Deux prétendus « journalistes indépendants » ont été arrêtés dans la nuit de mercredi à jeudi à Calais alors qu’ils aidaient des envahisseurs à pénétrer illégalement un site de la SNCF. Le secteur de Calais-Fréthun est le lieu d’importantes tensions, et les attaques des envahisseurs ont conduit ces dernières semaines à de graves désordres.
Pourtant, les journalistes ont été quasiment immédiatement relâchés : arrêtés durant la nuit, ils étaient libres dans la matinée suivante. Aucune indication n’a été fournie sur l’identité de ces « journalistes ». Les colons africains qu’ils aidaient ne semblent, eux, pas même avoir été interpellés.
La préfecture – la voix du gouvernement – a précisé qu’ils avaient clairement, sans discussion possible, commis un délit :
« Vers 02H00, deux journalistes indépendants accompagnant des migrants sont entrés sur le site sécurisé de Réseau ferré de France. […] Le fait d’entrer illégalement sur un site constitue une infraction »,
a indiqué le cabinet du préfet du Pas-de-Calais – notons que la préfecture de la Somme, près de là, a laissé durant 24 heures un gang de Gitans bloquer l’une des plus importantes autoroutes d’Europe, y commettant des incendies volontaires et de très coûteux dégâts sans réagir non plus.
Une plainte a été déposée, mais devrait, comme la grande majorité en France, être ignorée par la justice qui préfère enquêter sur les propos « racistes » sur Facebook ou traquer les nationalistes qui osent s’élever contre la destruction de leur pays. Et les agents de Christiane Taubira ne s’en cachent même :
« “Ils ont commis un délit, mais vu qu’il est commis par plusieurs personnes” depuis plusieurs mois, il y a peu de chance que des poursuites soient entamées, a avancé le procureur de Boulogne-sur-Mer, Jean-Pierre Valensi »,
précise la presse.
Autrement dit : il y a la loi pour les Français, appliquée par le gouvernement dans toute sa rigueur – et parfois même au-delà –, et il y a la loi pour les étrangers, les oligarques, et leurs valets, assurés, que, plus ils la violeront, moins elle sera appliquée.