Sommaire :
Actualité nationaliste France
- Camp Jeune Nation 2016 : Compte-rendu d’un militant du PNF Lorraine
France
- Opération anti-terroriste près d’une mosquée
- Nouvelle nuit d’émeutes des racailles de cité après la mort d’Adama Traoré – Suite
- Suppression des trains de nuits faute de repreneur
- Un centre aéré conseille aux parents de ne pas habiller leurs petites filles en jupe
Etranger
Europe
- Grèce : procès de 8 militaires turcs fuyant la répression du putsch
- Hongrie : les affiches chocs du gouvernement en vue du referendum sur l’invasion migratoire
Monde
- Kazakhstan : 6 morts dont 2 policiers lors d’une attaque de commissariat
- Arménie : 4e jour de prise d’otage et manifestations violentes à Erevan
- Turquie : images de l’assaut des putschistes sur l’hôtel ou devait se trouver Erdogan
Vidéo
- Jeanne, procès de la honte, avec Jacques Trémolet de Villers
Ephéméride nationaliste
- 23 juillet 1951 : mort du Maréchal Philippe Pétain
- 23 juillet 2002 : mort de William Pierce
Agenda
- 20 août – 21 août Meuse : IV° Randonnée nationaliste
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Actualité nationaliste France
Camp Jeune Nation 2016 : Compte-rendu d’un militant du PNF Lorraine
Du 11 au 17 juillet 2016 s’est tenu en pleins massifs montagneux à plus de mille mètres d’altitude le camp-école de Jeune Nation.
Une délégation du PNF Lorraine était présente afin d’honorer ce grand rendez-vous annuel, placé cet été sous l’égide d’Émile Driant, officier, écrivain et député visionnaire.
Initialement prévu dans les Hautes-Alpes, à Salérans, le camp a dû être réorganisé au dernier moment. En effet, une journaliste d’extrême-gauche du Dauphiné Libéré a mené son enquête quelques semaines avant la tenue du camp afin de nuire à son bon déroulement. Cette dernière a alerté son beau monde politico-journalistique et la conséquence fut grande : le site initial de notre camp a été assiégé par une horde de punks à chien sans foi ni loi. Sans jamais le moindre souci de morale, ils ont dégradé le terrain à coup de graffitis anarchistes et de barrages routiers, celui-ci appartenant à une communauté catholique conduite par un vieux prêtre.
Prétextant la menace d’affrontement, le préfet à la botte de l’Intérieur a décidé d’interdire le camp dans son département. Cette mesure a pu être possible dans ce lieu privé à cause de l’État d’urgence, détourné de son rôle initial, à savoir protéger la France et les Français contre le terrorisme. Force est de constater que la pourriture élitiste se préoccupe moins de la terreur islamique que de nous autres, amoureux de la France, toujours en ligne de mire ! Pour preuve, un islamiste a poignardé une mère et ses trois filles quelques jours plus tard dans ce même département, leur reprochant leur tenue trop légère !
C’est donc dans des conditions plus spartiates que le camp a dû être relocalisé. Sous la pluie et dans la froidure venteuse, nos camarades ont pu camper et « tremper » leur caractère rustique, les températures tombant jusqu’à sept degrés en plein midi, au début du camp. Heureusement, les séances de sport matinales, les veillées autour du feu de camp et un gobelet de vin aux repas nous ont permis de résister aux intempéries. Et c’est sans compter avec les tournées de bière offertes par deux militants qui ont célébré leurs anniversaires respectifs avec nous…
Comme chaque année, marche en montagne au fanion de jour, marche de nuit au béret, boxe, tyrolienne, pont de singe, ordre serré, séances d’instruction politique et historique, service de bois et chants à la veillée ont rythmé le camp. Les carnets d’instruction individuels de l’École Alexis Carrel ont été renseignés des modules de chaque type de formation suivie.
Deux veillées et une cérémonie aux flambeaux de remise des bérets aux nouveaux militants ayant réussi à effectuer la marche de nuit ont été particulièrement émouvantes dans la période tragique que traverse notre Europe décadente.
Face au grand remplacement et au judaïsme maçonnique qui ravage notre société, ces moments, comme les magnifiques prières polyphoniques des Caryatides après les veillées, nous ont soudés dans notre résistance opiniâtre.
La fatigue physique a pu être largement supportée grâce à l’amitié et la camaraderie qui nous unissent, ne cessant de se renforcer à chaque épreuve endurée ensemble.
