« Nous voulons que le recours aux mères porteuses devienne un crime universel. Et qu’il soit puni par de la prison. Comme le sont les crimes sexuels ».
Le ministre de l’Intérieur italien Angelino Alfano a tenu des propos très clairs sur la question du commerce des enfants. Il souhaite l’instauration de peines allant de 5 à 14 ans de prison. L’ignoble pratique n’est aujourd’hui considérée que comme un délit passible de 2 ans de prison et un million d’euros d’amende maximum en Italie – elle est largement tolérée sinon encouragée ailleurs, comme en France par Manuel Valls malgré ses déclarations contraires.
Les propos détonnent dans le gouvernement dirigé par le mondialiste Matteo Renzi. Ce dernier prône la destruction du mariage par son ouverture aux pédérastes et autres invertis, en proposant dans un premier temps une « union civile », à laquelle est pourtant favorable Angelino Alfano, dirigeant du Nouveau Centre droit (Nuovo Centradestra), ainsi que la possibilité pour les déviants sexuels d’adopter les enfants de conjoints, y compris achetés. Cela « risque de conduire le pays vers le recours aux mères porteuses, c’est-à-dire vers le marché le plus répugnant que l’homme ait inventé »,
a précisé Angelino Alfano concernant cette dernière mesure, comme s’il n’était pas coupable, par le recul sur le mariage, la foi, et le reste à ces monstruosités.