L’extrême gauche s’est une nouvelle fois livrée à des dégradations en masse au cœur de Genève samedi.
« Nous prenons la rue car l’avenir de nos lieux de fête et de culture est menacé. […] L’État de Genève subventionne en grande majorité le Grand Théâtre, un lieu de culture bourgeoise pratiquant des tarifs inaccessibles aux plus nombreux »,
annonçaient sur les réseaux sociaux depuis plusieurs jours les extrémistes fatigués pour un soir de demander la destruction des frontières ou de lutter contre le fascisme. Plusieurs centaines d’individus ont répondu à l’appel et se sont retrouvés dans le centre de la ville à la nuit tombée. La situation a très rapidement dégénéré, sans que les extrémistes ne puissent mettre en avant la moindre provocation.
Il s’agissait officiellement de protester contre la baisse du budget pour la prétendue « culture ». En matière de culture, les extrémistes ont fait preuve de peu d’imagination, attaquant comme à leur habitude biens publics et privés, dégradant les bâtiments publics comme les devantures d’artisans « capitalistes » tels que des boulangers et des opticiens, cassant du mobilier urbain, etc.
Les défenseurs de la culture marxiste ont souillé de peinture la façade du grand théâtre de la ville.
Des manifestants en colère ont causé d’importants dégâts à #Genève: https://t.co/NH4WfYHrUw #manifsauvaGE pic.twitter.com/nI53qOrfrs
— RTSinfo (@RTSinfo) 20 Décembre 2015
« Les riches sont moches »,
« Bouffons les riches »
« Bute ce flic dans ta tête »…
figurent parmi les inscriptions culturelles retrouvées.
Le seul élément habituel manquant aux festivités fut l’affrontement avec la police. Usant de la jurisprudence Valls-Gitans, les autorités ont décidé de ne pas faire intervenir les forces de l’ordre, qui ont assisté de loin à l’émeute et aux dégradations. Il n’y a eu, logiquement dans ce contexte, aucune interpellation.
L’incroyable défense de la police
La police a laissé pendant plus d’une heure les racailles s’agiter dans la ville, alors même qu’elle était au courant depuis plusieurs jours que la manifestation « sauvage » se préparait, et que les dégâts ont été très importants.
Genève ravagée par les extrémistes – une fois de plus
http://www.jeune-nation.com/?p=25191 Genève ravagée par les extrémistes – une fois de plus
Posté par Jeune Nation sur dimanche 20 décembre 2015
La directrice de la police genevoise s’est lancé dans une tentative de justification ahurissante :
« Déjà il ne s’agit pas d’une manifestation non autorisée il s’agit d’un rassemblement qui n’a fait l’objet d’aucune autorisation. D’accord ? Donc il me semble quand même que la problématique est bien différente [sic] »
a tenu à préciser Monica Bonfanti comme ci cela avait la moindre importance.
« La police elle était là depuis le début. Le but était déjà d’observer ce qu’il se passe, de deviner les intentions des personnes qui ont participé à ce rassemblement. […] Quand on s’est aperçu qu’un cortège était envisagé, nous avons positionné les forces de l’ordre où il fallait surtout et avant tout pour protéger certains lieux. Nous n’avons pas du tout été débordés. […] Nous avons 500 personnes en face et à un certain il y a un calcul qui doit se faire par rapport à l’opportunité de l’intervention : il s’agit de dire : est-ce que nous n’allons pas créer plus de troubles par l’extraction de certaines personnes qui avancent de façon compacte ? […] Nous avons “géré” une manifestation. Et je vous interdis en quelque sorte de dire que nous avons été débordés ou quoi que ce soit »,
a-t-elle affirmé.
Le porte-parole de la police avait lui reconnu que le nombre d’agents était clairement « insuffisant ».
Malgré une forte opposition de l’Eglise orthodoxe, le Parlement grec a approuvé le mariage homosexuel.
Des manifestants déguisés en popes s’embrassaient goulument devant l’assemblée, en attendant cette décision historique.
http://europe.newsweek.com/greece-gay-couples-lgbt-civil-partnerships-europe-human-rights-408418