Très tard dans la nuit du 4 au 5 juillet dernier, vers minuit, un individu arrive à Luzillat (Auvergne) où se déroulait une soirée moules-frites organisée en faveur de la recherche contre le cancer. Les plats avaient été servis depuis longtemps, la soirée affichait complet, mais l’individu, arrivé malgré l’heure très tardive avec ses enfants qui n’ont pas mangé, exige d’être servi. Pour aider la famille, les bénévoles organisateurs de la soirée se débrouillent pour servir trois barquettes de frites aux enfants.
Mais ce geste est jugé insuffisant pour le père de famille – dont l’identité raciale et le nom ont été cachés par les médiats –, visiblement habitué à obtenir ce qu’il veut des occupés : il s’énerve, insulte et commence à bousculer les bénévoles. Très alcoolisée, la racaille est intenable et la situation est sur le point de basculer.
« Je vais tailler quelques têtes ! »,
lance le criminel.
Plusieurs personnes tentent de calmer les esprits, dont Rodolphe, 36 ans qui s’apprêtait à déguster son dessert.
« Je disais au type “calme-toi, ça sert à rien de s’énerver”. Je voulais pas que ça dérape. Je me rappelle que j’étais debout, devant lui. Après, c’est le trou noir… »
a-t-il témoigné. À son réveil, il saigne abondamment, en plusieurs endroits. Le criminel a envoyé sa femme chercher une machette. Il a frappé à plusieurs reprises Rodolphe, au bras, au ventre, à la tête et surtout au cou. Les photos de la victime après les faits sont éloquentes. Il a eu les tendons de deux doigts sectionnés, une importante plaie au bras droit nécessitant la pose de dix-sept agrafes, une plaie à l’oreille et surtout une trentaine de points de suture sur toute la largeur de la nuque.
« Il y avait du sang partout. Mon tee-shirt était complètement rouge, imbibé »,
se souvient-il, précisant :
« Les médecins m’ont dit qu’à deux centimètres près, j’étais mort. C’est un truc de fou. J’arrive pas à comprendre. J’ai presque été tué pour trois frites… »
Les deux criminels s’enfuient alors, conscients que la police a été prévenue. Identifiés, ils seront finalement arrêtés quelques jours plus tard.
Pour cette tentative de meurtre et pour avoir blessé deux autres personnes, le criminel, qui était évidemment « bien connu des services de police », n’a écopé que de quatre ans de prison, dont un an avec sursis.
« Cette violence, ça sort de moi de comme ça. Mais jamais j’aurais pensé faire autant de mal. Je sais que j’ai failli tuer un homme. Lui ne méritait pas ça. Il essayait juste de me calmer »,
a déclaré le criminel récidiviste, condamné il y a quelques mois pour violences avec arme. Mais grâce aux juges criminels antifrançais de Christiane Taubira, il était déjà dehors, en mesure de tuer un Français mobilisé contre le cancer…
Sa complice, au moins autant coupable que lui, ne fera, elle, pas un seul jour de prison. Les juges rouges lui offrent 240 heures de travaux d’intérêt général. Les deux criminels étaient défendus par Mohammed Khanifar, également avocat du tueur Berkane Maklouf.
L’africanisation des mœurs avance à bon train…
Elle est pas belle la France ? Et cette « justice », pas mal non plus, hein ?
A ce rythme, notre pays sera bientôt tout à fait devenu islamique, et les halogènes feront régner leur loi de merde, de leur prophète pédophile, la charia !
Vivement la guerre civile, que l’on répare rapidement toutes ces injustices… Moi, à la place des collabos, je serrerais les miches, car on commencera par eux, c’est écrit !
La […] « ministre de la justice », […] de son état, sera tondue la première, avant lapidation !!!