Cette ville proche de la capitale est en train, pour de mauvais motifs, de devenir en quelque sorte la Marseille du Nord, la cité phocéenne détenant chaque année le record des éliminations entre trafiquants de tout poil.
Jour de nettoyage entre malfrats
En effet, en l’espace de douze heures, deux fusillades ont eu lieu en plein jour, dans la même commune du Val-de-Marne. Ce département est limitrophe du Paris du « superflic » gazeur de familles françaises et à l’avant-garde d’un club de football étranger, Manuel Valls. Il est également voisin des Hauts-de-Seine du colon Nicolas ‘anti double peine’ Sárközy.
À chaque fois, deux individus ont cherché, avec un succès inégal, à en intercepter un troisième, afin de le sulfater pour l’éliminer.
Dans le premier cas, il s’est agi d’un (ancien ?) trafiquant de drogues, que les juges de Taubira avaient relâché, et qui circulait donc tranquillement en automobile avec sa femme et ses enfants. Tranquillement, jusqu’à ce qu’il doive se sauver à pied avec ses proches pour trouver refuge… au commissariat !
Les policiers, réduits à protéger un trafiquant contre de ses probables (anciennes ?) relations d’affaires, ont ensuite pris en chasse un véhicule pouvant être celui des deux tueurs inefficaces. Mais la cité la plus proche a permis aux hors-la-loi de trouver un refuge protecteur pour eux, laissant les policiers se montrer en nombre, mais impuissants à retrouver les Fangio en herbe, très probablement issus de leur « diversité », vu leur facilité à disparaître dans un quartier envahi de complices.
Dans le second cas, l’individu a reçu plusieurs balles et il n’est pas garanti qu’il puisse échapper dans les heures qui viennent à une forme de justice immanente.
Un couvre-feu généralisé qui ne dit pas son nom… imposé aux Français
À défaut d’action intéressante, c’est la – en l’occurrence très bien nommée – « cavale haÿsienne », mi-marche, mi-course, organisée par la municipalité, qui a été annulée. Cette décision n’est pas intervenue à cause d’une menace terroriste que leur « Plan Vigipirate » devrait contenir alors qu’il n’empêche même pas les simples « règlements de compte ».
Tout simplement, la population qu’on voulait distraire est sommée d’abandonner la rue, qui est donc offerte, par le gouvernement d’occupation cosmopolite, aux malfrats qui devraient pourtant être mis hors d’état de nuire, soit par enfermement définitif voire élimination pure et simple, soit expulsés illico vers leur pays avec leur famille lorsqu’ils ne sont pas d’origine française.