Après avoir annoncé à la lie de l’humanité qu’elle pouvait envahir sans crainte et sans limite l’Allemagne, les autorités feignent tardivement de s’alarmer des conséquences dramatiques de cette irresponsabilité.
« L’Afghanistan […] est en 2e position des pays d’origine, c’est inacceptable. Nous sommes d’accord avec le gouvernement afghan sur le fait que nous ne voulons pas de ça. […]
Des soldats et policiers allemands font leur part pour rendre l’Afghanistan sûr, beaucoup d’argent destiné à l’aide au développement a coulé vers l’Afghanistan. On peut donc s’attendre à ce que les Afghans restent dans leur pays. […] C’est pourquoi je le dis de manière claire aujourd’hui : les gens qui viennent en tant que réfugiés d’Afghanistan ne peuvent pas s’attendre à tous pouvoir rester en Allemagne »,
a ainsi déclaré le ministre de l’Intérieur allemand Thomas De Maizières, appelant les jeunes envahisseurs à « rester dans leur pays et à le reconstruire » où plusieurs centaines de soldats allemands risquent leur vie pour assurer la sécurité… des Afghans qui quittent leur pays pour envahir une Allemagne que ses soldats ne protègent pas.
Les Afghans sont environ 9 % des envahisseurs exigeant un prétendu « droit d’asile » en Allemagne ; il s’agit du troisième contingent derrière… l’Albanie, un autre pays qui n’est ni en guerre, ni fournisseur d’un main d’œuvre qualifiée.
Thomas De Maizières n’a pas précisé pourquoi ce qui était vrai pour les Afghans ne l’était pas pour les Albanais, les Kossovars, les millions de Turcs, les Sénégalais, les Pakistanais, les Indiens, les Marocains et les dizaines d’autres nationalités qui quittent des pays à construire pour venir piller l’Europe.