Bulgarie : agression contre le président pro-invasion et pro-LGBT du Comité Helsinki
Le président de la plus importante organisation pro-invasion et pro-tsigane en Bulgarie, le Comité Helsinki, a été attaqué jeudi 27 octobre au matin. Vers 9h30 alors qu’il sortait d’un hôtel, Krassimir Kanev, a été agressé par deux hommes qui lui ont porté un coup de poing au visage et un autre à l’estomac. Les deux assaillants ont ensuite pris la fuite. Krassimir Kanev a lui-même appelé les secours et seules des blessures légères ont été constatée.
Le ministère de l’Intérieur a réagi par communiqué informant qu’une patrouille de police s’était immédiatement déplacée mais Krassimir Kanev a refusé de sillonner le quartier en leur compagnie pour identifier ses agresseurs…
L’organisation de Krassimir Kanev a immédiatement condamné l’attaque dont son président a fait l’objet, appelant les autorités à saisir les images de vidéosurveillance du lieu de l’incident pour récolter des indices sur les assaillants.
Le Comité Helsinki bulgare, créé à Sofia en 1993, se décrit comme un comité de surveillance du respect des droits de l’homme. Son objectif affiché est entre autre la promotion du respect des droits de l’homme de chaque individu y compris les enfants, les femmes, les personnes LGBTI, les demandeurs d’asile, les minorités ethniques et religieuses. Le Comité est financé par la fondation de Georges Soros, ce qui nous confirme qu’il s’agit bien bien entendu d’un des organismes affidés du judaïsme politique en Bulgarie pour y décliner le plan de destruction de la nation et de dissolution de l’identité de la population.
À ce titre, le Comité organise chaque année deux vastes campagnes médiatiques, ayant échoué jusqu’à aujourd’hui, pour tenter de faire interdire la marche de protestation contre la « gay pride » et la marche de nos camarades de l’Union Nationale Bulgare à la mémoire du général Hristo Lukov.
À l’heure actuelle, le Comité est en première ligne pour soutenir les plans d’actions du gouvernement bulgare et de l’Union européenne en vue de l’accueil et de l’implantation des envahisseurs venus de Turquie sur le sol national.
Il n’est donc pas complètement étonnant qu’un certain nombre de Bulgares commencent à réclamer des comptes à ce type de personnage.