Depuis fin juillet, plusieurs centaines d’envahisseurs occupent le lycée Jean-Quarré dans le XIXe arrondissement de Paris. Leurs soutiens d’extrême gauche, agissant pour le grand capital, y ont organisé un « centre autogéré ». Comme toutes leurs utopies asociales, en Russie, au Cambodge, au Libéria, à Cuba et ailleurs, le rêve idéologique s’est transformé en infernale réalité.
« Problèmes d’hygiène, de violence, pratiques mafieuses… Au lycée Jean-Quarré, où une partie des réfugiés expulsés de La Chapelle ont trouvé un toit, l’autogestion a atteint ses limites. Dans ce bâtiment de quatre étages ouverts sur une cour, la situation est inquiétante, entre des conditions sanitaires déplorables, les rixes récurrentes et l’irruption de réseaux mafieux. […] L’hygiène est une des premières préoccupations. Seules trois toilettes sont en état de marche, les autres sont bouchées [par qui ? – non débouchées ? Par qui ?]. Les odeurs d’urine et d’humidité s’ajoutent aux déchets qui s’amoncellent [aucun ‘réfugié’ n’est capable de simplement descendre les poubelles ?] »,
précise le journal Libération – celui qui annonçait la chute de Pnom Pehn comme une “libération” (environ un quart de la population fut exterminée par les “libérateurs”), pourtant habitué à transformer les pires réalités multiracistes de France envahie en rêves multiculturels de société libre.
« Au lycée, c’est trop dur. Il y a des bagarres la nuit, des vols »,
précise un migrant qui a préféré retourner vivre dans la rue.
« Bien sûr [sic] qu’il y a de la violence. Vous avez des centaines de gars, pas de règlement intérieur [sic], certains ont passé du temps en centre de rétention, d’autres sont alcooliques, ils n’ont bouffé qu’une fois dans la journée… Ce n’est pas possible qu’il n’y ait pas de violence »,
tente d’expliquer une extrémiste, doutant soudainement de la bonté naturelle de l’homme.
« Il y a trop de monde ici. On vient de différentes cultures, on ne se comprend pas toujours. Il y a des disputes à propos de la cuisine, certains prennent des couteaux. Un Afghan s’est retrouvé à l’hôpital à cause d’une arcade ouverte. Ça manque de sécurité »,
précise un colon, semblant résumer la situation en France occupée… à cause des gens comme lui et des ‘réfugiés’ de la 2e, 3e, 5e génération…
« Le collectif “La Chapelle en lutte”, qui avait organisé l’occupation des lieux, ne maîtrise plus grand-chose. Ce mouvement hétéroclite, mêlant notamment riverains et militants d’extrême gauche, semble [sic] dépassé par la situation. Les prises de bec entre activistes sont quotidiennes. Au cœur des débats, les relations avec les pouvoirs publics : certains sont favorables à la discussion avec la mairie de Paris, d’autres, méfiants par principe envers les acteurs institutionnels, considèrent cela comme une trahison. “Le collectif a implosé, constate Géraldine. On n’organise plus d’assemblées générales depuis trois semaines, chacun fait son truc dans son coin”. Lucie, une autre bénévole, est plus énervée : “L’idée d’une occupation dans un tel état de désorganisation, c’était catastrophique”. Elle regrette aussi une forme “d’instrumentalisation politique” par certains membres du collectif. Par exemple, “les réfugiés ne souhaitaient pas aller manifester régulièrement”, comme les y incite le collectif, “mais dans les AG, ils ne sont pas forcément écoutés”. Khalid, le Soudanais de 22 ans, confirme : “Certains bénévoles sont bien, mais d’autres nous utilisent pour faire des réclamations au gouvernement. Ils ne font pas ça pour nous, pour nous aider à avoir des papiers” »,
précise le journal.
« Quand on embringue des gens dans une telle aventure, il faut savoir prendre ses responsabilités. Les conditions ne sont pas les mêmes pour tous, raconte Lucie. Certaines salles sont surblindées, avec près de 40 personnes la nuit, tandis que d’autres sont plus tranquilles, avec télés et canapés. C’est la loi du plus fort »,
regrette une activiste, évoquant les maffias qui font payer 10 euros la nuit à leurs congénères. Les gangs ont également organisé un réseau de prostitution sur place.
« Le collectif n’a plus l’air de gérer le lieu et semble même dépassé par l’arrivée sur place de réseaux mafieux, de passeurs et proxénètes. Ces gens tentent de faire de l’argent sur la misère humaine »,
a confirmé la mairie de Paris.
Les extrémistes pro-invasion ne restent pas sans réagir. Ils ont décidé « d’impliquer davantage les réfugiés », notamment dans… « la gestion de la page Facebook du collectif » (!).
Toutes choses qui n’empêchent ni l’extrême gauche de s’agiter, à la grande joie de la haute finance, pour favoriser la venue de toutes les miséreux de la terre, ni les représentants de leur République de faire croire qu’ils vont être capables d’accueillir 30 000 ‘migrants’, alors qu’ils sont incapables de gérer les 10 millions d’occupants qu’ils ont fait venir, et pas même 500 dans un lycée.