Si la guerre n’a pas encore débuté : rendez-nous pour la nouvelle promotion en juillet 2017 !
Goncourt
52 ans, militant du PNF Lorraine, second camp
France
Opération anti-terroriste près d’une mosquée
Une opération antiterroriste a eu lieu jeudi à Argenteuil vers 14h30. Les opérations visent à vérifier un renseignement anonyme faisant état d’un projet d’action violente. La section antiterroriste du parquet de Paris est saisie des investigations : ils n’ont trouvé ni explosif, ni arme.
La première perquisition a lieu avenue du Parc dans le quartier Val notre Dame, dans un appartement près de la mosquée dite Dassault. 15 familles ont été arrêtées, elles vivaient toutes dans le même pavillon qui appartiendrait à un marchand de sommeil. La zone a été bouclée.
La deuxième intervention a lieu dans le quartier Val Sud, avenue Maurice Utrillo, dans un domicile particulier. Un homme rentré de l’étranger a été interpellé ainsi que ses deux sœurs et sa mère. La zone a également été bouclée.
Nouvelle nuit d’émeutes des racailles de cité après la mort d’Adama Traoré – Suite
Pour la deuxième nuit consécutive, des violences ont éclaté du 20 au 21 juillet à Persan et Beaumont-sur-Oise, après la mort d’Adama Traoré, âgé de 24 ans, lors de son interpellation.
Les violences, qui impliquent plus de 200 personnes selon les forces de l’ordre, se sont produites sur les communes voisines de Beaumont-sur-Oise, Persan et Bruyères-sur-Oise, où 180 membres des forces de l’ordre étaient mobilisés.
Déjà, dans la nuit du 19 au 20 juillet, des échauffourées impliquant une centaine de racailles avaient déjà éclaté.
Selon le procureur de la République de Pontoise, Yves Jannier, le jeune homme «a fait un malaise pendant le trajet dans le véhicule» vers la gendarmerie. «Immédiatement alertés», les pompiers sont intervenus pour lui porter secours, mais n’ont rien pu faire.
Suppression des trains de nuits faute de repreneur
4 des huit lignes de trains Intercités de nuit, dont l’État a déjà annoncé l’arrêt des subventions, fermeront le 1er octobre si aucun opérateur privé ne veut les reprendre et que les régions concernées ne les financent pas, a annoncé jeudi 21 juillet le secrétaire d’État aux Transports Alain Vidalies. Les lignes reliant Paris à Irun (Espagne) et à Nice bénéficieront d’un sursis, respectivement jusqu’en juillet et octobre 2017, tandis que les liaisons Paris-Briançon et Paris-Latour-de-Carol seront maintenues, comme annoncé en février.
La fameuse « main invisible » des économistes libéraux, censée organiser et réguler le marché au mieux de l’intérêt général, aurait donc quelques défaillances… Mention spéciale pour les « libéraux-socialistes » du gouvernement qui continuent de démanteler le réseau ferré français en contradiction même avec leurs engagements de développement des transports publics…
Un centre aéré conseille aux parents de ne pas habiller leurs petites filles en
Jupe
Quelques jours après qu’une mère de famille et ses filles ont été poignardées sur leur lieu de vacance par un individu mécontent de « leurs tenues trop légères », un centre aéré de Reims conseille aux parents des petites filles d’éviter de les habiller en jupe ! Une mère de famille a publié sur un réseau social un mail reçu de la part d’un centre de loisirs concernant la tenue de sa fille. Au milieu de diverses recommandations, on trouve ce message : « Nous vous demandons de mettre soit des shorts, pantalons ou de mettre un short sous la jupe de votre fille car dans le groupe des plus de 6 ans notamment cela permettra à votre enfant déjà d’avoir une meilleure mobilité pour les activités et sachez que nous avons des enfants de 10 à 12 ans qui peuvent avoir un comportement déplacé avec une petite fille dont la jupe se soulèverait ».
Consigne troublante naïvement formulée ou message hypocrite destiné à cacher l’ampleur de l’islamisation du centre aéré ?
