été retournés, plantés dans le sol. Pourtant aucune force de police n’a été mobilisée pour retrouver les coupables, quand, pour un cimetière juif abandonné, des dizaines de gendarmes ont été mobilisés ainsi que des moyens exceptionnels, y compris des lasers pour « modeliser le cimetière » (sic).
Là où les faits sont extrapolés, amplifiés, surestimés, ils sont niés ailleurs, jusqu’au maire de Tracy-sur-Mer qui ose déclarer :
« Des personnes ont saccagé et vandalisé quelque peu les tombes. Ils ont renversé les crucifix et leurs ont mis la tête à l’envers. […] J’ai l’impression que ce sont des jeunes qui se sont un peu amusés [sic] »
des propos qui l’auraient conduit en prison si les victimes n’étaient pas des Français mais des Juifs.
Même scénario à Saint-Béat en Aquitaine où une trentaine de tombes ont été profanées, avec des stèles brisées ou des pots détruits. Le caractère clairement antifrançais de l’acte a été nié jusqu’au préfet de leur République juive, qui prétend « qu’aucun ciblage particulier » n’a été constaté, alors même que le procureur Cécile Deprade évoque clairement les tombes d’un « petit cimetière chrétien ».
Ce même négationnisme est en action au sommet de leur République : l’ancienne ministre socialiste Michèle Delaunay a osé proclamer elle : « il n’y a pas de cimetières catholiques » en France, ajoutant ensuite : « ce sont des cimetières républicains et non dédiés à une confession ». Il faut en déduire que les cimetières juifs n’existent pas… ou qu’ils sont anti-républicains.
Aucune manifestation « spontanée » n’a été organisée par le système, aucune véritable condamnation n’a été prononcée par le gouvernement qui n’a évoqué ces deux cimetières non-juifs que parce qu’ils ont mobilisé tous les moyens pour un cimetière juif quand les dizaines de cimetières catholiques sont profanés chaque année dans le silence le plus absolu. Les moyens d’investigations déployés sont dérisoires ou inexistants quand plusieurs dizaines de policiers, de journalistes, de responsables administratifs s’occupent d’un cimetière juif pourtant abandonné.
À Sarre-Union, les cinq adolescents mis en cause ont subi deux jours de garde à vue, du jamais vu pour ce genre de faits, a fortiori concernant des personnes sans le moindre casier judiciaire. Quatre d’entre eux ont été placés dans des centres éducatifs, dont l’un en centre éducatif fermé, véritable lieu d’apprentissage de la criminalité auprès des délinquants étrangers ; l’occupant a déjà annoncé qu’ils seraient condamnés à de la prison ferme, des ordres que leur justice ne manquera pas de suivre à la lettre.
Avec une volonté évidente d’humilier et de déshumaniser, les médiats ont relayé les propos du procureur qui a évoqué les pleurs des mis en cause, laissant clairement entendre que le but n’avait jamais été de faire la lumière sur les faits, mais de briser des individus.
Malgré l’évidence, ce même procureur de Saverne évoque de prétendus faits « antisémites » quand tout montre que les jeunes Alsaciens ont agi par bêtise. Mais en se faisant l’interprète de la haine talmudique, Philippe Vannier espère sans doute obtenir une rapide accélération pour sa carrière.
Le mensonge de cet agent de la République est clairement établi par un message Facebook publié par les Dernières nouvelles d’Alsace entre les cinq adolescents, évoquant la volonté « aller explorer quelques endroits abandonnés » tels que « maisons, manoirs, châteaux [ou] gares » sans évoquer ni particulièrement des lieux judaïques, ni moins encore la volonté de « profaner » un cimetière de toute façon abandonné.