Après plusieurs années de campagne de haine, de lobbying, et de diffusion d’une propagande aussi haineuse que calomnieuse, les autorités roumaines, comme aux heures les plus sombres du pays, ont cédé devant Israël et adopté une loi liberticide condamnant le révisionnisme et le « racisme ».
Voté en juin par les députés, le texte a été contresigné en juillet par le président roumain, le libéraliste Klaus Iohannis, luthérien de la minorité allemande en Roumanie. Il est titulaire de la médaille d’honneur (rigoureusement sic) des « Amis des communautés juives de Roumanie ».
La loi était exigée depuis plusieurs mois par le Congrès juif mondial (WJC, World Jewish Congress), qui a déjà obtenu l’interdiction ou de violentes persécutions contre plusieurs mouvements nationalistes à travers l’Europe. Dès l’annonce de la signature du président, son président Ronauld Lauder a félicité Klaus Iohannis, affirmant la mainmise d’Israël sur l’Europe en précisant que « ce n’est qu’en combattant la négation de l’Holocauste [sic] et le fascisme avec la plus grande vigueur qu’une nation peut contrer la tragique augmentation de l’antisémitisme à travers l’Europe ».
En Roumanie, l’élément juif a été l’un des principaux diffuseurs du communisme dès les années 1910, et plus tragiquement encore à la fin de la Seconde Guerre mondiale, aidant à l’instauration de l’un des pires régimes criminels de cette époque. Aucun des Juifs qui ont massacré et torturé des milliers de Roumains n’a été inquiété par la justice depuis la chute officielle du communisme.
La Roumanie rejoint la longue liste des pays où la loi de l’ennemi juif règne, à commencer par la France et l’Allemagne, mais aussi l’Autriche, la Belgique, l’Espagne, la Hongrie, le Liechtenstein, la Lituanie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la Tchéquie, la Slovaquie et la Suisse.
Outre la « négation » de la prétendue “Shoah”, la loi prétend interdire les organisations et symboles « fascistes, racistes ou xénophobes » ou faisant la promotion de personnes « reconnues coupables [sic] de crime contre l’humanité ».
Les Roumains non reniés qui continueront malgré ces lois liberticides leur juste combat risquent désormais trois ans de prison, alors que le pays est aux prises avec une vague sans précédent d’invasion, et que la propagande du régime en faveur de la pédérastie, de l’immigration, du consumérisme, du métissage, est plus forte que jamais.
Les roumains ont raison,ils ont enfin compris,on ne plaisante pas avec la SHOAH(les deux dernières lettres,AH, ne peuvent signifier quelque chose qu’à un cerveau malade,non CHARLIE…anti-démocrate…bref à un Esprit VIVANT!,ENFLAMME de VIE…de JOIE et de FORCE.)
Je propose que la loi Fabius-Gayssot soit transformée,elle doit mener tout simplement à la peine capitale,le coupable,sa famille et ses proches…non mais!