Etranger
Europe
Grèce : procès de 8 militaires turcs fuyant la répression du putsch
Huit militaires turcs, deux commandants, quatre capitaines et deux sergents ont été arrêtés samedi et placés en détention provisoire après avoir atterri illégalement en hélicoptère à l’aéroport d’Alexandroupolis au nord-est de la Grèce, près de la frontière. Ils sont jugés jeudi 21 juillet à Alexandroupolis en Grèce pour « entrée illégale ». L’un d’eux a déclaré que lui et ses compatriotes avaient eu peur des arrestations massives de militaires lors de la tentative du putsch en Turquie vendredi et c’est pourquoi ils avaient décidé de fuir leur pays : « Nous voyions des arrestations de militaires sans distinction et nous avons eu peur (…) nous avions pensé aller soit en Bulgarie, en Roumanie ou en Grèce, pays proches, finalement nous avons choisi la Grèce ». Selon la déposition du premier prévenu, les huit officiers de l’armée turque, dont l’unité se trouvait à Istanbul, étaient en train de transférer en hélicoptère des blessés à leur unité. Mais lors du « deuxième transfert, il y a eu des tirs contre l’hélicoptère et nous avons dû atterrir sur un champ près d’Istanbul et attendre avant de prendre la décision de fuir ».
Pour « entrée illégale » et « manque de soumission de plan de vol », ils encourent jusqu’à cinq ans de prison et la peine administrative d’expulsion, qui pourrait toutefois être suspendue jusqu’à ce que les autorités grecques se prononcent sur la demande d’asile qu’ils ont déposés.
Hongrie : les affiches chocs du gouvernement en vue du referendum sur l’invasion migratoire
En septembre 2015, l’Union européenne a décidé d’implémenter un système de quotas obligatoires de redistribution des 160 000 envahisseurs situés en Italie et en Grèce à ce moment-là dans les autres pays de l’Union européenne. En décembre, la Hongrie a poursuivi en justice la Commission européenne, afin d’être dégagée de cette obligation. En avril, le gouvernement hongrois a proposé un référendum sur ce sujet. La question posée est : « Voulez-vous que l’Union européenne décrète une relocalisation obligatoire de citoyens non hongrois en Hongrie sans l’approbation du Parlement hongrois ? »
Le referendum aura lieu le 2 octobre prochain et le gouvernement hongrois a présenté les affiches qui seront placardées dans tous le pays :
– Affiche 1 Le saviez-vous ? Depuis le début de la crise migratoire, plus de 300 personnes sont mortes dans des attaques terroristes en Europe.
– Affiche 2 Le saviez-vous ? L’an dernier un million et demi d’immigrés illégaux sont arrivés en Europe.
– Affiche 3 Le saviez-vous ? Bruxelles veut installer l’équivalent d’une ville d’immigrés illégaux en Hongrie.
– Affiche 4 Le saviez-vous ? Depuis le début de la crise migratoire le harcèlement contre les femmes augmente considérablement en Europe.
– Affiche 5 Le saviez-vous ? L’attentat de Paris a été commis par des immigrés.
– Affiche 6 Le saviez-vous ? Rien qu’en Libye près d’un million d’immigrants cherchent à venir en Europe.
Monde
Kazakhstan : 6 morts dont 2 policiers lors d’une attaque de commissariat
Plusieurs attaques contre des locaux de la police et des services spéciaux kazakhs ont été lancées lundi matin 18 juillet à Almaty, la capitale économique du Kazakhstan. Dans un communiqué le Comité de sécurité nationale a annoncé : « L’alerte antiterroriste a été relevée à son niveau maximal à Almaty après les attaques des inconnus contre un poste de police et le département du Comité de sécurité nationale ». En effet des échanges de tirs entre des hommes armés et des policiers ont eu lieu dans la matinée dans plusieurs quartiers de la ville, notamment près d’un poste de police en plein centre d’Almaty, faisant au moins sept blessés, et au moins deux policiers tués. La police a bouclé plusieurs rues du centre et la gare ferroviaire d’Almaty a été encerclée par la police à la suite d’une alerte à la bombe.
Selon des témoins les auteurs de l’attaque d’un commissariat étaient vêtus de noir, l’’un d’eux aurait tiré à la mitraillette sur une voiture de policiers, en tuant deux, ainsi qu’un civil qui a succombé plus tard à ses blessures. Les autorités ont commenté les attaques affirmant que les assaillants étaient des « extrémistes religieux partisans d’un islam non traditionnel », euphémisme pour désigner des islamistes jihadistes.
Cette attaque n’est pas sans précédents : le mois dernier, deux armureries avaient été cambriolées, un bus avait été attaqué, ainsi qu’une base militaire dans l’ouest du pays. Au cours de cette attaque menée par des islamistes, sept personnes avaient trouvé la mort et 37 autres avaient été blessées.
