Alors que le gouvernement d’occupation en France prétend que se laisser envahir est le seul choix possible, de nombreux gouvernements à travers le monde, en Europe comme en Asie et en Océanie, ont décidé d’arrêter de laisser se développer sur leur propre sol le terrible et mortel danger que constitue la présence de millions d’étrangers inassimilables, vindicatifs, et parmi lesquels se cachent les Saïd Kouachi, les Laurent Fabius, les Amedy Coulibay ou les Jacques Attali de demain.
Le gouvernement britannique refuse les quotas et veut renvoyer les migrants
« L’UE devrait travailler à établir des sites d’accueil sécurisés en Afrique du Nord, avec un programme actif de retours »,
a proposé la ministre de l’Intérieur britannique.
« Je suis en désaccord avec la suggestion de la haute représentante de l’UE Federica Mogherini selon laquelle “aucun migrant” intercepté en mer ne devrait être “renvoyé contre son gré”. Une telle approche ne peut que favoriser la traversée de la Méditerranée et encourager plus de personnes à mettre leur vie en péril »,
a ajouté Theresa May, visant les propos criminels de Federica Mogherini voulant imposer à l’Europe tous les “malheureux” de la terre voulant attaquer l’Europe avec la garantie qu’ils ne seront jamais renvoyés.
La presse comme les autorités européistes, Federica Mogherini comme son comparse Frans Timmermans, vice-président de la Commission européenne, ont attaqué les propositions de bon sens de la ministre britannique, allant jusqu’à l’insulte pour ce dernier.
Elles sont pourtant beaucoup moins radicales que celles mises en place par plusieurs pays.
Thaïlande, Indonésie, Malaisie : des réponses claires
L’Indonésie ne lutte pas vigoureusement seulement contre les trafiquants de drogues. Les autorités ont décidé de ne pas se laisser déstabiliser non plus par l’invasion. Hier, la marine indonésienne a fait remorquer hors de ses eaux internationales un bateau rempli d’étrangers qui voulaient pénétrer dans le pays illégalement. Plusieurs centaines de Birmans et de Bangladais sont concernés.
« Il a été remorqué hors du territoire indonésien. On ne les force pas à aller en Malaisie ou en Australie. Ce n’est pas notre problème. Notre problème, c’est qu’ils ne viennent pas en Indonésie car ce n’est pas leur destination »
a précisé une source officielle, ajoutant que l’Indonésie avait offert du carburant aux assaillants pour leur permettre de repartir, ainsi que de l’eau et de la nourriture.
Ces arrivées sont une nouveauté pour l’Indonésie. Elles ont pour cause la fermeture par la Thaïlande de ses frontières à l’immigration, que les réseaux de passeurs avaient l’habitude d’utiliser. La décision des autorités thaïlandaises est intervenue après la découverte de plusieurs charniers contenant les corps de migrants assassinés.
Ce ne sont pas des cas isolés : les autorités malaisiennes ont annoncé qu’elles continueraient à agir comme l’avaient toujours fait :
« La politique a toujours été de les escorter en dehors des eaux malaisiennes après leur avoir donné les provisions nécessaires »,
a précisé l’amiral Tan Kok Kwee.
L’Australie reprend ses frontières souveraines
C’est également le cas en Australie. Depuis plusieurs mois, le gouvernement a mis en place la mission « frontières souveraines ». Après plusieurs drames durant lesquels des dizaines d’étrangers étaient morts, l’Australie refuse désormais systématiquement tous les navires remplis de migrants qui attaquent l’île-continent. Les autorités ont mis en place des campagnes d’informations, dont une précise :
« Aucune chance, vous ne vous installerez pas en Australie »
[« No way, you will not make Australia home »]La mission est une réussite : les arrivées ont cessé, et aucun mort n’a été constaté ces derniers mois.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=BypuBsE_Eq8[/youtube]Ce sont donc bien des mensonges éhontés que prononcent les autorités européistes quand elles prétendent qu’aucune autre solution n’est possible. Des mensonges, toujours, quand ils prétendent que l’ONU nous empêcherait d’agir ainsi : l’Australie est signataires des mêmes traités, des mêmes chartes, des mêmes conventions que la Grande-Bretagne et les autres pays de l’UE. Refuser la déstabilisation de son propre pays n’est pas encore interdit, même par les autorités mondialistes.