l’image des studios de télévision où les colons israéliens tiennent de nombreux postes pour contrôler l’information et diffuser leur propagande, les occupants gangrènent de nombreux secteurs d’activité, notamment dans des domaines sensibles concernant la sécurité nationale et les secteurs vitaux.
Ces derniers jours, les reportages ont évoqué le secteur du transport : des individus connus comme islamistes dangereux ont accès aux pistes et aux zones sensibles des aéroports français ; à la RATP et à la SNCF, des individus fichés ‘S’ pour le lien avec les groupes terroristes ont conservé leurs postes. Il ne s’agit là que des éléments connus, certains – les faits survenus ces derniers jours et des derniers mois l’ont rappelé – y compris parmi les plus dangereux, n’étant pas connus des services de renseignements, d’autres n’étant pas encore allés au bout du processus.
D’autres domaines encore plus sensibles n’ont pas été abordés par les médiats. C’est le cas des forces de sécurité, et des forces armées. Combien le porte-avions Richelieu (dit Charles De Gaulle) abrite-t-il de musulmans ? D’islamistes ? De terroristes potentiels ?
Des articles ont évoqué cette fin de semaine la présence d’islamistes jusqu’au cœur des centrales nucléaires. La situation est telle que déjà plusieurs dizaines d’individus qui pouvaient pénétrer dans les centrales d’Électricité de France (ÉDF) ont vu leurs accréditations retirées. Cela concerne en moyenne un individu par semaine.
Combien d’autres ont réussi à passer à travers les « mailles du filet » ? Que font ensuite ces islamistes dangereux ayant acquis des connaissances sur le fonctionnement de la sécurité des centrales, la position des zones les plus sensibles à l’intérieur des bâtiments et pouvant disposer de documents et d’objets volés sur place ?
Cas exemplaire survenu il y a quelques jours, avant les attaques de Paris, à Flammanville : l’ingénieur chimiste Clément Reynaud, inverti à l’islam de plus en plus revendicatif va partir en disponibilité. Il est pourtant considéré comme dangereux par plusieurs de ses collègues. En 2012, il avait exigé un local pour prier. Sans que cela gêne François Baroin, il l’avait obtenu immédiatement d’ÉDF.
Comme pour l’armée, pour au moment des attentats, comme les chiffres du coût de l’invasion, il est impossible d’en savoir plus, le gouvernement censurant les informations :
« Il [Christophe Quintin, haut-commissaire de défense à la sécurité nucléaire] a bien parlé de radicalisation même si sa réponse était évasive. On ne saura jamais exactement à cause du secret-défense »,
a déclaré la représentante d’un syndicat complice de l’invasion et de l’islamisation après une réunion. Les autorités refusent chaque année en moyenne l’accès aux centrales à 700 individus l’ayant demandé.
Les centrales nucléaires ne sont pas seules concernées : la France abrite environ 1 200 sites classés « Seveso » ; ils sont 10 000 au niveau de l’Europe : combien de salariés seraient interdits d’accès si tous les contrôles étaient réalisés ? Les spécialistes avouent que les sous-traitants sont beaucoup moins surveillés.
C’est un site Seveso que Yassin Salhi, le meurtrier d’Hervé Cornara, a attaqué à Saint-Quentin-Fallavier en juin 2015 et a tenté de faire exploser. Il ne s’agissait vraisemblablement alors que de l’acte d’un islamiste isolé répondant à l’appel de l’État islamique (ÉI, ed-dawla el-Islāmiyya). Qu’en serait-il si ce dernier lançait un commando aussi important et organisé que celui de Paris ? Qu’en est-il des vols répétés des centrales nucléaires au moyen de drones ces derniers mois ?