Arménie : 4e jour de prise d’otage et manifestations violentes à Erevan
La capitale arménienne Erevan a été le théâtre de violents accrocs entre manifestants et policiers, mercredi 20 juillet, au quatrième jour d’une prise d’otage dans un poste de police. En effet dimanche 17 juillet, un groupe armé a investi le bâtiment, tuant un fonctionnaire de police et en blessant plusieurs autres. Des soldats arméniens ont été déployés autour de la zone, tandis que des policiers continuent de négocier la libération de leurs collègues toujours prisonniers des assaillants. Parmi les otages se trouvent le chef-adjoint de la police nationale, Vardan Eguiazarian, et le chef-adjoint de la police de la capitale, Valeri Ossipian.
Mais dans la nuit du 20 au 21 juillet, des centaines de manifestants se sont réunis près du poste de police où se trouvent toujours les assaillants et les otages. Ils exigeaient qu’un député de l’opposition, Nikol Pachinyan, entre dans le bâtiment et apporte de la nourriture aux otages. Mais la police n’a pas accédé à la requête des manifestants. Les protestataires en colère ont alors tenté de briser le barrage de police et les forces de l’ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes pour les disperser.
D’après les médias locaux, le groupe armé revendique la libération d’opposants politiques parmi lesquels Jiraïr Sefilian, arrêté en juin pour détention d’armes et projets d’assauts contre des bâtiments gouvernementaux et des centres de télécommunication de la capitale. Critique féroce du gouvernement, Jiraïr Sefilian avait déjà été arrêté en 2006 et emprisonné pour 18 mois après avoir appelé à « renverser le gouvernement par la violence ». L’an dernier, il avait de nouveau été arrêté, avec plusieurs de ses partisans, sur des soupçons de préparation de coup d’État, mais avait été relâché peu après. D’origine arménienne, Jiraïr Sefilian est né au Liban où il a combattu au cours de la guerre civile dans les années 1980. Il a ensuite déménagé en Arménie pour prendre part à la guerre contre l’Azerbaïdjan pour le contrôle de la région disputée du Nagorny-Karabakh.
Turquie : images de l’assaut des putschistes sur l’hôtel ou devait se trouver Erdogan
Dans la nuit du vendredi 15 au samedi 16 juillet, alors qu’une partie de l’armée tente de renverser le président turc Recep Tayyip Erdogan ce dernier se trouve en villégiature à Marmaris. Selon une chaine télé turque, 25 soldats arrivés par hélicoptères seraient rentrés dans l’hôtel dans l’espoir d’arrêter le chef de l’État. Les militaires putschistes ont pris d’assaut l’hôtel, mais Erdogan avait déjà pris la fuite quelques minutes avant, les rumeurs affirmant qu’il aurait été exfiltré par un commando russe… Sur la vidéo on peut voir les militaires arriver en hélicoptère puis à pied à l’hôtel. Dans la suite de la vidéo on peut visualiser les premières images depuis l’intérieur du bâtiment, où les impacts de balles laissent supposer des échanges de coup de feu lors de l’assaut.
Vidéo
Jeanne, procès de la honte, avec Jacques Trémolet de Villers
https://www.youtube.com/watch?v=TrENdXOPdb8
Nouveauté littéraire
Exposition le Juif et la France au Palais Berlitz
Fac-similé au format in-4 comportant 10 photographies explicites ainsi que les plans du sous-sol et du 1er étage de l’exposition.
Cette brochure intitulée Exposition le Juif et la France au Palais Berlitz présente ladite exposition qui eut lieu à Paris du 5 septembre 1941 au 15 janvier 1942, et qui se voulait scientifique, s’appuyant notamment sur les travaux de George Montandon, professeur à l’Ecole d’anthropologie de Paris.
32 pages, imprimés sur un luxueux papier couché mat.
10€ + 2€ de port à
CALD
BP 92733
21027 Dijon Cedex ou en ligne sur la Boutique Nationaliste (ici)
Ephéméride nationaliste
23 juillet 1951 : mort du Maréchal Philippe Pétain
23 juillet 2002 : mort de William Pierce
Agenda
20 août – 21 août Meuse : IV° Randonnée nationaliste
© Jeune nation – 2016
Les licteurs rapportent à Brutus les corps de ses fils, 1789, Jacques-Louis David (Musée du Louvre – Paris)